Les portes greffes. (Souvent mais pas toujours ! des bouc-émissaires.)
Il y a des gens, des femmes la plupart du temps, qui ont le don d'accrocher les fantasmes de leurs proches sans pouvoir les décoller de leur échine, des gens à qui on va dire 'tu es comme ça' et qui y croiront ou ne protesteront qu'à peine, des PORTE GREFFES. Exemple, ''tu n'était pas complètement végétarienne à cette époque'' (si). Ou : ''si Anne te bat froid, c'est parce que tu es une gauchiste échevelée'', (mon père ) ... (faux, c'est parce que cette tante snob juge que la fille d'un simple petit entrepreneur de province, fût-il son frère, n'est pas une nièce présentable à sa gentry ou dite telle constituée de haut gratin ou dits tels.) Ou encore 'mais tu as 1300 € de retraite voyons'' (faux). Etc... C'est très emmerdant. A la fin onséplu
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Un autre article, différent certes mais qui s'emboite bien !
[Note préalable, les erreurs de claviers, en certains cas géniales, sont volontairement maintenues.]
VIOLS ICI ET LÀ, UNE QUESTION DE CULTURE
Étranges américains qui répriment, certes avec une juste et exemplaire force.. ce qu'ils semblent avoir accepté ouvertement voire valorisé sans états d'âme des décennies avant (la violence sexuelle dans le milieu du cinéma). ''Nous'' avons plus de .. pudeur ? De modération ? D'usage simplement ? On viole discret. Pas en technicolor comme ces vulgaires. On suit le mvt 'viol anti-viol' (ex Popaul) avec une décennie de retard mais en principe tout en coulisses, 'élégance' continentale oblige, cad délicate hypocrisie, on n'est pas des culturellement parvenus, nous ! Problème, Popaul réfugié chez 'nous' (une trouvaille dudit qui sait) le pays de Céline, du style (foséparerleculdelom) snobisme aidant,
[ car koikonendise on est à genoux devant ces vulgos parvenus qui ont une certaine prestance rafraîchissante dans leur immorale trivialité, tels un lointain cousin riche et prestigieux mais mal embouché qui crache ses noyaux de cerise sur les tapis mais profère et acte des énormités efficientes qu'on pense sans oser, et qui nousxservent inconsciemment ou non, de MODÈLES -un peu comme un archevêque irréprochable qui rêve d'aller au bordel]
.. Popaul donc a brouillé les pistes, et cette exception a fait exploser l'audimat media. Car enfin, des brioleurs de cet acabit, on en avait plein nous aussi ms chuuuttt... on pouvait même leur donner un prix mais on faisait alors l'impasse sur leur passé de VIOLEUR (GM), les américains non puisque tout était dans les tuyaux de la machine à sous, prêche procès fric dommages intérêts contrats etc ... ça roule ma poule... Notons qu'en marge de la Justice (morale exposition ouverture voire déballage) on a, secrets, perso et affranchis de toute éthique les CONTRATS où tout peut être indiqué, dommages intérêts, mode de versement, vente parfois, rente, interdiction de parler ensuite de l'affaire pour la victime, voire indirectement obligation de prendre le parti du victimeur, je simplifie à peine, avec sanctions en cas de manquement, financières, un montant prévu, et récompense en cas de soutien efficient.. Le fric roi + le cul décomplexé + Machiavel trois tropismes donnent un résultat burlesque, surtout associés à une certaint ouverture (opposée à notre hypocrisie) : un mixte savoureux qu'on n'oserait pas prendre comme canevas de scenar parce que le pub,ic n'y croirait pas... où on voit une victime prospère, un peu trop ouvertement, prendre avec une finesse digne d'un argument d'étude peaufiné, le parti de son violeur et tacler ses soutiens féministes, CHAQUE FOIS QUE NÉCESSAIRE rappelée ? parlant de lui comme d'un ex mari avec lequel, après un divorce houleux, les rapports se dont améliorés jusqu'à l'amitié sincère...
Un pays et une culture de contraste et d'explosion de ces trois tropismes où tout dépend de la position de la victime, qui peut en jouer, et de l'habileté de son avocat donc de ses moyens financiers ... par rapport à celle du victimeur devenu en certains cas son ''employeur''..
Voir le cas Samantha Geler, article suivant ou précédent
