mardi 2 juin 2020

A des amies tentées par le saut à l'élastique... sans élastique ! Non !

Aux copines tentées de la corde ou du saut à l'élastique sans élastique. Grrrrr interdit formellement.... sous peine de mort !
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Mais qu'est ce que c'est que cette manie que vous avez toutes de bon matin et de surcroît PARMI LES MEILLEURES de vouloir vous flinguer en série ? S'il ne reste que des concombres ça ne sera pas drôle. Je vais jouer les vieilles connes après tout c'est de mon âge, j'ai 72 ans, eu comme on dit une enfance difficile fille unique d'une mère suicidaire traumatisée grave de la guerre, un père ss dte ''aspi'' (moi aussi) pour lequel je n'existais pas : en vrac, coups, diverses brimades, exigence de brûler TOUT mon journal à 13 ans ss peine de suicide, tentative de me défenestrer avec elle à 11 ans (elle ne voulait pas me laisser vivre 'seule' ds un monde si horrible) interdiction de faire des études, (je me suis débrouillée je ne vs dirais pas how) ... Un mec qui m'a un peu exploitée, j'avais l'habitude, puis larguée pour obéir à sa famille, un autre que j'ai tiré de la merde (un ''che Gevara d'arrondissement) qui m'a littéralement massacrée, enceinte (viol et acte de barbarie on dit) j'ai avorté, et enfin un dernier mari presque normal OUIIIII ! Alléluia !  Ms dt la famille juive m'a fait payer cher le fait de ne pas l'être, 2 enfants, une séparation, marre d'être la goy racisée parkilescandalearrive, les enfants, il ne me les a pas disputés, c'est déjà ça, qd je vous lis je me sens chanceuse ! ms l' anorexie de ma fille sauvée in extremis (grâce à ma mère qui s'avéra ds l'urgence une excellente grand mère, stupeur!)  et, devant l'angoisse qu'elle meure, mon internement volontaire en hôpital psy. Là ce fut le BONHEUR ABSOLU, le repos, j'y serais bien restée tout le temps malgré la crasse ms enfin je n'étais pas calibrée, comme les carottes qu'on met au rebut .. un travail que j'ai aimé, et me voici, rien de mirobolant, retraite, je vis ds la dolitude je laisse ! solitude ! ds une vaste maison un peu délabrée ds un village agréable et sauve des animaux, j'ai un atelier- galerie, j'ai écrit qques livres, et de dépression en dépression ça roule (ça va ça vient, vite) voilà.. [séquelles ? La plus gênante est que je ne peux pas entrer ds ma maison famiiale, crise d'angoisse.] Mais cerise sur le gâteau, mon mari veut ''me'' revoir et plus si raffinités  ... (!) ce qui me fait peur sans que j'ose le lui dire clairement, il m'aime finalement et s'emmerde avec sa copine, (car il en a une autre qu'il jure ne pas aimer poil au nez.) Crise d'angoisse en perspective. Mes enfants st appariés, bien je pense ? et j'ai 2 magnifiques petites filles que je ne vois pas. Ma fille non plus. Depuis son anorexie elle a été prise en charge par deux gugus psy qui l'ont persuadée que ... bref, fini avec moi. Je m'occupe de plantes, stt d'armoise ms c'est une autre histoire. Je me suis sevrés seule d'une lourde addiction. Avec du plantain. Mes blessures sont cicatrisées, au sens propre (le viol) comme figuré (le rejet par ma belle famille).
 Alors qd je lis ce que je viens de lire de la part de deux jeunes femmes au seuil de leur vie, douées, qui pourraient être mes filles ou presque mes petite- filles .... j'ai tt de suite envie d'aller adopter un autre chien (qd je vais très mal j'adopte un chien, ou un veau ça dépend, que je fais ensuite adopter, sauvé.) Arrêtez !  Faites quelque chose pour en sauver d'autres et vs vs sauverez vs m . Merde.
Voir sur blog ''mémoire d'un entonnoir'' mon 'best lecteurs'. '

M -------- Je me doutais que vous n'aviez pas eu la vie facile, mais à ce point... La mienne qui n'a pas non-plus été triste surtout au départ, me semble une allée jonchée de fleurs. J'admire.

H --------  Non rien d'admirable. Juste parfois un truc en moi de violent qui dénoue des tas de noeuds.* Bizarrement je ne dirais pas que j'ai eu une vie TRÈS difficile, si je compare avec Sylvie par ex, ou Michèle** ; car, c'est étrange, CHAQUE FOIS qu'un drame menaçait, quelqu'occurrence l'évitait voire en faisait un don du Ciel. Pays minier, noir, un peu sinistre ? Non, pas du tout, ce fut presque la meilleure période de ma vie. Pas pour mon père, mineur, ss dte. Ma mère dite ''perdue'' (tuberculose très avancée) après ma naissance ?  Marguerite et Josée m'ont récupérée et offert une très jeune enfance littéralement de princesse, ainsi que mon autre tante (j'étais la petite fille ss dte à adopter plus tard.) Puis Lydie a guéri (voir blog ou sur ma page, les nigelles) et là en effet mes ennuis ont commencé, tempérés par l'extraordinaire chaleur humaine des HLM des mineurs. J'habitais en hauteur, ds l'école que Lydie dirigeait, et, malgré les coups, pour les Moliérois, j'étais Diana. L'instit était alors quelqu'un d'important. Ça s'est gâté ensuite, 7 déménagements en 9 ans donc 9 écoles ou Lycées, là aussi je m'adaptais, il le fallait et vite. Ms ça m'a formée, appris de nouvelles moeurs, cultures, gens. Deux fois seulement je n'y parvins pas, à Besançon, (1 an seulement) (voir blogs) où mon père qui recommençait une carrière de journaliste reporter était tjrs abst. C'est là que Lydie voulut se suicider avec moi. Puis il y eût Marseille, le BONHEUR, la mer, la chaleur des marseillais , les amies QUE J'AI CONSERVÉES, je me demande parfois si je ne ferai pas mieux de partir m'y installer, les cévenols st trop rudes (j'en suis ms à demi) trop durs... Marseille ... mais la misère (à faim) et du coup l'école N où les études étaient payées et où ns étions internes nourries logées etc..  et là je ne me suis pas adaptée du tout. Un abandon complet puisque mes parents re déménageaient, cette fois vers la maison familiale de Lydie. Soulagés du poids que je représentais, ils me laissaient en somme au bord du chemin. Là effectivement je frôlai la cata : tentative de suicide, pas très sérieuse quoique...  et ... ô stupeur : 1 l'école accepta de m'externer à Alès, 2  je fus soignée par un médecin super qui me libèra de ce que je traînais en qques séances, payées par l'Ecole. Si bien que mes parents durent me récupérer... 3 et là, petit miracle encore, la ''maladie'' intestinale (dont je n'ai jamais rien su) ms qui me tenaillait depuis très longtemps guérit immédiatement (avec tt ce que j'avais avalé il faut dire, mon intestin était récuré) plus de ces maux de ventre et diarrhées qui me gênaient tant et tant... Plus jamais! Une vie heureuse enfin, Marguerite à mes cotés ou tt près, ainsi que Josée. Toutes celles que j'aimais. Ms ce n'était qu'un sursis. Vint le bac ... et le refus sans appel de Lydie que j'étudie. Supplications, en vain. Je commençai donc, désespérée, ma ''quatrième année'' cad un stage de CAP d'instit et là aussi... 1 j'eus le chance que ma directrice de stage fût une femme extraordinaire. Je lui fis part de mon désespoir, elle m'écouta... et 2 je déclenchai une énorme hépatite virale... sans aucun autre signe que ma couleur. ''Allez au rectorat, cette fois ça devrait ...''  ce que je fis... et enfin ils acceptèrent contre l'avis de mes parents, chose inouïe, ma démission (la majorité étant à 21 ans, ss eux je ne pouvais théoriquement pas me libérer). C'est ainsi qu'ils furent obligés (car Delpierre, le médecin d'Aix, s'en mêla) de me laisser partir à Montpellier (je m'étais inscrite en cachette aucasou) où j'étudiai la philo puis SNV. J'oubliai : mon hépatite cessa tt de suite. Entre temps mon père avait commencé à gagner du fric, bcp, et ça ne s'arrêta plus. Je partis ensuite à la Sorbonne... etc
Si je résume : à ch fois ou presque qu'un drame menaçait, quelque occurrence en effet advenait qui l'annulait ou le transformait, après qd m de durs moments. Seule exception, le viol. Non, je ne dirais pas une enfance terrible, ou en tt cas bien des gens de ma génération ont vécu pire. A sa manière Lydie m'aimait. Mais elle ne pouvait ss dte faire mieux. Voir ''lettres à Lydie'' sur ''hebra'' lecture complète. Merci de m'avoir lue.

* Avoir dû se battre, ruser, combiner pour chaque bouchée renforce-t-il ou fragilise-t-il ? Les deux.
** voir un autre article. Ultérieurement.

Une star porno et deux calimeros s'en vont en guerre contre la chloroquine

A mourir de rire ! Une star porno et 2 inconnus s'en vont en guerre contre la chloroquine. Un peu d'auto suffisance qd m ms compte tenu de ce qu'il a subi on comprend. C'est comme moi qd on s'abaisse et que je fais un selfie du bon coté. Puis compte les like.

                                                 https://youtu.be/zUbiYhknaK0