mardi 19 mai 2020

Macron ... le syndrome du camion

PSYCHO PATHOLOGIE DE LA VIE QUOTIDIENNE. On en a peut être tous connus un psychotique ou/et un pervers (addict? c'est une des causes, et ici c'est grave) : des gens qui, parfois DS UNE MÊME PHRASE, assertoriques à 'donf', lancent un prédicat... INVERSE du sujet. Y compris DEVANT UN OBJET matériel (''ceci est un camion'' POINTANT UNE CHAISE) même si la vérification est évidente, comme ici (vidéos, interviews etc). Ou ils en sont persuadés et ils st psychotiques ou ils jouent à vous épuiser voire à vous rendre fous et ils st pervers, parfois c'est un peu les deux, ns ne sommes pas des poireaux clonés code barre. En général il peut s'agir de gens ayant subi un trauma sexuel grave qui ont une fois pour toutes DÉCIDÉ de nier le réel quelqu'il soit (ou de S'AVEUGLER DEVANT CELUI-CI tels Oedipe) de le modifier, de le reconstruire à leur gré : c'est pour eux LE SIGNE-BASE DU POUVOIR*..  par simple mimétisme social car le geste trauma a presque tjrs été immédiatement nié** même par ses témoins :  il est tjrs issu du ''chef.fe'' du clan historique ou en devenir. Le ''malade'' a compris que rien ne servait de se plaindre, puisque tous s'aligneront derrière le prédateur, mais qu'il fallait au contraire s'aligner aussi ... pou résister. Si bien qu'on a affaire à des groupes entiers (familiaux svt) pathogènes où le réel est nié et dont les membres ensuite (les enfants formatés) feront de même.

Le paradigme de cette attitude (à part celle de Macron qui hélas détient le bouton nucléaire) serait Adèle (lien) qui, ayant volé une lettre adressée à son mari par Léna, la soeur de celui-ci [qu'elle jalouse et dont elle redoute la dénonciation pour {••••} ] ...  y répond elle même au NOM DE CELUI-CI, sans rien lui en dire ! par une lettre d'insultes d'une cruauté inouïe... invoquant pour elle même ''une famille, un couple où tout est LIMPIDE comme l'eau et où tout le monde s'aime sans aucune autre idée en tête ***... à l'inverse de  celle de Léna qui du reste vient de divorcer... etc''... (!) Comique ? oui. Macron aussi. (Les deux ont subi un trauma sexuel, les deux st addict médicamenteux ms l'un est fils de toubib, l'autre, de cantonnier, ça ne change rien). Ms redite, lui peut, si on ne l'arrête, pas nous liquider tous. 

* ''C'est une tasse'' (le lapin, -tyran- devant une pomme) .. Alice : "Mais non ! C'est une pomme, vous le voyez bien !''  ... ''Ici on dit une tasse !''....  Alice : "Ms ça ne va pas être facile de se comprendre''.... ''Si, ça dépend de qui sera le maître un point c'est tout!''
** notons ds la différence qu'on observe de ''résilience'' chez les victimes (de zéro à l'infini) un point déterminant peu souligné : c'est l'aveu par le victimeur de son geste, fût ce pour le justifier ou se montrer indifférent à la souffrance causée. Ainsi la réponse cynique à la question ''pour quoi ne pas m'avoir aimée ni m VUE?''.. ''ça ne s'est pas fait, c'est tout, je ne sais pas pourquoi... sans doute avais je d'autres soucis...'' est dure ms soulageante ++++ ! tandis que l'envolée lyrique en démenti est une couche de plus de trauma.. Cela peut expliquer aussi que les résilients soient plus représentés dans les milieux intellos, où l'aveu cash est plus fréquent et la théâtralité moins prégnante. L'attitude d'Adèle, (milieu lumpen prolo analphabète voir lien) qui après avoir chassé Anita en termes abjects clame en conférence y compris  devant elle ''on l'aimait tant on comprend pas pourquoi elle est partie cétafreux...'' est pire.
*** rien de gravissime et d'ailleurs, Léna n'en fait absolument pas mention, ms Adèle, dans sa naïveté de Merteuil de série B, le croit. De m son insistance étonnante sur ''sans aucune arrière pensée'' (d'intérêt) ! paradoxalement est suspecte car personne ne lui a fait accusation de vénalité, ni aucune autre en aucune manière, en tout cas pas Léna.

https://vuduneant.blogspot.com/2010/05/une-petite-fille-perdue-dans-les-bois.html