mercredi 11 mars 2020

La médecine, la grande arnaque qui tue plus qu'elle ne soigne

La médecine, usurpatrice de connaissances traditionnelles, spécialiste du brevetage indû de savoirs vitaux et GRATUITS devenus vénaux donc sous conflits d'intérêts ; et d'accaparement de facto de qualités 'certifiées', par exemple l'exclusive du titre de DOCTEUR (savant) obligeant TOUS les docteurs à préciser leur spécialité (ès sciences, philosophie etc) sous peine, ô paradoxe, d'être taxés d'usurpation de titre ! Une main basse réussie.

CUI BONO ? Qui en tire bénéfice? Cette question évidente qui vient à l'esprit devant toute assertion intimatrice comminatoires, surtout vénale, nous ne nous la posons jamais en ce qui concerne le PLUS IMPORTANT pour nous, notre santé, celle de nos enfants : un diagnostic, une ORDONNANCE. Oui, une main basse réussie. Qui tue. 

UN TIERS DES HOSPITALISATIONS PROVIENT D'EFFETS SECONDAIRES DE MÉDICAMENTS ; 150 000 hospitalisations et 18 000 décès imputables seulement aux médicaments (ne sont pas inclus ici les erreurs médicales, diagnostics, traitement.) Elle tue plus que les accidents de la route.  

La peur de la mort rapporte bien 
 .
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MÉDECINE, main basse sur la santé


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MÉDECINE ET POUVOIR. La médecine, usurpatrice de connaissances anciennes, spécialiste du brevetage indû de savoirs vitaux et gratuits devenus vénaux donc discutables (sous conflits d'intérêts) et de l'accaparement de facto de qualités ''certifiées'', exemple le diplôme de 'dicteur' euh docteur, ''auto réservé'' par celle-ci.. à celle-ci seule, du moins en France, et accepté plus ou moins par tous les 'docteurs' (en sciences, philo, histoire etc ..) et partant par tous, une main basse réussie. Cui bono ? Une question omniprésente pour toute assertion qu'ici, pour la plus importante qui soit, notre santé, notre vie, on ne pose jamais

Lettre à un jeune père, la médecine, une usurpation de connaissances traditionnelles dont on ''oublie'' la source. Exemple, les NIGELLES.

Les taches rouges ? (ndlr, une réponse à une image de moi où elles apparaissent encore)  c'est presque fini, je ne sais pas pourquoi ...  j'avais l'air d'un cul de singe.. Tristesse, plus grande fatigue ..  peut être le veganisme et ou une petite avitaminose*, ici pas d'orties, aucunes, et c'était  ma nouriture de base à Paris et en Bourgogne, des champs entiers...  En tout cas une allergie. Fais y attention et transmets, je crois à présent que c'est moi la responsable (ms pas coupable !) de vos éosinophiles, mes enfants, autrefois j'avais pourtant nié car je n'ai AUCUN signes (sauf maintenant)... ms finalement ... ? Je n'ai jamais fait d'analyse ms pour Mariane, si,  et de multiples. (LES ÉOSINOPHILES sont le signe d'un terrain allergique, héréditaire) ...
La dépression évidemment revient dès que je vais mal sans que je ne puisse savoir où est la cause et où est l'effet, sans dte une inter-relation... ms bref ça va mieux. J'ai repris mes blogs et étrangement retrouvé avec joie une certaine partie de mon lectorat ... qui, sans que ne ne fasse rien pendant des années ! m'a suivie ou plutôt a continué à me lire, si ça t'intéresse je te mets le lien... Je ne vous vois plus oui ...  l'art est une ascèse aussi ...  et la militance VEGANE.

 Un truc m'a aidée, les nigelles que m'a indiquées R, une panacée dit-on, connue depuis les Grecs, non, avant, on en a retrouvées ds la tombe de Toutankhamon, remarque il ne leur fait pas de pub, étant mort à 18 ans.. C'est extraordinaire en effet. Contre les problèmes respiratoires, que je n'ai pas, je ne peux pas savoir, forcément ! Contre la dépression, bof...  Mais incontestablement efficace +++ contre les rhumatismes ! pour la 1ère fois de ma vie, car j'en ai depuis toujours, je peux me lever d'un bond et descendre les marches d'un élan presque sans douleur. J'ai qd m arrêté au bout d'un mois (c'est d'ailleurs là que sont venues ou se sont aggravées mes plaques rouges) car ça me donnait un appétit féroce, un vrai appétit de vampire.. de Micron devant un nouveau type de pauvre à écorcher pour arriber ses donneurs d'ordres banquiers, et ça me faisait un peu grossir (1) ms je reprendrai. Et je te/vous le conseille.

Etrange, sais-tu ? Quand Lydie (ma mère, ndlr) est tombée malade en 48, (ndlr, une tuberculose pulmonaire qui avait fait dire à un ponte de médecine, un certain Balmes que j'aurai un jour ! à mon père : ''qu'est-ce que vous voulez que j'y fasse si votre femme n'a plus de poumons ?'') ... donc après ma naissance, je me demande si Tante ou Marguerite qui l'ont gardée bien que gravement contagieuse  ... (encore un truc inexplicable) AVEC MOI qui avais 6 mois ! certes dans une vaste maison dont une pièce à l'écart en bout lui etaut dediée mais qd m (3) ....  je me demande donc si elles ne lui en ont pas données (des nigelles) car mon souvenir (qui date de 2 ans après) est que nous en avions un plein acol, celui du bassin. C'est une fleur très jolie, les nôtres étaient bleues, Tante était alors fleuriste, or, avec le gypsophile, ça fait des bouquets magnifiques, très élégants,  trois branches suffisent..

Car Lydie était donnée pour perdue et même Dreyfus-Lefoyer celui qui finalement l'a opérée et sauvée avait au départ refusé l'intervention, dans l'état qu'elle était, il pensait qu'elle ne tiendrait pas et voulait attendre l'effet éventuel de la streptomycine avant... Or elle m'a raconté que dès qu'elle fût au Ranquet, elle s'était remise à manger donc à grossir (elle était squelettique) et à reprendre des forces.

Et il y a mieux! figure toi que quand j'étais enceinte, à presque 4 mois, j'ai été prise de quintes de toux horribles ... La trouille,  c'était au même âge que Lydie quand elle m'attendait. J'ai filé à Ales, au cabinet de Meynard, le pneumologue qui l'avait soignée et suivie après l'opération.

 Or pour moi, pour la mythologie familiale ET médiatique, Dreyfus, un héros incontesté, résistant (il opérait pendant la guerre en cachette car les nazis le recherchaient, risquant ainsi sa vie) l'avait sauvée en ayant tenté une opération extrêmement périlleuse, la caverne se trouvant tout près de la plèvre, et de surcroît celle-ci étant collée au poumon, au risque de perforer, il avait du la décoller avec ''une pelle à tarte'' pour pouvoir insuffler l'air et aplatir le poumon afin qu'il cicatrise, ceci pendant deux ans (on la ré-insufflait tous les 2 ou 3 mois car l'air disparaissait). Et j'ai trouvé, non pas Meynard qui était parti depuis lurette mais son successeur, Malou...  qui, miracle ! retrouva à peu près tout le dossier, non seulement de Lydie mais de toute la famille sauf le mien, perdu... Elle avait été un cas d'école étudié partout à la gloire de Dreyfus. Sauf que Malou, qui me fit l'honneur d'une 'visite' de plus de 2 heures ! démolit complètement le mythe en regardant les radios. ''Votre maman était guérie au bout d'un mois de streptomycine, c'est miraculeux en effet compte tenu de ce qu'on voit au départ, et je considère qu'à ce stade, l'opération était inutile et m dangereuse''. Je n'y ai guère prêté attention, la jalousie d'un 'petit' médecin vis à vis d'une icône incontestée sans doute..  
Mais maintenant la question que je me pose, compte tenu : 1 que la première indication des nigelles (que l'on trouve notée dans des papyrus égyptiens et ensuite, soi disant chez Mohamed qui assure qu'elle ''guérit de tout sauf de la mort'') est .. les infections pulmonaires ! (Mohamed, toujours lui, prétendrait qu'elle est un miracle de Dieu) ...  2 : que nous en avions plein les champs ... et 3 : que Marguerite et Josée étaient très versées en naturo (2) la question que je me pose donc est : n'en auraient-elles pas fait prendre en cachette à Lydie ? ..  avec la streptomycine. En cachette car Lydie..

... était très conne, comme beaucoup d'émules positivistes fans jusqu'à l'intégrisme de la SCIENCE telles que l'école Normale en pondait en chaîne, à l'époque, à chaque promotion, ça allait de concert avec l'anti cléricalisme et surtout la soumission au SAVOIR médical, levier de tout pouvoir politique masqué d'éthique...  CE SAVOIR QU'ON LEUR INTERDISAIT à elles mêmes, alors que parfois, par l'expérience, l'observation, les plantes ou, selon Jean, (ndlr, étudiant en médecine africain) les coutumes, les sorciers et ce mystère de l'instinct ou l'imitation des animaux... elles (ou ils) s'étaient constituées un savoir réel issu de ''bonnes FAME'' (réputation) devenu pour le péjorer ''FEMMES" (cad minable) ... quitte en cas d'efficacité indéniable à se l'approprier sans en citer l'origine, ou a contrario, dans le cas inverse, à s'en moquer en ommettant aussi de signaler les 'sources' souvent 'scientifiques' et médicales d'un pseudo savoir ridicule ... qui bien souvent était en fait bien souvent simplement LE savoir 'médical' de la génération d'avant, ayant prouvé son inefficience mais encore obéi par les classes populaires moins éduquées et plus soumises, quand les classes supérieures l'avaient abandonné à bon escient. Par exemple l'allaitement, considéré comme popu- bestial- an hygiénique au 19ieme, fut remis en selle la génération d'après par des bourgeoises rousseauistes, quand les femmes moins éduquées, suivant l'ordonnance médicale DE LA GÉNÉRATION D'AVANT, le refusaient  .. un autre exemple, comique, est celui des recommandations, toujours MÉDICALES, aux femmes qui venaient d'accoucher de ne pas bouger au moins pendant un mois  (ce qui est dangereux, risques de phlébites) ... exception faite des ouvrières, plus robustes, qui pouvaient retourner au taf le lendemain sans dommages... (!)
...  car Lydie donc, formatée comme toutes de l'EN, pour inculquer au peuple en bonnes Kapos, la soumission soi disant 'moderne,' 'élevée' et 'révolutionnaire'... à la 'SCIENCE' qu'on leur avait instillée**,  SOUMISSION qui, perversement se donnait pour LIBÉRATION (d'un passé archaïque méprisable à abolir, par ex des remèdes de 'bonnes femmes') soumission à la 'science'' triomphante c'est à dire au pouvoir MASCU et politique, Lydie n'eût pas accepté des plantes ! Fî donc ! Comme Jeannette, comme les paysannes ignares, pas question, elle qui était éclairée et hors superstition religieuse stupide. 

... oui, ces nigelles, je me le demande maintenant quand je vois le résultats sur moi et quand du coup je me remémore les paroles de Malou, si elles n'ont pas joué un rôle dans cette guérison miraculeuse de ma mère ! Malou par ailleurs était très con lui aussi, il m'a certes examinée mais m'a ordonné un médicament contre'indiqué aux femmes enceintes bien que je lui aie dit trois fois que je l'étais.. Et c'est ma méfiance vis à vis du corps médical qui t'a sauvé car arrivée à St A, à la pharmacie, j'ai encore réitéré ma question... et je revois la pharmacienne qui ouvre son Vidal, feuillette....  et se décompose, elle n'arrive pas à parler et me le tend ... glacée... 

Voilà, pour les nigelles ! Il faut les broyer, une ou 2 petites cuillères/jour.

(1) Une panacée est une plante qui rétablit l'homéostasie d'un malade cad qui lui donne ce qui lui manque et vice versa, lui ôte ce qu'il a en trop, ex, la sous alimentation pour moi m'a après ingestion donné un appétit renforcé, ms à un obèse, peut être, l'inverse, moins de désir alimentaire ...

(2) Marguerite disait avoir été soignée de la VARIOLE par sa gd mère à 10 ans, avec une litière de lierre haché où elle l'avait plongée nue, qu'elle lui changeait tout le temps, et en effet la seule marque qu'elle avait était au bout de son nez.
J'avoue, durement briefée par Lydie que jeune je croyais aveuglément, ne pas l'avoir crue, ms je faisais semblant, jusqu'à ce que j'apprenne : 1 qu'il y avait en effet eu quelques cas de variole en 1890 à St S, et que : 2 le lierre était préconisé pour les pb de peau notamment en cas de variole (mon copain africain étudiant en médecine) et : 3 quand je vis la dinde recueillie sur le bord de la route toute déchirée se lover d'elle même dans du lierre... et guérir ! ainsi que plus récemment HASHTAG qd il a eu la teigne ! Qu'il m'a transmise mais ce n'est rien.

(3) pour moi, ma mère c'était cette belle dame que je voyais à la fenêtre, d'en bas, sous le tilleul, ce que je dessine souvent dans mes tableaux. 

** Cf Boltanski ''Prime éducation et morale de classe'', un phare. Un exemple, Lydie avait imposé à Saussol, l'excellent médecin des mines dont on dépendait, de me vacciner (contre la variole !) alors que déjà il trouvait ça inutile et dangereux, surtout compte tenu de ma primo infection très précoce. Il l'a fait, sur la partie ext du pied et je pense très peu dosé. Le risque était réel. Mais, directrice d'école à une époque où ça signifiait autorité morale absolue du village, elle jugeait devoir donner l'exemple et montrer que tout favoritisme était hors de propos ; pour cela, elle se servait de moi comme une vitrine vivante, le formatage de l'EN était réussi. Particulièrement dure, ce qui était reconnu sans qu'elle n'en sût jamais rien ! et parfois désapprouvé, sans que personne n'ose s'affronter à elle, j'en eus confirmation longtemps après. Indirectement.