samedi 29 février 2020

Deneuve, pas si neuve, Ardent, pas si ardente, sinistre arrière garde qui fait la leçon aux jeunes !



Le corona virus, une chance pour la terre ?


Deneuve, syndrome de Stockholm !


Un gus qui vous envoie sabitemarche ne commet il pas une AGRESSION ?

Et c'est la nana qui va etre ''expertisée'' en psy pour vérifier qu'elle est OK !

Pourquoi les victimes se taisent. Pour ça. Une histoire vraie, banale au fond. Atroce aussi.

On tait ses blessures en général, (pas seulement reliées à des trauma sexuels ou pédocriminalité) parce qu'on redoute, comme l'expérience nous l'a appris, que dévoiler sa fêlure (et quelle fêlure parfois) n'encourage des prédateurs ''à l'affut'' (qui n'osent attaquer ceux qu'ils haïssent  et ou envient ? redoutant de ne pas être de force) à se ruer alors sur nous pour nous écorcher.. UN ANIMAL SAUVAGE, C'EST CE QUE NOUS SOMMES TOUS en cas de trauma, lorsqu'on y a survécu. RENVOYÉS À L'ARCHAÏSME ANIMAL, l'animal qui se cache lorsqu'il est blessé afin de ne pas tenter un prédateur qu'il sent à l'affût partout ; on se tait, on fait bonne figure. Un enfant qui très jeune a subi l'injustice, coups, peur, engueulades terrifiantes (sans objet ou prétextes) humiliations, insultes, utilisation, délaissement (y compris dangereux) .. de la part de celle ou celui qui st sensés l'en protéger n'a plus confiance en PERSONNE. Puisque personne autour de lui, des témoins mêmes, ne le soutient, c'est que personne ne le fera. (C'est peut être que ça se passe comme ça normalement et qu'il faut se taire, comme tous.) Comment lui demander de parler ? J'ai eu la chance que mes instit, Marguerite et Josée aient réussi la performance de me soutenir clairement SANS dénigrer Lydie, un tour de force dont ces deux 'vieilles' femmes très peu instruites qui m'ont eue en charge furent capables. Sans cela j'eusse été perdue.

Exemple: quand j'ai parlé..
[au départ ici DEUX paroles se superposent, une concernant une AGRESSION SEXUELLE traumatique* subie par moi à 16 ans ; l'autre, qui n'a rien à voir, mon soutien à Anita, 13 ans (non apparentée) victime gravissime d'abord de son grand père, et ensuite de la DDASS où elle fut abandonnée (dans des foyers ou familles d'accueil, -viols-)..  Anita que j'ai CRUE et soutenue autant que possible ] ...
 ... bref, qd j'ai PARLÉ donc dévoilé ma fêlure, j'ai AUSSITÔT été le cerf à courre d'Adèle, tante de la petite et syndrome de Stockholm, défendant bec et ongles son père incriminé et accablant la petite (ainsi que la mère disparue de celle-ci) inversant cause et conséquence du drame et de son comportement (addict) ...  Adèle qui : 1 me calomnia partout, (folle mytho** son leit motiv, je l'ai su par des potes) sans bcp de succès (je suis connue et.. elle aussi) et 2 : vola une lettre que j'avais écrite à son mari (mon cousin, dans laquelle je faisais mon 'coming out' au sujet de l'agression sexuelle subie à 16 ans) puis sans rien lui en dire Y ''RÉPONDIT'' à SA PLACE par une lettre d'insultes particulièrement cruelle, et hors sujet (je serais une s. qui fais des histoires partout*** sème la merde, que personne ne peut aimer, d'ailleurs mon mari m'avait quittée trompée c'est pour ça, et mes enfants aussi, que je n'avais pas élevés ms laissés à ma mère, je ne parviendrais pas à comprendre un Couple, une Famille heureuse où On s'Aime sans autre choses (majuscules 'respectées' ms orthographe corrigée) où tout est Limpide et Rien De caché etc ...'' (passage désopilant si on songe qu'elle répondait à une lettre VOLÉE destinée à son mari au nom de celui-ci qui en ignorait tout... pour revendiquer la LIMPIDITÉ de leurs relations !) Il s'agissait d'un transfert presque parfait, comme l'observa mon fils qui avait trouvé le 'poulet' plein d'épluchures prêt à partir à la poubelle et l'avait lu malgré moi, en éclatant de rire**...Par la suite elle briefa sa fille contre moi, sa fille qui avec elle envahit ma propriété, menaçante, qui m'accusa devinez? d'inceste avec mon cousin (son père) j'ai dû faire intervenir les gendarmes pour qu'ils partent et depuis je ne peux plus aller chez ''moi''.

* il y en eût une autre, à 3 ans, non traumatique car je fus IMMÉDIATEMENT débrifée par ma gd mère.
** accusation classique contre ceux qui parlent ou dont on le redoute, Anita en fit les frais aussi..
*** intéressant de voir que l'homme que j'incriminais dans ma lettre, mon agresseur, n'était nullement un ami d'Adele qui le défendait pourtant en m'accablant odieusemement, bien au contraire, un bourgeois cultivé limite méprisant envers la gentuzza inculte vulgaire qu'elle représentait pour lui ... alors qu'au contraire, autrefois, j'avais été plutôt une 'amie voire même une aide. Un syndrome de Stockholm agit à rebours et de la logique, de l'éthique et de son PROPRE INTÉRÊT. Il se solidarise avec le victimeur quelqu'il soit et s'en prend à la victime, quelle qu'elle soit, c'est la structure squelettique qui lui permet de tenir. Dites lui que vous avez des attirances ACTÉES pour des gamines, tendance sadiques ou autre perversion et vous aurez ses suffrages, (même s'il n'est pas lui même pédo car parfois il le devient, et seulement victime, directe ou indirecte) ; dites lui que vous êtes victime, ou solidaire d'une victime-enfant (moi, je cumulais les deux) et il va vous déchirer à plaisir ! ou s'il est prudent, lancer contre vous un séide bien préparé (ce qui est une manière assez moche de le ou la victimiser par ricochet car il est évident que vous refuserez ensuite tout contact dont ce ''demi innocent.e'' eût grandement bénéficié.)

Note, si après avoir été victime ou seulement témoin impuissant (ce qui est parait-il pareil quant au trauma) les hommes tendent à devenir agresseurs, mais pas les femmes, bcp plus nombreuses à être agressées, on peut ici se demander si le syndrome de Stockholm ne 'remplace' pas chez les femmes cette tendance des hommes à réitérer leurs dols sur une victime, car finalement cela revient au même, ils infligent une souffrance à une victime, mais à la place d'un autre, du victimeur. En ce sens le complexe de Stockholm serait identique à celui du larbin : il se soumet (ça le rassure) à plus fort et lui rend service pour blesser ses victimes. Indirectement. On voit ici Adèle, non pas agresseure directe comme peut être un homme l'eût été, mais accableuse active cruelle* de TOUTE victime, surtout si celle-ci ose parler (Anita bien sûr, et moi-même qui cumule : 1 je la soutiens donc participe plus ou moins à sa dénonciation de son gd père et 2 je fais mon propre coming out quant à un trauma, infiniment moindre) et défenseure inconditionnelle de tout agresseur, même s'il la mésestime et si la victime de celui ci au contraire a incontestablement fait montre de générosité. D'où l'affreux dicton, "aide vilain tu seras son chien, botte le, son souverain".

* avec une cruauté insigne, Adèle, dans sa lettre, mélange le vrai et le faux et attaque comme un lynx un cerf plus puissant au défaut de l'épaule où elle s'accroche pour déchirer lentement : ma mère vient de mourir, je viens d'être à la retraite, ma fille après une anorexie gravissime pendant laquelle j'ai dû la confier à Lydie tout en m'en occupant de loin (études, lycée) je ne la vois plus, (ms elle réussit sa carrière) mon fils, si, mais avec qques pb moins graves, je n'ai aucune fratrie, mon mari en effet s'est associé à une autre femme (ce qui à l'époque me peinait) et enfin, ça, Adele l'a oublié ou ne l'a pas su ! une amie chère, ne m'ayant (la preuve est faite de ce qui m'était dit et répété et que je balayais) ne m'ayant courtisée que lorsque j'étais au top et pour CELÀ (exploitation) m'a larguée violemment etc ... Cela arrive svt en chaine, c'est l'entonnoir. Je suis donc en plein marasme (alleluïa, elle peut y aller enfin!) ms cette partie de l'affaire se règlera au mieux conformément à l'éthique, grâce à des amis, (D'AUTRES) ..  (quoique je ne puisse encore venir chez moi), mais la 'vraie' victime hélas demeure Anita, plus fragile, qui se suicidera à l'alcool. Il faut une immense base d'appui pour résister aux Syndromes de Stockholm, de la chance, être sans (trop) de scrupules, plus retorse, plus intelligente qu'eux. Cette force, je l'ai eue. Anita à 13 ans, et m après, forcément ne l'avait pas.

https://motsdefemmes.blogspot.com/2020/03/pour-charlotte-lewis-qui-vu-sa-vie.html

J'ACCUSE (2) Polanski


L'animal peut il mentir ?



Rêves de vie, résumé de livres

"Rêves érotiques" Viridiana

Rêves de vie
Je suis au treizième étage, dans une résidence confortable du quartier de Montparnasse, —en fait chez moi.— Pas de bruit, moquette de cinq centimètre d'épaisseur, tout est insonnorisé et les voisins, discrets: je ne les connais toujours pas au bout de dix ans, c'est dire... ni eux, moi, dans doute. Luminosité et angoisse. Des baies vitrées étincelantes, vue sur le quartier et des immeubles identiques au loin. Deux enfants en bonne santé, un mari absent, je suis une femme heureuse, je sors peu, voire même pas du tout. A quoi bon ? N'ai-je pas tout ce dont on peut rêver? Mais pourquoi cette angoisse alors, prégnante, devant la fenêtre ? Ou sur le balcon fleuri ? Ce jour là, je suis seule, les enfants sont en vacances dans le midi, chez "moi" c'est à dire chez mes parents. Un midi dont je suis exilée, puisque mon mari n'a pas voulu s'y installer. Paris, évidemment, c'est la ville lumière, la ville qui m'a absorbée et dévorée. Je me réveille, l'appartement est en flammes, l'immeuble brûle, un feu d'enfer. Il faut fuir. Vite, ou c'est ma mort. Je cours dans le couloir, les portes sont en flammes. C'est l'horreur. Tant pis, il faut sauter. En bas, la rue, les gens tout petits, n'ont rien vu, ils courent vers le métro, ou flanent devant les vitrines. Mourir pour mourir, autant que ce soit rapide et surtout pas être brûlée vive, je n'ai pas la vocation de Jeanne d'Arc... Je saute, tant pis.

 Et je descends lentement, comme en vol, et me pose délicatement sur une pelouse verte et grasse, dans une prairie où broutent des vaches paisibles. En fait, l'appartement était au rez-de-chaussée. Je l'ignorais. Un rêve. Une réalité aussi. Voir l'allégorie de la caverne... Autre rêve: je suis dans une foule sympathique, un groupe plutôt de gens qui devisent aimablement. Je veux prendre la parole aussi, tout naturellement. On me répond, toujours aimablement, que je ne le puis car je suis morte. Ou du moins pas en vie, comme tous les autres. Je m'indigne: - mais si, je suis vivante, voyons, vous le voyez bien ... On me répond qu'une parole ne suffit pas à le prouver, sinon ce serait trop facile, ils sont bien obligés de me demander des garanties sinon où irait-on etc... Toujours très gentiment d'ailleurs. Je m'énerve un peu. - Quelles garanties à la fin? - Il faut présenter un certificat de vie me dit-on très posément, comme si c'était l'évidence. -Ah bon? Mais où le trouver ? On m'indique un bureau où je dois aller le réclamer. Soit, ça me rassure presque. Puisqu'il suffit d'un certificat, ça ne devrait pas poser problème... Je me présente au guichet. Il y a la queue. Apparemment, beaucoup de gens sont dans mon cas. Je prends la file. Je demande à celui qui est devant moi: vous aussi vous devez présenter un certificat de vie? -Oui. - Et ça prend longtemps? - Ca dépend. Parfois, oui. - C'est à dire ? - Oh, toute la vie... J'attends paisiblement. la réflexion de mon prédecessur ne m'a pas trop inquiétée, finalement. Puisqu'il suffit d'attendre... Un livre époustouflant... Entre rire et désespoir. Voir site 

J'ACCUSE Polanski


Polanski injustement en liberté utilise Dreyfus injustement condamné. Immonde !


Polanski, les gens au milieu (de quoi?) Ou culs anciens

C'est ce que j'appellerais le complexe 'Françoise Tardy', euh, Hardy mais Tardy ça va aussi (pro corrida) ou Fanny* Ardent (amie 'passionnée' de Polanski) ... Des ''ratetrains'' à présent quant au logos, en mode je suis modérée au milieu, bien au centre, pas un poil qui dépasse et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit...  (quant à moi je ne dis rien sur le reste, sur leur talent éventuel, ça fait plus de 10 ans que je ne suis ni allée au cinéma ni n'ai regardé la télé, et je ne suis jamais entrée dans une salle de concert, je trouve celà cher et malsain.)
* En vieux provençal, désigne le postérieur. Si bien qu'on pourrait synthétiser en Fanny-Tardy, un concept  (traduction, ''cul ancien ou en retard''.)