jeudi 23 avril 2020

Ceux qui ont ''réussi'' et 'cekionpa' analyse...

Ceux qui ont ''réussi'' et ceux kionpa. Autopsies!
Vous allez rire, j'ai rêvé d'une amie (marseillaise) chère même si je la vois peu (par ma faute), svt je rêve de mes amies, une à une, là, c'était la nuit ''Anna''. Et, un détail qd m à ce sujet : ce st celles qui ont le mieux ''réussi'' (comme on dit) qui sont les pires éthiquement (j'ai du reste rompu avec, au moins une, sans regrets, et à peu près une autre, avec regrets) : toutes les ''bonnes'' (les filles qui déjà à 8... 13 ans .. étaient chouettes, gentilles généreuses) quelles que soient leurs capacités (Anna, super jolie, était aussi l'éternel prix d'excellence d'un lycée côté ) ont eu des carrières bien au dessous de leurs valeur, (surploitée probablement par sa ''famille'' d'alliance elle dut abandonner des études qui s'annonçaient brillantes et devint simple cadre administratif). De m Nadia, ds la m veine en plus marrante, charismatique +++, la femme exploitée à l'os par un (petit) homme poitique qui la quitta ensuite après l'avoir dépouillée de son argent, survit difficilement d'une minuscule pension ... qd France, à l'égoïsme froid, calculateur et inénarrable a accumulé une fortune habilement planquée où il faut.
L'intérêt de cette expérience est qu'elle commence en pays minier cévenol avec des filles de mineur ou mineur-instit comme moi (jusqu'à 8 ans) parti communiste etc...  puis la classe moyenne (très petite bourgeoisie de province) et la même classe mais dans une ville riche, cosmopolite et importante, Marseille, l'Eden ... et retour au point de départ (à un niveau plus élevé, cette fois) chaque passage m'ayant laissé des amies très différentes et très aimées (du moins par moi).
Pas de panique, mon adaptation fut en ppe facile (sauf deux fois où on avait trop chargé la mule) car j'étais déjà issue d'une union improbable de gens gravitant ds des umwelts si 'différents' qu'ils n'étaient même pas opposés et encore moins ennemis, juste ils ignoraient de part et d'autre qu'il existât des ''gens comme ça'' (et pourtant pas si différents puisqu'on pouvait en croiser deux exemplaires) qui ne vivaient pas, dans la canopée de bambous géants pour les uns; au Palais Médicis à temps plein pour les autres) et que j'eus la chance inouïe d'être aimée par les uns et acceptée par les autres (après bref examen de mes capacités quand même, mon examen de ''Larrivé'' disait ma mère ironiquement) puis aimée aussi car j'avais également la 'chance' extraordinaire d'être ''le portrait de 'maman' mais avec l'accent du midi'' (rires) et d'en avoir les ATTITUDES, une gd mère que pourtant je n'ai jamais connue ; la biologie méconnaissant les oppositions de castes, j'étais donc la seule de ses huit petites filles qui lui ressemblât, certes avec l'accent du midi ms nobody is perfect. Mes tantes, honnêtes ds leur classisme, jetèrent donc (sauf une) les armes aux pieds de "la petite instit de province qui savait à peine la clé de sol'' mais qui avait bricolé un fac similé presqu'acceptable de leur mère adorée trop tôt partie.

Ceux qui ont ''réussi'' et ceux kionpa. Autopsies!
Vous allez rire, j'ai rêvé d'une amie (marseillaise) chère même si je la vois peu (par ma faute), svt je rêve de mes amies, une à une, là, c'était la nuit ''Anna''. Et, un détail qd m à ce sujet : ce st celles qui ont le mieux ''réussi'' (comme on dit) qui sont les pires éthiquement (j'ai du reste rompu totalement avec une, sans regrets, et à peu près une autre, avec regrets) : toutes les ''bonnes'' (les filles qui déjà à 6.. 8... 13 ans .. étaient chouettes, gentilles généreuses) et ce, quelles que soient leurs capacités (Anna, super jolie, était aussi l'éternel prix d'excellence d'un lycée assez côté ) ont eu des carrières bien au dessous de leurs valeur, (surploitée probablement par sa ''famille'' d'alliance elle dut abandonner des études qui s'annonçaient brillantes et devint simple cadre administratif). Une autre, Nadia, tout aussi douée, ne fût que la femme-servante d'un h politique qui l'exploita aussi à l'os puis la largua après avoir fait main basse sur son argent etc .. (elle survit d'une minuscule pension). France, par contre, accumula une grosse fortune habilement planquée où il faut. Pas d'exceptions.
L'intérêt de cette expérience est qu'elle commence en pays minier cévenol avec des filles de mineur ou mineur-instit comme moi (jusqu'à 8 ans) parti communiste etc...  puis la classe moyenne (très petite bourgeoisie de province reculée) et la même classe mais dans une ville riche, cosmopolite et importante, (Marseille) l'Eden ... et retour hélas au point de départ (à un niveau plus élevé, cette fois) chaque passage m'ayant laissé des amies très différentes et très aimées (du moins par moi).
Pas de panique, mon adaptation fut en ppe facile (sauf deux fois où on avait trop chargé la mule) car j'étais issue d'une union improbable de gens gravitant ds des umwelts si 'différents' qu'ils n'étaient même pas opposés et encore moins ennemis, juste ils ignoraient de part et d'autre qu'il y eût des ''gens comme ça'' (qui ne vivaient pas, dans la canopée de bambous géants pour les uns; au Palais Médicis pour les autres) et que j'eus la chance inouïe d'être aimée par les uns et acceptée par les autres (après bref examen de mes capacités quand même) puis aimée aussi car j'avais également la 'chance' extraordinaire d'être ''le portrait de 'maman' mais avec l'accent du midi'' (rires) et d'en avoir les ATTITUDES, une gd mère que pourtant je n'ai jamais connue ; la biologie méconnaissant les oppositions de castes, j'étais donc la seule de ses huit petites filles qui lui ressemblât, certes avec l'accent du midi ms nobody is perfect. Mes tantes, honnêtes dans leur classisme, jetèrent donc élégamment (sauf une) les armes aux pieds de Lydie'' (la petite instit de province qui savait à peine la clé de sol) pour avoir bricolé un fac similé de leur mère adorée trop tôt partie.

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