samedi 14 mars 2020

(2) Lettre à une amie qui ne voit plus sa fille et craint que personne ne la prévienne si elle meurt. La garden party version Cévennes


Pour Blandine, et bien d'autres si j'ai bien compris,
... Mieux vaut qu'elle ne sache pas. Sauf pour la galerie. J'ai ainsi appris la mort de ma tante préférée tout à fait par hasard. J'ai quand même réagi... pour la galerie, car il lui eût sans doute déplu que je ne vinsse pas à son enterrement, elle était très comme il faut, sinon je me serais abstenue. Nous ne nous voyions plus. Peut être est-ce sa bru qui avait foutu la merde car elle avait toujours été sympa avec moi (et en général) mais elle y a quand même consenti...

[la bru m'aurait haïe (hypothèse) et aurait fait 'monter' sa haine à l'étage supérieur (elles vivaient dans la même maison, ma tante au premier, sa bru au rez de chaussée) où cette haine se serait associée à celle de ma tante contre ma mère, (là ce n'est pas hypothétique mais évident) ... à moins que ce ne soit à l'inverse ma tante qui aurait fait descendre sa haine contre ma mère au rez de chaussée où elle aurait été accueillie, surtout s'il existait déjà une haine préexistante contre moi : ça aurait formé un assemblage explosif type eau-sodium contre un autre assemblage (controuvé) Lydie-Hélène, on ne sait pas... ou une inter relation aussi probablement, ces histoires, c'est des maths compliqués, théorie des ensembles et tout et tout...]

... je reprends... elle y a quand même consenti en faisant (ou participant activement) juste après la mort de Lydie, à une fête dans son jardin qui jouxte ma propriété : serrant donc l'urne funéraire de ma mère sur les genoux, en espérant qu'elle n'entende pas, cette nuit là, je n'ai rien perdu derrière la haie, à 70 m ? des bruits de vaisselle, rires, rots de bouchons de champagne qui sautent avec les applaudissements de rigueur et les bonnes blagues une fois pompettes. La ''garden party''* version Cévennes, sans qu'elles n'aient, comme dans la nouvelle de Mansfield, l'excuse de l'abscence de tout moyen de communication (au 19ième siecle) pour décommander les invités !

Je crois qu'elles n'aimaient pas trop, euphémisme ! ma mère, leur belle soeur et tante par alliance. Ça devenait clair. Et terrible car caché de TOUTE UNE VIE. Elles ou juste une seule des deux ? n'avaient pas osé le montrer de son vivant, la Sultane était redoutable, c'était comme des gosses s'amusant de la disparition de la maîtresse d'école qui les faisait chier. Non, Blandine, mieux vaut couper carrément plutôt qu'aboutir à cette aimable plaisanterie, un sketch qu'on n'oserait intégrer dans un scénario tant il semble outré, lourd, invraisemblable de cruauté gratuite. Inouï et stupéfiant : les deux couples avaient d'excellents rapports ** DEPUIS TOUJOURS. C'est à dire 60 ANS au moins, je les avais toujours vus ainsi : fêtes, noël, pâques, chandeleur, anniversaires, piscine, bains de soleil au bord de l'eau, un modèle pour la galerie, l'héritage partagé sans la moindre vague, voisinage mieux qu'amical. Il fallut la mort de ma mère pour que cela se révèle. Ma tante SANS JAMAIS RIEN AVOIR MONTRÉ, TOUT AU CONTRAIRE, haïssait sa belle soeur. Why ? Je ne sais. Plus belle, plus chanceuse, plus "intelligente'' (du moins avait-elle fait quelqu'étude) que sais je ? ... Puis à sa mort, la haine se répercuta sur moi, (il faut bien que le flot boueux en butée s'épande quelque part) accru peut être d'un affluent de très grand poids, dans tous les sens du terme, sa belle fille recrutée pour les basses oeuvres... voilà voilà ... Oui, mieux vaut le silence que la torture. Familles !

* L'histoire est simple : dans un milieu aristo riche et entouré, aimable, une fête chic se prépare, prévue de longtemps, toutes s'agitent, cuisinent ou surveillent, les hommes installent des barnum, en Angleterre le temps est incertain et l'héroïne, une des jeunes filles de la maison est diligentée pour aller chercher quelque produit manquant à la ferme ... et c'est l'horreur, un drap noir sur une maisonnette : juste derrière le manoir, de l'autre côté de la colline, un accident. Un jeune homme a été écrasé sur un chantier, il est mort, laissant deux petits. La femme effondrée et des voisins compatissants le veillent. Tout est sinistre, sent la mort. De loin, on entend les bruits joyeux de la fête qui se prépare. Que faire? Elle court, il faut absolument annuler. Mais comment ? Tous donnent leur avis.. Sa mère refuse. Les invités sont tous en route, les diligences, les voitures perso ne vont pas tarder, certains viennent de loin, il y a des hôtes de grande marque ... non, on ne peut pas annuler. La fête aura lieu malgré tout, malgré l'indignation (modeste on est en Angleterre au 19ieme) de l'héroïne qui n'a pas pu se faire entendre.

** Les collatéraux compris évidemment, ainsi que les deux cousins enfants uniques, (nous nous aimons bien MALGRÉ TOUT.. à moins que cela aussi ne soit un leurre finalement ! ) Une famille modèle de bonne entente, sans la moindre vague, parfait. Voilà voilà.. quelle rigolade !
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Conseils pour éviter le virus, soleil, boisson, laver les mains, et éviter les surfaces métalliques, boire chaud et svt

Consignes et information d'un chercheur collaborant avec le groupe de travail qui lutte contre l'épidémie de coronavirus. C’est en partie juste du bon sens.
Qu'est le virus Covid-19 ? comment il se transmet et peut être neutralisé dans la vie de tous les jours?
 L'infection par le virus ne provoque pas un rhume avec écoulement nasal mais une toux SÈCHE facile à reconnaître. Le virus ne résiste pas à la chaleur et meurt à plus de 26-27 degrés : il faut donc souvent consommer des BOISSONS CHAUDES comme du thé, de la tisane ou de la SOUPE pendant la journée, ou simplement de l'eau chaude : les liquides chauds le neutralisent le virus, (pas deau glacée). Et pour ceux qui peuvent le faire, exposez-vous au SOLEIL !
 1. Sa taille est assez grande  400-500 nanomètres), donc n'importe quel type de MASQUE SIMPLE suffit dans la vie normale.
 2. Lorsqu'il se trouve sur des surfaces métalliques, il survit pendant environ douze heures. Donc lorsque vous touchez des surfaces métalliques, poignées de portes, appareils électroménagers, barres de tramways, lavez-vous bien les mains et désinfectez-les soigneusement.
3. Il peut vivre niché dans les vêtements et tissus pendant environ 6/12 heures : les détergents normaux peuvent le tuer.  Pour les vêtements qui ne peuvent pas être lavés tous les jours, vous pouvez les exposer au SOLEI de façon prolongée, le Covid 19 ne résistera pas.
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 Comment le Covid 19 se manifeste :
 1. Dans la gorge, il provoque d'abord une inflammation et une sensation de gorge sèche : ce symptôme peut durer 3/4 jours.
 2 Il voyage ensuite à travers l'humidité présente dans les voies respiratoires, descend dans la trachée, puis s'installe dans les poumons, provoquant une pneumonie.  Cette étape dure environ 5/6 jours.
 3. La pneumonie se produit par une forte fièvre et des difficultés à respirer, mais elle n'est pas accompagnée des frissonnements classiques. Si vous avez la sensation de vous étouffer, contactez immédiatement votre médecin.
 Comment pouvez-vous l'éviter ?
1. La transmission du virus se fait surtout par contact DIRECT en touchant des tissus ou des MATÉRIAUX sur lesquels il est présent : il est essentiel de se laver les mains fréquemment. Il ne survit sur vos mains qu'une dizaine de minutes, mais en dix minutes, beaucoup de choses peuvent arriver : se frotter les yeux ou se gratter le nez par exemple, et ainsi laissez le virus entrer dans votre gorge... lavez-vous les mains très souvent et désinfectez-les !
 2. Vous pouvez vous GARGARISER avec une solution désinfectante qui élimine ou minimise la quantité de virus qui pourrait entrer dans votre gorge, ainsi vous l'éliminez avant qu'il ne descende dans la trachée puis dans les poumons.
 3. désinfecter le clavier des ordinateurs et des téléphones portables.
De plus, le Covid19 peut ne pas présenter de signes d'infection pendant de nombreux jours, pendant lesquels on ne peut pas savoir si une personne est infectée ou pas.
Mais lorsque vous avez de la fièvre et/ou que vous toussez, vos poumons sont généralement déjà pris à 50 %. Les experts suggèrent donc de faire une simple vérification que l'on peut faire soi-même tous les matins : prenez une grande respiration et retenez votre souffle pendant plus de 10 secondes. Si vous y parvenez sans tousser ni sentiment d'oppression, cela montre qu'il n'y a pas de fibrose dans les poumons, ce qui indique l'absence d'infection, faites cette vérification chaque matin dans un environnement d'air propre.
Gardez la gorge HUMIDE, au moins la moins sèche possible. BUVEZ quelques gorgées d'eau au moins toutes les 15 à 20 minutes car même si le virus pénètre dans votre bouche l'eau ou d'autres liquides l'enverront par l'œsophage dans l'estomac où l'acide gastrique le tuera. Si vous ne buvez pas assez d'eau régulièrement, le virus pourra pénétrer plus facilement dans vos poumons.
Partagez cette information avec votre famille, vos amis et vos connaissances.

Lettre à une amie qui ne voit plus sa fille et craint que personne ne la prévienne si elle meurt. La garden party !

Pour Blandine, et bien d'autres si j'ai bien compris,
... Mieux vaut qu'elle ne sache pas. Sauf pour la galerie. J'ai ainsi appris la mort de ma tante préférée tout à fait par hasard. J'ai quand même réagi... pour la galerie, car il lui eût sans doute déplu que je ne vinsse pas à son enterrement, elle était très comme il faut, sinon je me serais abstenue. Nous ne nous voyions plus. Peut être est-ce sa bru qui avait foutu la merde car elle avait toujours été sympa avec moi (et en général) mais elle y a quand même consenti...

[la bru m'aurait haïe (hypothèse) et aurait fait 'monter' sa haine à l'étage supérieur (elles vivaient dans la même maison, ma tante au premier, sa bru au rez de chaussée) où cette haine se serait associée à celle de ma tante contre ma mère, (là ce n'est pas hypothétique mais évident) ... à moins que ce ne soit à l'inverse ma tante qui aurait fait descendre sa haine contre ma mère au rez de chaussée où elle aurait été accueillie, surtout s'il existait déjà une haine préexistante contre moi : ça aurait formé un assemblage explosif type eau-sodium contre un autre assemblage (controuvé) Lydie-Hélène, on ne sait pas... ou une inter relation aussi probablement, ces histoires, c'est des maths compliqués, théorie des ensembles et tout et tout...]

... je reprends... elle y a quand même consenti en faisant (ou participant activement) juste après la mort de Lydie, à une fête dans son jardin qui jouxte ma propriété : serrant donc l'urne funéraire de ma mère sur les genoux, en espérant qu'elle n'entende pas, cette nuit là, je n'ai rien perdu derrière la haie, à 70 m ? des bruits de vaisselle, rires, rots de bouchons de champagne qui sautent avec les applaudissements de rigueur et les bonnes blagues une fois pompettes. La ''garden party''* version Cévennes, sans qu'elles n'aient l'excuse de l'abscence de tout moyen de communication comme au 19 ième pour décommander les invités.

Je crois qu'elles n'aimaient pas trop ma mère, leur belle soeur et tante par alliance. Ça devenait clair. Et terrible car caché de TOUTE UNE VIE. Elles ou juste une seule des deux ? n'avaient pas osé le montrer de son vivant, la Sultane était redoutable, c'était comme des gosses s'amusant de la disparition de la maîtresse d'école qui les faisait chier. Non, Blandine, mieux vaut couper carrément plutôt qu'aboutir à cette aimable plaisanterie, un sketch qu'on n'oserait intégrer dans un scénario tant il semble outré, lourd, invraisemblable de cruauté gratuite. Inouï et stupéfiant : les deux couples avaient d'excellents rapports ** DEPUIS TOUJOURS. C'est à dire 60 ANS au moins (je les avais toujours vus ainsi) : fêtes, noël, pâques, chandeleur, anniversaires, piscine, bains de soleil au bord de l'eau. Il fallut la mort de ma mère pour que cela se révèle. Il fallait se rendre à l'évidence, ma tante SANS JAMAIS RIEN AVOIR MONTRÉ, TOUT AU CONTRAIRE, haïssait sa belle soeur. Why ? Je ne sais. Plus belle, plus chanceuse, plus "intelligente'' (du moins avait-elle fait quelqu'étude) que sais je ? ... Puis à sa mort, la haine se répercuta sur moi, (il faut bien que le flot boueux en butée s'épande quelque part) accru peut être d'un affluent de très grand poids, dans tous les sens du terme, sa belle fille recrutée pour les basses oeuvres... voilà voilà ... Oui, mieux vaut le silence que la torture. Familles !

* 19 ième siècle, chez des hobereaux provinciaux, Angleterre. Une fête campagnarde prévue de longtemps va se dérouler au manoir, dehors, dans le parc où ont été dressés des barnums, lorsque une jeune fille de la famille envoyée à la ferme chercher des oeufs aperçoit dans la masure voisine, juste derrière leur land, un drap noir : un jeune homme est mort au chantier, laissant deux petits ; sa femme, éplorée le veille, avec quelques voisins compatissants. Des paysans. Atmosphère lugubre contrastant avec juste à côté la joyeuse fête qui se prépare dont on entend les éclats. Elle tentera en vain d'obtenir de sa mère qu'on annule, c'est prévu depuis longtemps, les diligences sont déjà en route, certains viennent de loin, sont de très haut rang, on ne peut pas.

** Les collatéraux compris évidemment, ainsi que les deux cousins enfants uniques, (nous nous aimons bien MALGRÉ TOUT.. à moins que cela aussi soit un leurre finalement ! ) Une famille modèle de bonne entente, un héritage sans la moindre vague, parfait. Voilà voilà..
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 Pour Blandine, et bien d'autres si j'ai bien tout compris
... Mieux vaut qu'elle ne sache pas. Sauf pour la galerie. J'ai ainsi appris la mort de ma tante préférée tout à fait par hasard. J'ai quand même réagi... pour la galerie, car il lui eût sans doute déplu que je ne vinsse pas à son enterrement, elle était très comme il faut, sinon je me serais abstenue. Nous ne nous voyions plus. Peut être est-ce sa bru qui avait foutu la merde mais elle y avait quand même consenti...

      [à moins que ce ne soit l'inverse : la bru me haïrait et aurait fait monter sa haine à l'étage supérieur (elles vivaient dans la même maison, ma tante au premier, mon cousin et sa femme au rez de chaussé ) où cette haine se serait associée à l'autre ? Voire l'inverse, celle du premier, qui haïssait ma mère, là c'est clair, l'aurait fait descendre au rez de chaussée, domaine de la bru, qui l'aurait bien reçue, surtout dans l'hypothèse d'une haine préalable contre moi : ça aurait fait un assemblage explosif type eau-sodium bouuummm ! contre un autre assemblage, controuvé pour la circonstance Lydie-Hélène ? on ne sait pas, une inter relation sans doute, ces histoires, c'est des maths compliqués, théorie des ensembles et tout et tout...]

Je reprends : ...  ma tante donc aurait consenti (ou initié?) à cette haine de sa bru envers sa belle soeur, en organisant avec elle une fête dans son jardin qui jouxte ma propriété juste après la mort de Lydie : serrant l'urne de ma mère sur les genoux, en espérant qu'elle n'entende pas (!) désespérée d'une telle inconvenance, non, d'une telle impensable cruauté ; pleurant en sanglots rageurs, je n'ai ainsi rien perdu, derrière la haie (à 100 m mais en montagne les sons portent) des rires, bruits de vaisselle et rot de bouchons de champagne qui sautent avec les applaudissements de rigueur. La ''garden party''* version Cévennes, sans qu'elles n'aient, comme dans la nouvelle de Mansfield, l'excuse de l'abscence de tout moyen de communication (au 19ième siecle) pour décommander les invités !

Je crois qu'elles n'aimaient pas trop ma mère, leur belle soeur et tante par alliance.  Là ça devenait clair. Elles (ou une seule des deux) n'avaient pas osé le montrer de son vivant, la Sultane était redoutable, c'était comme des gosses qui s'amusent de la disparition de la maîtresse d'école qui les faisait chier. Mais moi j'étais là ! Facile.
Non, Blandine, mieux vaut couper carrément plutôt qu'aboutir à cette aimable plaisanterie dont je n'ai jamais guéri, un sketch qu'on n'oserait intégrer dans un scénario tant il semble outré, invraisemblable de cruauté gratuite.

Car tout de même il faut préciser, les deux couples, collatéraux compris, et les deux enfants uniques, mon cousin et moi (qui nous aimons bien MALGRÉ TOUT) avaient en apparence  d'excellents rapports! si si ! pendant ? 50 ans pour les 'vieux'.. un modèle pour la galerie : héritage partagé sans la moindre vague, voisinage mieux qu'amical, fêtes, noël, pâques, chandeleur, anniversaires, piscine, bains de soleil, tousssa toussa, cadeaux. Voilà voilà.
Il fallait me rendre à l'évidence,  pour le coup éclatant : ma tante SANS JAMAIS EN AVOIR RIEN MONTRÉ EN 50 ANS haissait sa belle soeur, (ma mère) why ? Je ne sais. Plus belle, plus chanceuse, plus "intelligente'' (elle avait fait quelqu'étude du moins) que sais je ? ... Puis à sa mort, la haine se répercuta sur moi, il faut bien que le flot boueux soit dévié quelque part sinon ça noie tout. Jusqu'à la butée. Accru peut être d'un affluent de très grand poids (dans tous les sens du terme) sa belle fille recrutée pour les basses oeuvres voilà voilà ... Oui, mieux vaut le silence que la torture. Familles !

.... et qui vous ont parfois balancée aux chiottes, très délicatement, leur canapé est coincé cébenconcanmêm'... puis s'en sont excusés (!) après, cépaleurfotilsoncomça pardon pardon. Bien sûr je pardonne ! Mais, comme dans ''Le curé de Cucugnan''  je n'irai plus à Cugnan. Trop dur.

* L'histoire est simple : dans un milieu aristo riche et entouré, aimable, une fête chic se prépare, prévue de longtemps, toutes s'agitent, cuisinent ou surveillent, les hommes installent des barnum, en Angleterre le temps est incertain et l'héroïne, une des jeunes filles de la maison est diligentée pour aller chercher quelque produit manquant à la ferme ... et c'est l'horreur, un drap noir sur une maisonnette : juste derrière le manoir, de l'autre côté de la colline, un accident. Un jeune homme a été écrasé sur un chantier, il est mort, laissant deux petits. La femme effondrée et des voisins compatissants le veillent. Tout est sinistre, sent la mort. De loin, on entend les bruits joyeux de la fête qui se prépare. Que faire? Elle court, il faut absolument annuler. Mais comment ? Tous donnent leur avis.. Sa mère refuse. Les invités sont tous en route, les diligences, les voitures perso ne vont pas tarder, certains viennent de loin, il y a des hôtes de grande marque ... non, on ne peut pas annuler. La fête aura lieu malgré tout, malgré l'indignation (modeste on est en Angleterre au 19ieme) de l'héroïne qui n'a pas pu se faire entendre. 


Confiné ! Con figés ! Et les SDF, on y pense Hortense ? Un bout de trottoir ?


Corona virus, une chance pour la planète

Moins de pollution, plus de nourriture, la terre ''allégée'' de parasites destructeurs, les humains ... ralentissement des abattages arbres et animaux ...  
...  Mais solitude, je veux dire la vraie, pas à trois ou quatre ou dix  ... On s'y fait malgré tout, surtout si on en a comme moi une grande habitude, fille unique de parents qui NE RECEVAIENT PRATIQUEMENT JAMAIS PERSONNE DANS UNE CAMPAGNE ISOLÉE, LE PLUS SOUVENT, ET VOILA ...  Une telle soif d'amour (d'en donner veux-je dire surtout, éventuellement d'en recevoir aussi) d'amitiés sans doute que, soit je me fais exploiter- mépriser- maltraiter (salut Françoise, salut Ali etc) ...  soit je fais fuir mes 'proches' (kondit) qui ont envie de respirer loin de ces cieux agités autour de moi*.  Ou bien les choisis- je ainsi faits pour qu'ils partent et me laissent seule sans que je n'en sois responsable? È cosi. 
* Parfois fascine aussi.

 

Trahisons entre amies, le complexe Samantha Geler

Les avatars de la lutte, vegan, FI, 'Femmes,' petites trahisons entre amies mais on y arrive non mais!

Note, quand mon clavier commet des erreurs intéressantes, je les laisse et les mets en majuscules. Parfois c'est génial : ex, d'une femme que je ne veux pas nommer, devenue célèbre suite à un procès retentissant et qui ensuite a trahi la cause, le clavier écrit ''légiatisée'' au lieu de médiatisée .. et mimitante au lieu de militante ; d'une autre, séduisante, talentueuse mais ambitieuse dont on peut craindre l'insincérité, le clavier envoie aussi 'mimitante' et ensuite 'apolyrique' au lieu d'apolitique.
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Je lutte (ou le tente) à la sauterelle, à l'instinct, vers ce qui me semble à un instant donné le plus efficient, m s'il s'agit de gens .... discutables.. gilets oui ! bien que parfois chasseurs (..)  ! Ou Vegans évidemment bien que parfois hupper classes arrogants... FI mmm là je mettrais un bémol depuis qu'une certaine fan m'a probablement fait interdire de FB 2 mois... (elle s'en est vantée ms FB, de bonne ou mauvaise foi ? a pris le prétexte d'un quart de sein inattendu -il est venu avec le lien d'un de mes blogs- visible sur une photo) ms malgré tout Melanche est le seul dont les interventions (qui ont svt du poids) m'apprennent parfois quelque chose... je navigue donc, et en prends plein la gueule, pas grave, supportant mal le hupper classisme de certaines camarades femmes et ou veg m brillantes +++ ; le fanatisme cul piqué de certain.es Melachistes de choc pourtant méritantes +++  .. avec cependant 2 écueils incontournables, l'antisémitisme,  l'anti féminisme et le spécisme.

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Exemples
Toujours d'actu. Une vegan top chic et choc,  par ailleurs intéressante quoique son narcissisme prévalait svt sur le logos ou du moins s'y agglutinait avec grumeaux, et quasi APOLIRIQUE, il faut dire qu'elle en faisait 'commerce' (je n'emploie pas ici le mot en son sens péjoratif car après tout faire des tables d'hôtes voire un restaurant vegan ds un lieu super classe qui draine kedubomonde, why not si c'est son truc) ne m'a-t-elle pas accusée, suite à une réponse-article de ma part avec image illustrative (créée par moi) à un post sien, du reste envoyée pour lui faire de la pub car j'ai ou j'avais (je parle au passé car après l'affaire je l'ai virée)  bcp plus d'audience qu'elle... ne m'a-t-elle pas accusée de la PLAGIER honteusement (!) une phrase était d'elle étant incluse dans mon texte et l'image ne lui convenait pas bla bla. J'ai donc repris mon article, assez long, en notant SA PHRASE et son nom, tout le reste, texte et image (une page dactylographiée environ) étant évidemment de moi. (Le plus criant est que c'est moi qui lui avais appris à se servir d'une tablette pour faire des vidéos). Tant que des ''militants'' je dis mimitants apolyriques se serviront et de leur engagement et des réseaux sociaux, FB notamment, pour booster leur boutique (là, c'est péjoratif!) ou carrière, on n'aura pas le cul sorti des ronces. Un indice quand m pour savoir à qui on a affaire et éviter les déceptions : cette VEGANE pure dure bien que vivant dans un endroit propice (vaste jardin) n'avait pas d'animal perso, tout en déplorant en de bels articles huileux l'affreuse situation de ceux de son voisin fermier... dont elle aurait pu changer le sort d'au moins un ou deux étant donné son ... bref.

Quant à la FI j'ai déjà parlé de l'affaire : une militante fan de fan suite à une LÉGÈRE  critique de ma part, même pas carrément politique, juste je défendais Sartre (ce ''sale bourge qui n'avait jamais rien fait en 40'' etc..) contre Camus (au sujet de sa phrase terrible 'je préfère ma mère à la vérité' de mémoire, qui fut ensuite reprise ciselée à son profit par Le pen, signalant qu'au m moment, Sartre était plastiqué comme Beauvoir et Halimi) ... me fit interdire et s'en vanta de FB 2 mois.

Une autre affaire, rigolote ici, au sujet d'animaux dont c'est le sujet : sur un fil FI, une militante parle de 'Brigitte' si injustement critiquée, aussitôt j'embraye pour dire qu'en effet elle avait parfois tendance à 'penser avec son cul' mais que vis à vis des animaux elle était irremplaçable et à saluer comme telle...  Et aussitôt une volée de bois vert, comment osai-je ainsi parler de Brigitte ! De BRIGITE ! Inacceptable etc ... je ne compris le pourquoi de cette bronca (après tout, j'abondais ds leur sens, juste avec petites nuances) ... que lorsque le pot aux roses se dévoila : un quiprocos tragique, pour eux, ''Brigitte'' c'était Brigitte Machinchose, une de leurs 'camarades' : aucune n'avait même imaginé que je pusse ignorer une telle notoriété, y compris lorsque je fis allusion à 'ses' copains inquiétants .. Alors voilà ma réponse qui sans doute aggrava mon cas : "excusez moi, surtout auprès de Brigitte Machinchose que je n'avais pas l'intention de blesser, mais voyez-vous, lorsqu'il s'agit de protection animale et qu'il est question d'une certaine BRIGITTE, le fait que vous ne puissiez même imaginer qu'une quidam basique comme moi suppose forcément qu'il s'agit de Bardot, l'évidence selon vous toutes étant que c'est d'une camarade vôtre ainsi prénommée que l'on on parle, sans vous interroger une seconde au delà me semble révélateur d'un groupe fermé bouclé totalement hors sol, coupé des gens qu'il prétend défendre, une sorte de secte, et mal augurer de la réussite de votre chef.
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J'aurais essayé !  Je demeure plus que jamais anar. Ce qui ne veut pas dire inactive ou apolitique au contraire.
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Quant aux femmes, il y a cette Corinne que nous défendîmes bec et ongles à s'en user les phalanges, des nuits passées à lui tenir virtuellement la jambe, son moral étant très bas et qui, célébrité acquise [était ce son but ? Un false flag improvisé ou calculé ? Carrément un algorithme ? Non puisqu'elle fut LÉDIATISÉE, non, MÉDIALOSÉE zut, médiatisée directement, quoique] ...  célébrité acquise donc, devenue presqu'une icône, nous tira dans le dos en faveur de Macron : trop vulgos, trop popu, trop machos, trop antimites on était, les Gilets, jamais ELLE ne se mêlerait de ces barbares, JAMAIS, certes elle s'était tue jusque là par discrétion mais là, elle n'en pouvait plus, il fallait qu'elle parle... posant à la star philosophe (elle qui s'annonçait 'instit' mais ne savait pas accorder les participes passés)  et brandissant sur tous les réseaux sociaux devant les tribunaux sa glorieuse pancarte ''SANS MOI'' comme si sa seule personne était explicite, suffisante, exemplaire ! d'un condamnation évidente de nos luttes ! Une explication :  elle aurait profité, sans forcément le vouloir au départ, de sa notoriété pour négocier quelque ... disons protections en haut lieu, TRÈS haut, suivez mon regard, elle en avait grand besoin ! et ensuite aurait été retournée (achetée en somme) , Syndrome Samantha Geier versus Polanski. Car elle avait du poids soudain. Minable ? Oui. C'est aussi ça, la militance y compris des femmes, y compris contre le harcèlement sexuel, le viol ou la pédocriminalité.  Vertiges ? Oui. Il faut le dire. Seuls les animaux et les activistes antispé ne m'ont jamais déçue.