jeudi 23 avril 2020

Le corona virus a bon dos, les vieux et stt les vieilles sont pour la plupart mortes de faim et de soif, un Auschwitz de personnes de plus de 70 ans

https://motsdefemmes.blogspot.com/2020/04/epadh-la-mort-rapporte-en-trois-actes.html
Dr N'Guyen urgentologue de Médecins sans frontières : ''Le problème, c’est qu’il n’y avait pas assez de personnel dans les établissements pour les nourrir donc ILS ONT CREVÉ DE FAIM. Il faut le dire. Nous, ce qu’on voit à l’hôpital, ce sont des patients qui viennent complètement déshydratés, en insuffisance rénale juste parce qu’ils n’ont pas assez bu depuis de nombreux jours. Dans la plupart des cas, il s’agit de personnes âgées..  qui avaient déjà une santé défaillante (ndlr, mais où est la cause, où est l'effet?) la déshydratation et la sous-alimentation ont accentué leur condition et ont contribué à leur décès. (Ndlr, redite, comment savoir là aussi où est la cause et l'effet ?) Témoin dans son hôpital de plusieurs décès de ce genre il estime que les conditions des résidents des établissements se sont aggravées drastiquement lorsqu'ont été interdites les visites des familles qui assuraient souvent une partie des soins pour ces aînés très démunis ... 
 En CHSLD plusieurs sont morts juste parce qu’ils n’ont pas assez bu ou mangé (dr Nguyen) ou se sont  laissés carrément mourir (Michèle Charpentier, sociologue) refusant de manger, déshydratées et vivant probablement des formes d’anxiété et de dépression terribles face au contexte à l’entour d’elles, (des cas déchirants d’aînés en grande détresse après avoir été coupés de leurs familles, une rupture soudaine et complète comme cette montréalaise de 94 ans qui voit soudain surgir plein de visages masqués ! imaginons un instant comment une dame polonaise de 94 ans ne parlant ni français ni anglais qui ne voit plus sa fille ou son fils et qui ne saisit pas ce qui se passe, réagit en voyant des gens qu’elle ne connaît pas avec des masques.'')   
  

PIF LE CHIEN ET HARRY DE LA TOUR DU PIN L'AIREDALE. LES MILITANTS




Les viandeurs les plus sexy


Quand on parle de synchronicités... hop en vla une !

Voilà voilà les ami.es, on parlait de synchronicités hier non ? J'ai m envoyé un assez long article avec  trois exemples. Et ce matin, téléphone avec un pote... je lui parle d'un troisième (que je n'ai ni vu ni m avec qui je n'ai communiqué depuis des lustres, mettons 10 ans) dont je sais, du moins l'affirmai-je, qu'il pense à moi...  sur la base que seul parmi mes amis il a observé que [••••••]  ... et à l'instant cad TROIS minutes après, il apparaît ... pour me dire virtuellement exactement ce que je venais de supposer. Tout se passe comme si mon imagination allait juste un peu plus vite que le réel, qques secondes à peine, j'ai trébuché sur le temps, je me suis nmélangée les pinceaux' dans mon classement des événements : J'AI GLISSÉ EN MODE ''PASSÉ'' CE QUI ÉTAIT EN MODE ''FUTUR PROCHE''. Qui sait ? Peut être certains font-ils de plus gds sauts?
Note, cela m'arrivait svt autrefois avec cette même personne, tout se passe comme si certains étaient  de meilleurs ''émetteurs'' que d'autres. Ou récepteurs.

D ------- Ça m'arrive souvent, au cours d'une recherche par exemple, je trouve des documents..
H ------ Voilà ! on dirait que tu les suscites. Comme si tu émettais des phéromones qu'un flair subtil repérait ss m s'en rendre compte. Qd j'ai écrit ''les lettres'' avant m que ma recherche ne fût connue, je rencontrai en nombre, comme s'ils étaient attirés, des résistants, des gens impliqués ou leurs enfants et jusqu'à un fils de SS qui me tint la jambe toute une soirée d'où mon article ''fils de héros, fils de salauds'', le gus m'ayant persuadé que ce n'était pas mieux.... et un truand connu (en m temps indic) dangereux +++ m'a-t-on dit ensuite, richissime .. qui a tenté de m'acheter ! Voir les Lettres, troisième édition... Ce qui a flanqué la trouille ++++ à la journaliste censée faire la batteleuse pour moi, elle redoutait sa vengeance y compris sur elle, moi pas .... commiquement réjouie d'avoir appris sa mort le jour m de la sortie de cet exemplaire !
On aurait dit, et ceci dès le départ, que tout se mettait en place tout seul. Quant aux inscriptions au Fort Vauban, la prison où ils sont morts sous la torture avant d'être jetés ds le Puits, m chose ... j'y ai qd m passé un mois à plein temps en vain et c'est une copine qui se dit ... je ne sais pas trop le terme, médium, qui les a trouvées DU PREMIER COUP dès qu'elle est entrée (300 cellules, un lieu,  un château fort, impressionnant, totalement désert et en déshérence, squatté par les pigeons, 10 cm de guano évidemment pas de lumière) ...

Ceux qui ont ''réussi'' et 'cekionpa' analyse...

Ceux qui ont ''réussi'' et ceux kionpa. Autopsies!
Vous allez rire, j'ai rêvé d'une amie (marseillaise) chère même si je la vois peu (par ma faute), svt je rêve de mes amies, une à une, là, c'était la nuit ''Anna''. Et, un détail qd m à ce sujet : ce st celles qui ont le mieux ''réussi'' (comme on dit) qui sont les pires éthiquement (j'ai du reste rompu avec, au moins une, sans regrets, et à peu près une autre, avec regrets) : toutes les ''bonnes'' (les filles qui déjà à 8... 13 ans .. étaient chouettes, gentilles généreuses) quelles que soient leurs capacités (Anna, super jolie, était aussi l'éternel prix d'excellence d'un lycée côté ) ont eu des carrières bien au dessous de leurs valeur, (surploitée probablement par sa ''famille'' d'alliance elle dut abandonner des études qui s'annonçaient brillantes et devint simple cadre administratif). De m Nadia, ds la m veine en plus marrante, charismatique +++, la femme exploitée à l'os par un (petit) homme poitique qui la quitta ensuite après l'avoir dépouillée de son argent, survit difficilement d'une minuscule pension ... qd France, à l'égoïsme froid, calculateur et inénarrable a accumulé une fortune habilement planquée où il faut.
L'intérêt de cette expérience est qu'elle commence en pays minier cévenol avec des filles de mineur ou mineur-instit comme moi (jusqu'à 8 ans) parti communiste etc...  puis la classe moyenne (très petite bourgeoisie de province) et la même classe mais dans une ville riche, cosmopolite et importante, Marseille, l'Eden ... et retour au point de départ (à un niveau plus élevé, cette fois) chaque passage m'ayant laissé des amies très différentes et très aimées (du moins par moi).
Pas de panique, mon adaptation fut en ppe facile (sauf deux fois où on avait trop chargé la mule) car j'étais déjà issue d'une union improbable de gens gravitant ds des umwelts si 'différents' qu'ils n'étaient même pas opposés et encore moins ennemis, juste ils ignoraient de part et d'autre qu'il existât des ''gens comme ça'' (et pourtant pas si différents puisqu'on pouvait en croiser deux exemplaires) qui ne vivaient pas, dans la canopée de bambous géants pour les uns; au Palais Médicis à temps plein pour les autres) et que j'eus la chance inouïe d'être aimée par les uns et acceptée par les autres (après bref examen de mes capacités quand même, mon examen de ''Larrivé'' disait ma mère ironiquement) puis aimée aussi car j'avais également la 'chance' extraordinaire d'être ''le portrait de 'maman' mais avec l'accent du midi'' (rires) et d'en avoir les ATTITUDES, une gd mère que pourtant je n'ai jamais connue ; la biologie méconnaissant les oppositions de castes, j'étais donc la seule de ses huit petites filles qui lui ressemblât, certes avec l'accent du midi ms nobody is perfect. Mes tantes, honnêtes ds leur classisme, jetèrent donc (sauf une) les armes aux pieds de "la petite instit de province qui savait à peine la clé de sol'' mais qui avait bricolé un fac similé presqu'acceptable de leur mère adorée trop tôt partie.

Ceux qui ont ''réussi'' et ceux kionpa. Autopsies!
Vous allez rire, j'ai rêvé d'une amie (marseillaise) chère même si je la vois peu (par ma faute), svt je rêve de mes amies, une à une, là, c'était la nuit ''Anna''. Et, un détail qd m à ce sujet : ce st celles qui ont le mieux ''réussi'' (comme on dit) qui sont les pires éthiquement (j'ai du reste rompu totalement avec une, sans regrets, et à peu près une autre, avec regrets) : toutes les ''bonnes'' (les filles qui déjà à 6.. 8... 13 ans .. étaient chouettes, gentilles généreuses) et ce, quelles que soient leurs capacités (Anna, super jolie, était aussi l'éternel prix d'excellence d'un lycée assez côté ) ont eu des carrières bien au dessous de leurs valeur, (surploitée probablement par sa ''famille'' d'alliance elle dut abandonner des études qui s'annonçaient brillantes et devint simple cadre administratif). Une autre, Nadia, tout aussi douée, ne fût que la femme-servante d'un h politique qui l'exploita aussi à l'os puis la largua après avoir fait main basse sur son argent etc .. (elle survit d'une minuscule pension). France, par contre, accumula une grosse fortune habilement planquée où il faut. Pas d'exceptions.
L'intérêt de cette expérience est qu'elle commence en pays minier cévenol avec des filles de mineur ou mineur-instit comme moi (jusqu'à 8 ans) parti communiste etc...  puis la classe moyenne (très petite bourgeoisie de province reculée) et la même classe mais dans une ville riche, cosmopolite et importante, (Marseille) l'Eden ... et retour hélas au point de départ (à un niveau plus élevé, cette fois) chaque passage m'ayant laissé des amies très différentes et très aimées (du moins par moi).
Pas de panique, mon adaptation fut en ppe facile (sauf deux fois où on avait trop chargé la mule) car j'étais issue d'une union improbable de gens gravitant ds des umwelts si 'différents' qu'ils n'étaient même pas opposés et encore moins ennemis, juste ils ignoraient de part et d'autre qu'il y eût des ''gens comme ça'' (qui ne vivaient pas, dans la canopée de bambous géants pour les uns; au Palais Médicis pour les autres) et que j'eus la chance inouïe d'être aimée par les uns et acceptée par les autres (après bref examen de mes capacités quand même) puis aimée aussi car j'avais également la 'chance' extraordinaire d'être ''le portrait de 'maman' mais avec l'accent du midi'' (rires) et d'en avoir les ATTITUDES, une gd mère que pourtant je n'ai jamais connue ; la biologie méconnaissant les oppositions de castes, j'étais donc la seule de ses huit petites filles qui lui ressemblât, certes avec l'accent du midi ms nobody is perfect. Mes tantes, honnêtes dans leur classisme, jetèrent donc élégamment (sauf une) les armes aux pieds de Lydie'' (la petite instit de province qui savait à peine la clé de sol) pour avoir bricolé un fac similé de leur mère adorée trop tôt partie.

Arrêter de fumer, le plantain Et surtout un mode de vie à revoir

Réponse à Annie. Accro, je le fus, 1 paquet/jour,  genre à aller la nuit vers 3 h par temps de pluie avec une voiture très moyenne à Nîmes (60 km) à la station. J'ai arrêté toute seule ss pb ms avec entre autres du plantain, j'en avais un acol (champs) entier ms j'ignorai à cette époque que c'était considéré, juste j'avais très envie d'en manger. Je n'ai pas pris 1 gramme. Il faut dire qu'à l'époque je vivais ss eau ni électricité, est ce que ça a joué ? Car on est tt le temps occupé, puiser, couper le bois, le chercher à la rivière, les animaux, cuisiner etc ... alors que sur son canapé devant son écran tv...



Enfant asiatique nés ds une famille blanche, l'affaire des enfants volés autrefois...

Etonnant : ds un village cévenol, une fille naît ! D'un marriage bourge arrangé, elle a les sous lui le talent pour entretenir la terre etc. Aussitôt la famille du père se penche sur le berceau et verdict : ''elle est noiiiirrre !'' Quasi haine. Je ne m'en étais pas aperçue et ce fut longtemps après que je réalisais que la gd mère était en effet très ''foncée''. Et qu'il fut courant à l'époque que des voyageurs (le grand père était ? navigateur disait-il, peut être employé sur des paquebots au long cours ? et avait 'fait' l'Afrique, l'Orient, ce qu'on appelait l'indochine) fortune (petite) faite, amènent des épouses dans leurs village qui souvent restaient littéralement cloitrées. De la dame dont je parle, hiératique, voisine relativement proche, grand mère de mon amie, je n'ai jamais entendu même le son de sa voix. Parfois il pouvait s'agir d'enfants 'volés'. Jamais je n'avais fait attention à l'allure afro asiatique de mon amie. Évidente poyrtant, et personne n'en a jamais fait mention, sauf une ''out sider'' à qui je dois cette ''evidence''. Dire qu'on prétend que ds un village, les gens 'jasent' pour rien !  Pas chez les cévenols en tout cas. Au point de ne même pas VOIR les évidences. Plus que de la discrétion mondaine bienveillante, plus qu'un refus : de la cécité vis à vis de tout ce qui pourrait déranger !

Biographie du croisement improbable d'un airedale et de Pif le chien



Vous allez rire mais j'ai rêvé d'une amie (Marseillaise) chère même si je la vois peu (par ma faute) comme svt je rêve de mes amies, une à une*. Là, c'était la nuit ''Anna''. Et, juste un détail qd m à ce sujet : ce st celles qui ont le mieux ''réussi'' (comme on dit) qui sont les pires éthiquement (j'ai du reste rompu avec, au moins une, sans regrets, et à peu près avec une autre, avec regrets ms bon..) : toutes les ''bonnes'' (les filles déjà à 8... 13 ans .. chouettes, gentilles généreuses) et ce, quelles que soient leurs capacités (Anna, super jolie, était aussi l'éternel prix d'excellence d'un lycée assez côté ) ont eu des carrières bien au dessous de leurs capacités, (surploitée probablement par sa ''famille'' d'alliance elle dut abandonner des études qui s'annonçaient brillantes et devint simple cadre administratif).
* L'intérêt de cette expérience est qu'elle commence en pays minier cévenol avec des filles de mineur (jusqu'à 8 ans) parti communiste etc...  puis la classe moyenne (très petite bourgeoisie de province) et la même classe mais dans une ville riche, ouverte, et importante ... et retour au point de départ (à un niveau plus élevé, cette fois) chaque passage m'ayant laissé des amies très aimées (du moins par moi).
Pas de panique, mon adaptation fut en ppe facile (sauf deux fois où on avait trop tiré sur la mule) puisque j'étais issue d'une union improbable de gens gravitant ds des umwelts si différents qu'ils n'étaient même pas opposés et encore moins ennemis, juste ils ignoraient de part et d'autre qu'il y eût des ''gens comme ça'' (et qui ne vivaient pas ds la canopée de chênes kermès pour les uns.. ni au Palais Médicis pour les autres) et que j'eus la chance inouïe d'être aimée par les uns et acceptée par les autres (après bref examen de mes capacités quand même) puis aimée aussi car j'avais aussi la 'chance' étonnante d'être ''le portrait de 'maman mais avec l'accent du midi'' (rires) et d'en avoir les ATTITUDES dit-on, une gd mère que pourtant je n'ai jamais connue, étrange.

Plus précis https://motsdefemmes.blogspot.com/2020/04/ceux-qui-ont-reussi-et-cekionpa-analyse.html