mercredi 14 octobre 2020

Les femmes au cours des siècles passés, 10 enfants en moyenne et la mort au bout. Le cas Tolstoï


 Littérature des hommes, boycott ? Oui mais ... Discutable aussi ! car cela permet de mesurer la profondeur de leur perversité envers nous. Ainsi ds la ''Sonate à Kteutzer'' Tolstoï met-il en scène un homme jaloux qui accable sa femme de maternités successives ds la ferme intention de la détruire. Au moins sa beauté, son allure. Et plus si possible. Puis il la poignarde car elle ''est inusable et indéformable'' dit-il. Procédé courant, volontaire ou non, voire demi volontaire depuis tjrs, pour récupérer les dots ds certains cas. Les femmes. les reines, (du moins le sait- on pour celles-ci et y survivaient-elles plus svt) avaient couramment jusqu'à 17 enfants (Marie Thérèse d'Autriche, dite la Grande, mère de Marie Antoinette) et en mouraient principalement. Lorsqu'une alliance n'était plus utile, voire nuisible ou pire, honteuse, et le divorce impossible (ou nécessitant un douaire important voire le remboursement de la dot ou d'une partie de celle-ci, une cata), c'était un moyen facile de conserver l'argent parfois faramineux de l'épouse et une nouvelle alliance fort utile, ou selon son coeur parfois, ou encore les deux : Catherine d'Aragon, Lucrèce Borgia (devenue duchesse d'Este à coup d'une fortune, à son 10ème enfant, imposé par son mari malgré son extrême fragilité) Claude de France etc ... Si, il faut lire des hommes Alice. J'observe que Liova, bcp plus agé qu'elle, et terriblement jaloux bien qu'homosexuel (!) a eu 13 enfants avec Sophie. La sonate à Kreutzer...

Sophie Tolstoï, 13 enfants... et ''la sonate à Kreutzer'' à lire absolument

 LIRE LES MECS !  Si si, il faut les lire. C'est vital. Pour NOUS. Plus d'un siècle après, la Sonate à Kreutzer, 'née' en 1888 ('"oeuvre féroce" ''contre la société") est fondamentale, sidérante.Tolstoï lui-même, après l'avoir terminée, en fut épouvanté. "Mes propres conclusions m'ont d'abord terrifié. Je voulais ne pas les croire, mais je ne le pouvais pas... J'ai dû les accepter." Bizarre ce dédoublement non ? L'origine de ce texte, une rencontre avec deux musiciens.. Et peut être un ou des amours ''coupables''? Sophie ? Liova ? Sûrement dans son cas. Fantasmé ?  Réel ? 

Il en ressort un dégoût du mariage, une forme de "prostitution légalisée". (Ndlr, Liova certes est aristo et riche, mais Sophie, bien que roturière, est d'un milieu aisé et surtout très proche de la Cour, ce dont Liova profita considérablement, donc ce point ne saurait lui être reproché, et elle a 20 ans de moins). Dégoût de la chair, "quelque-chose de sordide qui nous ravale au rang des porcs", dégoût des femmes qui tiennent 90 % de l'humanité sous le joug de l'esclavage. Oui, tout vient de là, elles se sont muées en armes d'assaut sensuel, au point que les hommes sont incapables d'entretenir avec elles des relations paisibles*." Certes ces violentes diatribes sont celles d'un déséquilibré meurtrier de son épouse mais...  le texte fait l'effet d'une bombe.

Auprès de Sophie d'abord (1844-1919), première lectrice qui, en épouse dévouée, malgré les maternités à répétition (13 enfants dont 4 morts en bas âge) et la gestion du domaine, recopie et corrige les manuscrits, saisie de fascination et d'horreur. "J'ai senti que ce récit était dirigé contre moi, note-t-elle dans son Journal. Il m'a humiliée à la face du monde."

 Elle se rend pourtant à Saint-Pétersbourg, où le texte vient d'être censuré par Alexandre III (ndlr, qu'elle connaît fort bien, son père étant son médecin) et obtient qu'il soit publié, le meilleur moyen, pense-t-elle, de faire taire tous ceux qui voudraient y voir une peinture de son propre couple. Puis elle contre-attaque et en 1892, écrit ''Le Roman d'une femme, à propos de La Sonate à Kreutzer de Léon Tolstoï, par la femme de Léon Tolstoï''. On ne saurait être plus claire ! 

Ce texte restera inédit, caché pendant plus d'un siècle** et fut traduit pour la première fois en France, en même temps que l'autobiographie de Sophie (censurée). Lire en miroir les textes de Léon et de Sophie est d'une grande richesse : un diabolique jeu de chat et de souris à nu. D'un côté une âme ardente et passionnée, habitée par "un idéal de religiosité et de pudeur" (Sophie selon elle) et de l'autre, un tyran domestique, "indifférent dès qu'il cesse d'éprouver du désir" (Léon selon elle). D'un côté, la "grande âme de la Russie", génie en perpétuel mouvement qui veut "parler aux hommes ordinaire comme leur "frère" (Léon selon lui). De l'autre, une harpie opiniâtre qui n'entend rien au mysticisme de son mari, et dont la hargne s'exprime à tout propos, "à cause du café ou de la nappe..." (Sophie selon Léon)... ndlr, Sophie qui refuse qu'il déshérite leurs enfants, ce qu'il fera tout de même ! Et qui n'est pas enthousiaste à l'idée qu'il affranchisse ses serfs, ce qu'il fera aussi. Sur influence d'un étudiant pervers dont il est ostensiblement amoureux... et qui hait Sophie. Mais qui idéologiquement n'a pas toujours tort, même si ses motivations sont sordides (faire éclater le couple, conduire Liouva à mépriser Sophie et l'''avoir'' à lui seul). 

En fait les époux disent presque la même chose. Ils s'interrogent sur les mêmes questions, les hypocrisies de la vie conjugale, la place supposée de la sexualité dans la société et celle qu'elle occupe dans nos existences, disent aussi qu'ils ne sauraient se passer l'un de l'autre et pour rien au monde, ne renonceraient aux raffinements pervers qui, chaque jour, pimentent leur amour-haine. "Nous étions deux forçats liés à la même chaîne qui se haïssaient et s'empoisonnaient mutuellement l'existence" résume Tolstoï dans La Sonate à Kreutzer. A la fin du roman, Pozdnychev, fou de jalousie, assassine sa femme, Léon n'assassine que par livres interposés et Sophie idem, une relation impossible durera quarante-huit ans, jusqu'en 1910. A cette date, Tolstoï épuisé (il est plus agé qunelle de 20 ans) quitte en secret Iasnaïa Poliana et meurt en solitaire dans la petite gare d'Astapovo. Après avoir dit peu avant ''on a beaucoup accusé Sophie, à tort''. Celle-ci, en lisant sa lettre d'adieu, tentera de se noyer dans un étang... Elle mourra à 80 ans en nettoyant ses vitres d'une pneumonie à cause du froid. Enfants, et elle même, totalement ruinés. Son désespoir. 

*Tolstoï probablement homosexuel entretenait avec un ''étudiant'' devenu voisin des relations passionnées qui insupportaient Sophie (et vice versa), ces passages sont caviardés la plupart du temps. 

**avec la complicité des enfants cela ne fait pas de doute, qui dans l'affaire, ont pris le parti du père y compris lorsque Sophie se battait contre lui POUR EUX. Une fascination pour leur père... mortifère (alcoolisme, drogue etc .. pour les garçons du moins). Syndrome de Stockholm? Une de ses filles (qui pour certaines jouaient le rôle de servante, cuisinière etc...) dit en avoir un peu, un peu seulement, voulu à son père (mort) qd elle se rendit avec une de ses soeurs à une rétrospective théâtrale de son oeuvre et s'aperçut .... QU'ELLES N'AVAIENT PAS DE QUOI PAYER LE BILLET D'ENTRÉE ! Elles repartiront tristement.

 

mardi 13 octobre 2020

Alice Coffin, 2

 Questions féministes, auto critique, reprise....Un trauma. Pour Cristelle à propos d'Alice Coffin (avec laquelle je suis d'accord à 99% par ailleurs) Cristelle qui observe que cette évidente recherche de masculinité (d'où un discours féministe disons un peu ... obéré voire paradoxal) que je pointe chez Alice n'est peut être pas si importante. Analyse. 


---- Oui, ce n'est peut être pas si fondamental qui sait ? Peut être ma gêne (mais il n'y a AUCUNE RAISON DE LA CACHER) provient-elle de ce que suis ou FUS autrefois ''handicapée'' par un physique trop 'féminin'' ? Et l'envie ou injonctions (impossibles à réaliser) d'en changer POUR ÊTRE PRISE AU SÉRIEUX DS MON COMBAT FÉMINISTE OU JUSTE INTELLO ? Presque LA JALOUSIE VIS À VIS DE CELLES QUI AVAIENT LA CHANCE D'AVOIR UN PHYSIQUE PLUS ''ADÉQUAT'' (grandes minces sportives, sans bcp de poutrine, je laisse) bref une allure ciselée... par le SYSTÈME pour marquer la valeur, l'intelligence, le ''top''? ? Je vais y penser...  Exemple : parfois pour les concours et les thèses ds certaines matières (pas trop la philo quoique...) c'est à dire à un niveau top des études, on demandait/ imposait (certes pas directement, pire dans l'hypocrisie, comme ''allant de soi") aux filles d'avoir une voix ''neutre'', assexuée (non féminine en tout cas, cad de fait tournant au masculin !) et en suite logique un physique idoine! ça allait donc de soi ! c'est ss dte ce qui a fondé le Castor à adopter ce ton particulier ( métallique, sec, assertorique) que Lydie (qui trouvait que je la copiais) appelait ''Sorbonne'' ... et parfois, mais pas en philo, de PERDRE NOTRE ACCENT,  il ny avait un MOULE et ce moule était masculin et parisien : c'est l'archétype que peut être inconsciemment je vois à L'OEUVRE avec Alice, d'où ma gêne. (Il me semble me souvenir de m que Curie se disait gênée par sa trop forte poitrine au labo.) Ce pourquoi les modèles trop parfaits de ces injonctions paradoxales clairement ANTIFÉMINISTES SOI DISANT PAR FÉMINISME (Lydie, modèle de ces ordonnances svt cruelles que pourtant elle moquait chez Simone en était bel et bien L'EXEMPLE) me dérangent. Oh ! les phrases ironiques cinglantes sur la, sur MA, sur NOTRE féminitude, ou plutôt ''les signes extérieurs -forcement méprisables- de féminitude'', je les entends encore chez ma mère ! Même phénomène ds les groupes militants. 

Une observation : le Castor, par certains côtés, vis à vis de Sartre notamment, était en réalité une femme très ... mmmm disons traditionnelle ! Tout comme Lydie vis à vis de mon père. Ce sont ces femmes formatées ou auto formatées qui svt le sont. Étrange non ? Ne répondait-elle pas savoureusement à un journaliste qui l'accusait d'avoir été boostée voire influencée par Sartre ''pas d'un tout, son intervention s'est borné à recommander un manuscrit à Gallimard'' ? 

Autre observation : autrefois livrée pied et poings liés dans un milieu ostensiblement et uniquement féminin, hard, odieux, (mettons la prison ou son succédané) je fus ... disons la tête de turc d'un groupe, non, d'UNE lesbienne (mais suivie par des ''followers'') qui me harcela au suicide (certes pour d'autres raisons aussi). Objectif et plan d'attaque : mon allure. Hé oui, ça existe. Comme auraient pu faire des mecs? non, pire. D'où peut être mon trauma,  réel, et ma gêne à présent. Désolée. 

Troisième observation. Le phénomène de la femme ''mec like'' (je ne parle pas ici des ''butch''* rien à voir, au contraire) s'accompagne svt d'une plus grande ''réussite'' sociale** (ce qui est logique, car ces 'révoltées pro' sont aussi des soumises) soit ... mais avec en prime une forme d'arrogance peut être inconsciente vis à vis des femmes en général voire de mépris, telle celle qui à chaque intervention décline ses diplômes er position sociale. Et merde. 


* qui a contrario représentent stt les proles voire margi-bagarre squatts. 

** l'injonction-sorbonne en lettres CLASSIQUES pour les épreuves orales était TAILLEUR accent idoine c'est à dire look bourge garçonne mais sans excès, neutre, et PANTALONS PROHIBÉS. En philo liberté quasi totale mais une feminitude trop accentuée etait qd m de mauvais aloi. Accent toléré.

samedi 10 octobre 2020

Alice Coffin, un fil

 Notez que je n'ai rien modifié de l'image sur le fond juste un peu de maquillage et les cheveux. Alice tel le qu'elle aurait pu être. Avec laquelle de surcroît je suis d'accord sur quasi tout. Sauf que ...  Voilà! 

'' Bon, son allure VOULUE ME GÊNE. Car ce qu'elle dit (fort et bien) en perd de valeur, et NOUS met en situation de communication paradoxale ('faites comme moi blackboulez les mecs, ils le méritent'' non ? ok ok mais LÀ, ça fait bizarre...) Oui je comprends, être femme, stt JEUNE ! est CHIANTISSIME*, ma fille à 13 ans affirmait ''je veux être laide'' et au m âge je pensais de même (seins bandés etc, ça m'était plus facile car elle était vraiment jolie) mais se DÉGUISER en mec carrément et en mec VIRIL de surcroît (non pas comme je le faisais, en éphèbe) est plus que se faire 'moche', c'est reconnaître implicitement leurs valeurs, de fait ''nous'' mettre mal à l'aise et obérer partiellement ou ridiculiser notre combat. Comme les noirs qui se blanchissent la peau. Du reste les couturiers, svt homo qui font l'esthétisme femelle y souscrivent avec leurs mannequins-cintres à idées, assexuées à en mourir. 

* Les cheveux blancs, (en très peu de temps, enceinte de mon fils) :  magique, stt courts, une libération !  (J'étais chatain roux comme elle mais affligée d'une tignasse impressionnante.)'' 

 

Claude Aigle  ------ Tes propos et comportements son hyper transphobes réfléchis a tes propos.

H ----- Transtruc, sais pas ce que c'est. Ou alors comme Mr Jourdain de la prose, je fais du transtruc sans le savoir ? soit je fais confiance aux spécialistes, moi je sais juste que je suis mal à l'aise devant les ou des hommes, souvent, stt posant viril ET IDEM envers les femmes IDOINES ....

H (après vérification je m'aperçois que Claude est un h) ----- Ah, je vois, c'est un mec qui me demande de ''réfléchhir'' ! ok je préfère, un mecxplicateur comme un autre.

J ----- et bien je ne suis pas un mec, et j'avoue que tes propos sont assez transphobe/homophobe. Tu ne t'en est peut être pas aperçue mais effectivement cela jete un malaise quand on le lit et qu'on milite en la matière. (Ndlr, propos cités tel que). 

V ------ ce n’est pas transphobe, mais homophobe ou lesbophobe. Alice coffin est lesbienne pas trans.

H ----- Homophobe, lesbophove, transphobe, bouuuuu tout ça pour moi, hé bé... 

Mais enfin, ça ne vous surprend pas (je dirais même ça ne vous INDIGNE pas ) la CON-DESCENDANCE (en deux mots !) d'un MEC qui me demande de ''RÉFLÉCHIR'' et de surcroît  de ''réfléchir 'FÉMINISME'' ? Vous ne voyez pas le VRAI malaise, là ? Et vous CORROBOREZ ? En effet, que des 'femmes', telle par exemple Yourcenar à l'Académie, Alice, à la Mairie de Paris  ... représentatives de NOTRE libération, de 'nous', c'est à dire, au moins pour l'une, des femmes que le SYSTÈME (ce système qui nous BROIE TOUTES) a CHOISI pour NOUS représenter, nous HONORER, (devenues porte-gonfalons assumées ou involontaires de NOTRE cause) effectivement je le prends comme un pied de nez, une géniale entourloupe, tournant les didascalies à l'inverse pour nous ridiculiser. Pour Alice, je ne sais pas [quoiqu'on ne devienne pas adjointe à la Mairie de Paris ou prof à la Catho (!) un beau matin sur un plateau et même!] mais pour Youcenar, grande bourgeoise décomplexée, c'était volontaire, Yourcenar qui avouait, candide ! avoir heureusement une compagne discrète et dévouée qui lui ''enlevait depuis toujours les pierres du chemin'' et sans laquelle etc etc ... Alors oui, ça me met mal à l'aise que ce soient justement des femmes qui me semblent quasi des mecs ou FONCTIONNER COMME TELLES qui NOUS qui ME représentent dans NOS luttes VICTORIEUSES. 

* Observation : toutes ces femmes ou la plupart, vous le remarquerez, malgré parfois un activisme extreme (et auquel je souscris svt à 99%) ont des carrières ''sociales'' plus qu'honnorables voire au top, ou en tout cas fort bien récompensées. (Ex Alice ... à la Catho!) Un hasard ?  Vraiment ? Représentatives de 'nous' la vilgate, (je laisse) ? 

[Note, même sur d'autre plans, nous n'échappons pas au système : exemple sur le viol, on se souvient et honnore récemment Gisèle Halimi. Qui se souvient et honnore Anne Tonglet et Aracceli Castellano ? ]

Alice Coffin

 Bon, son allure VOULUE ME GÊNE. Car ce qu'elle dit (fort


 



et bien) en perd de valeur, et met en situation de communication paradoxale ('faites comme moi détestez les mecs, ils le méritent'' ok ok mais là ça fait bizarre...) Oui je comprends, être femme, stt JEUNE ! est CHIANTISSIME* ma fille à 13 ans affirmait ''je veux être laide'' et au m âge je pensais de même (seins bandés etc, ça m'était plus facile car elle était vraiment jolie) mais se déguiser en mec carrément et en mec viril de surcroît, même pas comme je le faisais, en éphèbe, est plus qu'être 'moche' c'est reconnaître implicitement leurs valeurs, ''nous'' mettre mal à l'aise et obérer partiellement notre combat. Comme les noirs qui se blanchissent la peau. Du reste les couturiers qui font l'esthétisme femelle ! svt homo, y souscrivent avec leurs mannequins-cintres à idées, assexuées à en mourir. 

* Les cheveux blancs, (en très peu de temps, enceinte de mon fils) :  magique, stt courts, une libération !  (J'étais chatain roux comme elle et affligée d'une tignasse impressionnante.)

Photo non retouchée sur le fond, juste un poil de maquillage yeux et les cheveux ajoutés, cas ce qu'elle est ou pourrait être vraiment.

vendredi 9 octobre 2020

Lettre ouverte à Dieu

 Lettre ouverte à Dieu... 


Désolée de te le dire mais si tu as superbement réussi plein de trucs, la Nature notamment, des trucs que nous ne comprenons même pas (bien que parfois des usurpateurs le prétendent pour épater la galerie et engranger) mais dont nous bénéficions quand même  (à condition d'écouter notre corps et non ceux qui s'en font les spécialistes rémunérés, du nôtre et en vrac ! de tous les 17 milliards que nous sommes comme si c'était possible!) ...  par exemple en anatomie, physiologie et surtout biochimie, l'extraordinaire jeu des molécules, le cycle de Krebs, un jeu forcément intentionnel semble t il, d'une complexite inouïe, qui font que nos organes (en principe!) si on n'est pas trop consanguins, fonctionnent au poil, une horloge suisse... y'a quand même des trucs que tu as lamentablement raté : l'homme en général et dans l'homme, surtout le mâle : trop fragile et qui en plus se croit Nemrod ! manque d'un X .. mais où avais tu la tête cher Dieu ? tu sais bien que c'était indispensable sur le 23 enfin ! Et du coup, cerveau trop ... comment dire ? Envahi par des idées (non, des OBSESSIONS) qu'un être intelligent a du mal à comprendre : le foot, la boxe, léjezolympiques, les courses de voiture, les corridas et autres immondicités etc .. le cul éventuellement peut suppléer (car les fans de ces saloperies dysfonctionnent* forcément sur ce coup) mais ça ne vaut guère mieux, car l'agressivité y prévaut souvent... bref, si bien qu'il n'en reste plus assez pour penser. La femelle idem, ms chez elle, ce sont les organes sexuels qui sont ratés, le cerveau va assez bien : mais cher Dieu, comment as tu pu imaginer une femme de 60 kgs sortir un bébé de 3 au moins qd l'ourse de 500 kg fait royalement des petits de quelques grammes ? Bref, ça ne va pas. Pas plus que le sciatique, tu sais de quoi je parle, sis contre voire DANS le piriforme pour certaines ! M'enfin, en cas d'efforts même minimes, innondations par exemple, je ne parle pas d'accoucher, tu devais bien savoir que cela allait nécessairement coincer ? ... il est vrai qu'il y a les orties, un miracle certes mais ici, macache. Comment as tu pu nous faire perdre et MÉPRISER la seule chose qui eût pu nous sauver et la planète avec, notre INSTINCT, enfin ce que ne appelons ainsi et qui n'est que notre reliement au monde en totalité, nature et univers, que nous ne comprenons pas mais que nous ''COMPRENONS'' qd même EMPIRIQUEMENT ! Que nous vivons en phase ? Qui a SU que le saule soignait les migraines ; le fenouil et les orties, les pb d'érection et les dépressions ; les orties, toujours, les sciatiques ; l'armoise annua, le palu, le covid et autres conditions que nous ignorons ? Hildegarde Bingen le 'savait' déjà au 11 ième siècle. Comment ? Comment as tu pu laisser vivre et prospérer quelques mâles crétins odieux tyrans bigpharmesque et périr d'innombrables victimes qu'on appelle le peuple, nous, moi, tous ? Y'a là un truc que je ne pige pas là... j'exige des explications et un changement radical sinon couic je ne crois plus, fût ce ''deus sive natura'' ! Tu l'auras voulu.


* Je lis hier que lors de certains supplices abominables (de la renaissance, mais oui !) exemple Damien, des femmes (prostituées ? dans ce cas ça ne signifie rien, juste un business, mais pas seulement) se proposaient ou consentaient plus volontiers, fort recherchées en ces moments d'horreur par des spectateurs -demandeurs, l'abomination réveillant ou exacerbant en eux leurs pulsions. Des chambres étaient louées acorix d'or pour le spectacle.. et plus si affinités en somme ! Je me suis souvent posée la question à Nîmes quand j'habitais à côté des arènes pendant la feria et qu'on voyait tout une faune surgir bigarrée et l'oeil brillant, prostituées et clients vocatifs ou juste libertin.es en maraude. [La plus belle crise d'angoisse de ma vie, voiture, vite, quitter ça, rouler à fond jusque chez ''moi'' ...  Je me suis sentie seule à un point inimaginable, sur la planète Mars, sans oxygène.] Autre curiosité corroborant cette idée : la statue de Nimeno devant les arènes est polie comme un miroir aux fesses. Non ce ne sont  pas les intempéries !