lundi 23 mars 2020

Défense macronite les barons sortent du bois. Ppe moichépachuipadocteur donc j'ai confiance en Macron kisé. Boltanski.

Corona virus, la chloroquine, ''contreverse'' (baratin plutôt ici). Les barons sortent des bois ! Je viens d'en pêcher 6 d'un coup, pas des très forts, ils ont tous à peu près la même page, les mêmes blagues stupides et leurs posts se renvoient les uns aux autres et les mêmes 'amis' (eux six en boucle) et aucune publication perso, voire aucune indication.

Baronne 1 (se dit coach thérapeute bien être, ? Les autres ont ommis de remplir la case) l'envoi:
----- '' SVP arrêtez de m'envoyer les pétitions de soutien au Dr D. Raoult. Je ne suis pas médecin, épidémio, chercheuse en bio. Je n'y connais rien et peut-être que c'est un super remède ce qu'il propose et peut-être pas... je suis ni pour, ni contre ! (Ndlr, bien au contraire!) Il m'est impossible de me faire un avis, je n'ai ni la connaissance, ni le savoir en la matière...  Je souhaite évidemment que cette m.. arrête de tuer des gens ! Please, militante, ne veut pas dire que je signe tout et n'importe quoi... ''
----- D'autant que y'aurait à dire ....
----- Pareil !
----- Amen !
----- Merci
----- Tout à fait d'accord avec toi. Bisous de la Baule''
On le voit, ce sont vraiment des bas de gamme sans doute raclés du chaudron, des arguments mmm...

Je n'ai quand même pas pu m'empêcher !
----- Là il suffit de savoir lire et d'avoir un cerveau en marche ... non, zut, en état de marche.. non, re zut, un cerveau tout court, même très moyen. Le coup du moich'sépa jépaétugué est un ARGUMENT de vente d'un système qui veut que les vaches soient bien gardées ainsi que leurs gardeurs... bref toute la populace, en cultivant, invoquant ou suscitant son ignorance, par exemple en récusant des remèdes classiques dits de bonne ''fame'' (réputation) devenu pour les péjorer ''de bonnes FEMMES''. Boltanski, ''Prime éducation et morale de classe'. C'est comme si on vous disait 'vous n'avez pas le droit de penser car vous n'êtes pas docteure en philosophie.

Suite, 3 article précédent, je ne m'y ferai jamais !
https://motsdefemmes.blogspot.com/2020/03/suite-de-larticle-plus-ancien-les.html

Ce que le coivi19 m'aura appris sur moi

Ce putain de covi aura appris à certains (j'espère peu nombreux) qu'on peut avoit 'tout' fait comme il faut, comme on nous avait dit de faire, vraiment impec, fonctionnaire à 15 ans, (un boulot sûr tu comprends, onséjamé) ... des études malgré tout, servi le 'peuple' un peu, sans excès, deux enfants, une fille un garçon, tout parfait vous dis-je, mais là avec excès, un mari lui aussi cadre sup, deux maisons, vraiment tout parfait, sauf mauvaise mère peut être, plus ou moins, plutôt moins que plus, mais le coeur y était, études pour les enfants...  tout ce qu'ils voulaient (quand moi j'avais dû... peu importe)... oui, avoir fait tout ce qu'il fallait (et quelques livres mais ça, ce n'était pas obligatoire, je suis une femme) et se retrouver absolument seule, certes dans un lieu agréable, il y a pire ! mais pouvoir mourir sans QU'AUCUN ou presque 'proches' comme on dit, je dirais plutôt ''loinches', ne puisse ou ne veuille, on a les deux cas, et peut être un intermédiaire, on dira ne 'puille' faire quoique ce soit, ne serait-ce que être là comme moi je l'ai été pour mes parents jusqu'à leur mort. Personne n'est responsable sauf le système qui m'a baisé la gueule et moi qui l'ai accepté. Bien. Il y aura un avant et un après Le 29, j'aurai 72 ans.


Chloroquine covi19, politique du pouvoir, un enchaînement suspectissime, suspectissimus

Merci Charlotte Bartolozzi
''ET SI LE SCANDALE DE LA CHLOROQUINE ETAIT BIEN PIRE QU'UNE BAGARRE DE SPÉCIALISTES ? Voici des faits surprenants mis par ordre croissant.
Coronavirus, des faits, et rien que les faits.

1 Le mari d’Agnès Buzyn, Yves Levy, participe à l’inauguration du laboratoire P4 à Wuhan, d’où le virus est sorti. Auparavant, fâché avec Didier Raoult, il lui avait refusé les labels de l’INSERM pour son centre de recherches mondialement réputé (IHU).
2 Le professeur Raoult montre que le classique médicament, la Chloroquine soigne 90% des cas de coronavirus s’ils sont dépistés assez tôt, prône un dépistage généralisé, un confinement des seuls malades, un traitement rapide avec la Chloroquine et s’oppose au confinement généralisé.
3 La chloroquine coûte 10 cts le comprimé et il est certain que les laboratoires qui financent l’INSERM cherchent des solutions bien plus coûteuses.
4 En octobre 2019, Yves Levy, président de l’INSERM et mari de la ministre, a révoqué le statut de ''fondation'' des IHU pour reprendre le contrôle sur leurs recherches, visant directement le Professeur Raoult qui dirige l’IHU de Marseile.
5 Le 13 janvier 2020, alors que l’épidémie se répand en Chine, Agnès Buzyn classe la Chloroquine dans les substances vénéneuses (disponible seulement sur ordonnance), alors que cela fait 50 ans qu’elle est en vente libre contre le palu.
6 Buzyn reconnait voir su que ce serait une hécatombe, qu’il n’y avait pas de remède et s'être tue sur ordre. Question : 'qu'il n'y avait PAS de remède' ou l'inverse 'qu'il fallait CACHER qu'il y en avait un' ?
7 Le gouvernement Macron fait un confinement généralisé de la population et ne parle pas de la Chloroquine. Cela semble répondre à la question 6 : qu'il fallait CACHER qu'il y avait un remède !
8 Il INTERDIT le masque aux flics! (la plupart ont été volés et il n’y en a même pas pour les soignants).
9 Il refuse le dépistage de masse, pourtant pratiqué en Corée et en Allemagne, avec succès.
10 Il refuse de fermer les frontières avec les pays contaminés.
11  Le 'Monde' et l’Agence d’Etat de santé qualifient les travaux de Raoult de fake puis se rétractent.
12 François Perrone révèle que le stock de Chloroquine de la pharmacie centrale a été pillé.
13 (Elon Musk) en 48h, Trump met a disposition de tous les américains, la fameuse Chloroquine.
14 Le Maroc achète les stocks de Chloroquine de Sanofi à Casablanca.
15 Le Pakistan va accroître sa production de la Chloroquine à destination de la Chine.
16 La Suisse exclut elle aussi le confinement généralisé de la population, pratique un large dépistage et traitement rapide et accuse la France de faire de la 'politique spectacle'. (Ou criminelle?)
17 La société TEVA en Israël annonce qu’elle va livrer gratos 10 millions de doses aux USA.
18 Estrosi, soigné lui-même à la Chloroquine sans réponse du gouvernement, a appelé directement Sanofi pour qu’ils livrent la Chloroquine aux hopitaux de Nice.
19 Sous le lobbying intensif du Professeur Raoult, un test à grande échelle de la Chloroquine a commencé finalement en France, sous la direction de l’INSERM (!), qui veut 'refaire les expérimentations dans d’autres centres médicaux independants' (!) ce qui prendra 6 semaines de plus. (Et combirn de morts ?) Presqu’aucun média n’en parle.
A votre avis, pour qui et pour quoi travaille le gouvernement Macron ? Je pense qu’on le sait maintenant. Ndlr, NON. J'ai juste l'impression qu'ils cherchent à nous tuer (je l'avais déjà avant) sans savoir ni pour qui, ni même s'il y a un ''qui'' ou juste un soi de groupe.

#Macron
#Chloroquine
#ProfesseurRaoult
#covid19

Contreverse philosophique (stupide), Michel Pringuay :
---- Très joli exemple de mille-feuille argumentatif, qui remplace la qualité de l'argumentation par la quantité de fausses preuves, et qui privilégie les informations qui confortent des convictions, et des hypothèses. Prétendre que quelque chose est vrai seulement parce qu’il n’a pas été démontré que c’était faux est également un raisonnement fallacieux, car il est impossible de prouver que quelque chose n'existe pas : je peux prouver que le cheval est un animal qui existe ; par contre, il m'est impossible de prouver que la licorne est un animal qui n'existe pas. Bref, reprenons les faits et rien que les faits mais surtout, vérifions les sources de manière impartiale.

Hélène Larrivé :---- Michael Pringuay, c'est un raisonnement de sophiste que le vôtre ! Bien sur que si, on peut prouver que quelque chose ou quelqunun n'existe pas, par la simple logique élémentaire ou par l'expérience, svt les deux. Par ex si on me dit qu'il existe un Dieu bon ET tout puissant, j'ai là, directement, par l'évidence  la preuve logique que ce n'est pas possible car contradictoire donc qu'il n'existe pas, du moins sous la forme qu'on prétend, c'est comme de parler d'un animal qui vole ET QUI ne vole pas à la fois.

Appel des Dr Pelloux, Klein et Moreno à partager svp !

''Je partage ici un appel de trois spécialistes sur le Covid-19, Patrick Pelloux, Philippe Klein, Médecin chef à la Clinique Internationale de Wuhan, et Carlos Moreno, Directeur scientifique de la Chaire ETI - IAE de Paris à l’université Panthéon Sorbonne trois infos importantes.
1) "Porter un masque est efficace. Il ne peut y avoir ni doute ni polémique à ce sujet."
2) "Cette bataille ne peut être menée avec succès, que si le diagnostic par les tests est massifié. Impossible de faire l’impasse là-dessus aujourd’hui. Nous ne pouvons plus continuer de naviguer à l’aveugle."
3) "Les traitements et les thérapies assurées en Chine se recoupent assez bien avec celles que propose le Pr Didier Raoult (Chloroquine) et qui ont encore fait l’objet de polémiques déplacées, contraires à l’intérêt général."

Il faut dormir (2)

Verbatim d'exil, dystopie, il faut dormir

Mon mari avec sa compagne, confinés,
Je sais, je l'ai voulu, laissons ça loin
Mon fils avec sa petite chez Fillon
Endroit très conifère, (plein de cons)
Mais zélas comme le très bon vin,
Qui ne peut me voir que trois jours !
On goûte on crache ou ça met à l'envers
Moi aussi me voir souvent me dure toujours
Ma fille que je n'ai revue que pour signer une heure ?
Et moi, ici, avec mon chien
Finalement que dire ?
Finalement, c'est bien.

Ambitieuse, elle réussit,
Lui, heureux père et mari,
C'est bien, oui..
La montagne le matin

Tout me glisse dans les mains
Comme l'eau. Mais c'est bien,
Vides, de quoi se plaindre ?
Pleines on ne sait qu'en faire!

Il faut dormir maintenant.
Pardon d'être là, d'exister, je sais,
J'encombre concombre ! Trop vivant,
Déjà il y a si longtemps
Sur le canal. Un malentendu,
Ils ne me voulaient qu'à moitié,
Toujours j'exagère. Je veux plus.
Et en totalité je suis venue,
Trois kilos sept. Et entière.

Fini la rigolade. 'Votre femme est perdue
Elle n'a plus de poumons que voulez-vous.
Je ne suis pas magicien'.
Molières. Les grèves des mineurs,
Passer de l'Est Républicain
Au fond
Des marteaux piqueurs
Qui ruinent le coeur
Et les poumons,
Mine de bruit et de fureur..
Et pour l'intrépide qui courait la France en voiture
Non, vélo, au sana, chaise longue et couvertures,
Attendant comme dans une gare, la mort ou la vie
Dont on ignore quel train va venir,
Ce fut la vie, mais comment ne pas me haïr?

Mais je voulais vivre et le veux encore, tant pis
Si ça dérange. J'y reste, brisée mais j'y suis
Se battre pour chaque croûte dans la niche,
S'arracher les ongles et se casser les dents
Plus forte ? Non Nietzsche. Plus seule mais en vie.
Et alors ? Polemos père de tout.. les souris
Mon dieu mais quelle horreur, fî ma mie !
Mon amour, je ne tue pas, este sans souris.
Avec Kati kakedepaires de chaussures
Pardon de cette cruelle mouture
Je ne suis plus sainte éberluée

Il faut dormir. Je l'ai mérité
Et oublier ceux que j'aime
Et qui ne m'aiment, salaire de la peur
Kairos.


Les gazés et le Covid19, une étude ! Les loinches et les prouinches

Une question : parmi les gens atteints par Sophia, ainsi ai-je nommé le machin, a-t- on regardé combien avaient été gazés ? A-t-on eu l'idée de faire la comparaison avec la populace non gazée ?


Les loinches ou prouiche : un CONCEPT nécessaire à créer. (Ambigène, zut, donc à améliorer.)
Désigne ceux qui nous sont 'oroches'*.. proches, ms qui sont loin, qu'on ne voit ni qui ne communiquent jamais même s'ils font semblant (ou pas) de s'intéresser à nous par personnes interposées, ''comment va X ?'' étant parfois leur Delinda Carthago, (konseledise ils sont si inquiètes) ..

Le loinches ou prouiches** variété qui réussit brillamment, (raison peut être selon eux de leur loinchitude ou prouichitude) est le prouichissi ou loinchissi, féminin prouchissive, loinchissive.
Lorsque cette loinchitude vis à vis d'un prouiche*** va jusqu'à la mort on a un prouichitif ou prouichitive, ou un prouichissitive s'il s'agit d'un prouichissi (un prouiche qui réussit.)

Si on veut être plus précis quant au degré et aux concernés par la loinchitude d'un loinchissi, ou d'une loinchissie voire d'un loinchissif ou d'une louichissife, on peut à la turque ajouter un infixe ou un suffixe (selon l'euphonie) formé de son objet (de la première syllabe de celui ci). Exemple : une pèr'prouichissife, ou mèr'prouichissive... ou hélas pèr'prouichissitive ou mèr'prouichissitive
(on a bien 'anticonstitutionnellement' après tout !).
Ouf ! La langue me semblait incomplète! On peut ainsi désigner des gens sans se compliquer la vie. Exemple : ma fille est une mèr'prouichissitive. 18 lettres pour résumer 35 ans de souffrances incoercibles, c'est se m vachement bien. J'ai mérité mon café. 
(Ce qu'a fait Mostafa Kemal en linguistique, je peux le faire.)

* Oroche n'est pas mal aussi ! On peut essayer.
** le mot est peu euphonique mais c'est bien ainsi.
*** très prouiche car il y a des objets : père, grand père, mère, mari, épouse, et des degrés, on peut indiquer 'sur prouiche' ou sous prouiche.

Des souris et un chien

Question, les souris ont elles des 'chefs' qui, une fois détruits, font que les autres fuient en MASSE d'un coup ? Mon chien, sans que je ne m'en rendisse compte, avait pour habitude de chasser et de MANGER les nombreuses souris qui squattent chez moi et que je me refuse à tuer au point qu'elles étaient quasiment apprivoisées, enfin, une surtout, et je m'étonnais qu'il mangeât si peu et se portât excellemment, surtout depuis 15 jours, gros et gras, le poil luisant, refusant les croquettes que pourtant il aimait...  lorsque je l'ai surpris en train d'en manger une (elles sont petites et lui assez gros)... Certes cela n'était pas la première fois qu'il avait ce geste, ms jusqu'alors je n'avais pas eu la curiosité de le pousser et me baisser pour voir ce qu'il y avait entre ses pattes ! Une souris morte. J'ai laissé faire puisque de toutes manières .... et il l'a dévorée d'un coup entière. Ms ce qui est curieux est que depuis, plus de souris. DU TOUT ! Question : a-t-il tué UNE particulière ?  Et les autres auraient elles été terrorisée ? Avant de mourir, les a-t-elles prévenues ?  Y a-t-il un langage souris ?

Analyse, Helene Larrivé, à partir de Michel Foucault, Eva Illouz, Denis Caroll, Larry Brillant, et le 'coup' de Natavoyou

 "La santé, selon Michel Foucault, est l’épicentre de la gouvernance moderne (c'est le ''biopouvoir''). A travers la médecine et la santé mentale, l’Etat gère, surveille et contrôle la population. Le contrat implicite passé entre les Etats modernes et leurs citoyens est fondé sur la capacité des premiers à garantir la sécurité et la santé physiques des seconds.
Et là, cette crise met en lumière deux opposés :
1 le fait que ce contrat, partout et inéluctablement, dans de nombreuses parties du monde, est progressivement rompu par l’Etat.. [ou le pouvoir, qui a changé de vocation ou révèle celle qui était véritablement sienne en s'auto servant du gâteau sans rien laisser à la plèbe ; si elle meurt, c'est son affaire ; or là, cela s'aperçoit cruellement, elle est indispensable] .. en devenant un acteur économique entièrement dévoué au Capital*. Le résultat, intentionnel ou non, a été une érosion extraordinaire du secteur public.
2 Et le fait, évident aux yeux de tous, que l’Etat, trop compromis par le capital, ne peut seul, contrairement à ce que dit Illouz, gérer et surmonter une crise d’une telle ampleur. Ni aucune autre mais c'est moins visible. Même de grosses entreprises que l'on croyait inexpugnables s'effondrent tel le mammouth Amazon qui  ne peut faire plus qu’expédier des colis postaux, et encore, avec de grandes difficultés.

* exemple réduire les coûts du travail, autoriser ou encourager la délocalisation de la production (et, entre autres, celle de médicaments clés), déréguler les activités bancaires et financières et subvenir aux besoins des entreprises.
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TRIBUNE. Surveiller et punir. ' Retombées zoonotiques''
Pour Denis Carroll, expert de premier plan en maladies infectieuses, travaillant aux Etats-Unis pour le Centers for Disease Control and Prevention, l’agence nationale de protection de la santé, nous devons nous attendre à voir ce type de pandémies se répéter plus souvent à l’avenir. Et cela en raison de ce qu’il appelle les ''retombées zoonotiques'', c’est-à-dire les conséquences d’un contact de plus en plus fréquent entre des agents pathogènes d’origine animale et les hommes – causé par la présence toujours plus importante des humains dans des écozones qui, jusqu’ici, étaient hors de notre portée, qui s’expliquent par la surpopulation, l’exploitation intensive de la terre (en Afrique, par exemple, l’extraction pétrolière ou minière dans des régions d’ordinaire peu habitées par les hommes). Un ami africain me rapportant les paroles d'un sorcier me disait que l'homme avait violé des espaces sacrés,  je dirais simplement à protéger et que nous allions périr de ce qu'il avait laissé échapper.

De même, Caroll et de nombreux autres (dont Bill Gates et l’épidémiologiste Larry Brilliant, directeur de la fondation Google.org) avertissent que des virus inconnus menaceront toujours plus à l’avenir les êtres humains. Le permafrost dégèle, libérant des virus archaïques contre lesquels nous n'avons pas d'immunité. Peu y ont prêté attention selon Illouz, en fait, si, mais pas les moliticiens.. politiciens ! trop occupées à réaliser des bénéfices, toujours plus sans relâche, exploitant terre et main d’œuvre en tous lieux ndlr et les alerteurs n'ont pas ete écoutés.. La crise actuelle est le prix que nous en  payons tous.
Post-Corona, (ndlr, et avant un autre !) les retombées zoonotiques, (ndlr les marchés chinois d’animaux vivants par exemple ou n'importe quelles  sources de retombées zoonotique devront (devront!)  étre contrôlés par la communauté internationale comme un arsenal nucléaire du moins de certains pays jugés dangereux, l’Iran notamment.)
Le milieu des affaires, partout à travers le monde, devra (devra!) réaliser que pour pouvoir exploiter le monde, il faut encore qu’il y ait un monde. (Ndlr, discours 'utinam' je crains qu'ils ne le sachent mais que la passion du profit n'obère sous peu encore une fois ces leçons chez ceux qui nous ont conduits là. Car NOUS SAVIONS pour bcp. Et qu'il faille que ceux qui depuis toujours avertissent prennent afin en main la situation, de TOUTES manières possibles. )

HL :
 La peur du public met certaines institutions en danger (elle sert à dépouiller la démocratie de ses institutions) et en promeut d'autres. Mais l’inédit de cette crise, c’est à quel point elle se montre hantée par l’''économisme'' selon Illouz, je préciserai l'''économisme médical'', une forme particulière et déterminante. Le modèle britannique (laisser faire, le moins intrusif possible certes revient par l’auto-immunisation à la contamination de 60 % de la population c'est à dire à en sacrifier une partie, les faibles, malades, vieux ou bébés au nom du maintien de l’activité économique ! C'est la raison pour laquelle l'Allemagne et la France avaient ignoré VOLONTAIREMENT, minimisé et menti au sujet de la crise tant que cela fut possible.. alors que (cf Giuliano da Empoli) même la Chine (!) n’a pas osé utiliser ouvertement cet horrible argument, l’''économisme'' la sélection virale ! critère à prendre en considération dans la lutte contre le virus (du moins au début). Le dilemme (qui n'est pas sans précédent contrairement à ce que dit Illouz ) sacrifier la vie de nombreuses personnes âgées et vulnérables ou celle des entreprises ! et pas seulement, comme le dit Illouz, la vie de beaucoup de jeunes et d’indépendants, en fait il s'agissait tout simplement de sacrifier des low classes, qu'on obligeait à travailler) DES COBAYES aux système et à ses patrons. Comme la recherche méficale médicale ! le fait depuis des lustres. Rien de nouveau m si c'est plus visible.
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Il n’est pas sans ironie que ce soit le monde de la finance, généralement arrogant et si souvent impénétrable, qui ait été le premier à s’effondrer. Cela a montré que la circulation de l’argent dans le monde repose sur une ressource que nous considérions tous comme acquise : la santé des citoyens. (Ndlr non, de CERTAINS ET LA DESTRUCTION d'autres, ex ceux qui bossent dans les mines de coltan.) Les marchés se nourrissent de la confiance comme d’une monnaie pour construire le futur, et il s’avère que la confiance se fonde sur l’hypothèse de la santé. Les Etats modernes ont garanti la santé des citoyens : ils ont construit des hôpitaux, formé des médecins, subventionné la recherche médicale et conçu des systèmes de protection sociale. Ce système de santé était le socle invisible qui rendait possible la confiance dans l’avenir qui, à son tour, conditionne les investissements et la spéculation financière. Sans santé, les transactions économiques perdent leur sens. (Ndlr, pas forcément -ms exact ds l'ensemble- car la maladie aussi rapporte, et le plus qui soit).

La santé (ndlr, de CERTAINS !) était tenue pour acquise ; et ces dernières décennies, les politiciens, les places financières, les grandes entreprises s’accordèrent tous pour promouvoir des politiques qui réduisaient drastiquement les budgets dévolus aux ressources publiques, de l’éducation aux soins de santé, ignorant ainsi de façon paradoxale à quel point les entreprises avaient pu bénéficier de ces biens publics (éducation, santé, infrastructures), sans rien débourser pour cela. Toutes ces ressources dépendent de l’Etat et conditionnent l’existence même des échanges économiques. Pourtant, en France, 100 000 lits d’hôpitaux ont été supprimés ces vingt dernières années (les soins à domicile ne sauraient compenser des lits en unités de soins intensifs). En juin 2019, les médecins et infirmières urgentistes avaient manifesté contre les coupes budgétaires qui sapent le système de santé français – une référence mondiale – jusqu’à le pousser au bord de l’effondrement. (NOTE, C'EST FAIT !)
A l’hôpital Emile Muller de Mulhouse, le 22 mars 2020. Gaël Giraud :
"Avec cette pandémie, la fragilité de notre système nous explose à la figure"
Au moment même où j’écris ces lignes, un collectif de 600 médecins annoncent porter plainte contre le Premier ministre, Edouard Philippe, et l’ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, pour leur mauvaise gestion de la crise (jusqu’au 14 mars, aucune mesure n’avait été prise). Aux Etats-Unis, pays le plus puissant de la planète, les médecins se démènent pour trouver des masques, afin de se protéger eux-mêmes. En Israël, en 2019, le ratio lits d’hôpitaux/population totale était tombé à son plus bas niveau depuis trois décennies, selon un rapport publié par le ministère de la Santé.
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La mue indispensable du capitalisme
Netanyahu et ses gouvernements successifs ont négligé le système de santé pour deux raisons :
1 parce que Netanyahu est fondamentalement un néolibéral qui croit en la redistribution de l’argent issu des ressources collectives aux riches sous la forme d’exonérations d’impôts (NDLR, NON QUANDD MÊME, IL N'EST PAS SI CON) ;
2 et parce qu’il a cédé aux exigences des partis ultra-orthodoxes qui sont ses partenaires créant ainsi des pénuries massives dans le système de santé. (Ndlr, pourquoi ?) Le mélange de gravité et d’hystérie avec lequel la crise actuelle a été gérée visait à dissimuler cette stupéfiante impréparation (manque de masques chirurgicaux, de respirateurs artificiels, de combinaisons de protection, de lits, d’unités de soins adéquates, etc.). Netanyahu et d'autres politiciens partout dans le monde ont traité la santé des citoyens avec une légèreté insupportable, échouant à comprendre que sans santé, il ne peut y avoir d’économie. (Ndlr, redite, CA DÉPEND POUR QUI.) La relation entre notre santé et le marché est désormais devenue douloureusement claire.

Le capitalisme tel que nous l’avons connu doit changer. La pandémie va causer des dommages économiques incommensurables, un chômage massif, une croissance en berne ou négative, et elle affectera le monde entier – les économies asiatiques ayant des chances d’en ressortir les plus fortes. Les banques, les entreprises et les sociétés financières devront supporter la charge, aux côtés de l’Etat, de trouver une issue à cette crise (ndlr, les banques ? Surtout les gueux ! Les pauvres) et devenir des partenaires pour la santé collective des citoyens. (Ndlr, de CERTAINS). Elles devront contribuer à la recherche, aux plans de préparation aux urgences nationales, et à l’embauche massive, une fois cette crise terminée. Elles devront porter le fardeau de la reconstruction économique, quand bien même cet effort collectif ne générerait que peu de profits. (Ndlr, un discours 'utinam' un peu hors propos,)

Les capitalistes ont pris pour acquises les ressources fournies par l’Etat – l’éducation, la santé, les infrastructures – sans jamais réaliser que les ressources dont ils spoliaient l’Etat les priveraient, au bout du compte, du monde qui rend l’économie possible. Cela doit cesser. Pour que l’économie ait un sens, elle a besoin d’un monde. Et ce monde ne peut être construit que collectivement, grâce à la contribution du secteur privé au bien commun. Si seuls les Etats peuvent gérer une crise d’une telle ampleur, ils ne seront pas suffisamment forts pour nous faire sortir à eux seuls de cette crise : il faudra que les entreprises contribuent au maintien des biens publics, dont elles ont tant bénéficié. (Idem).

Les élites et les butins de guerre LE COUP GÉNIAL DE NATAVOYOU ... NATANYAHOU
En Israël, malgré un bilan relativement peu élevé en terme de vies humaines (jusqu’à présent), la crise du coronavirus a profondément ébranlé les institutions du pays. Comme Naomi Klein n’a cessé de le souligner, les catastrophes sont pour les élites des occasions de s’emparer de butins de guerre et d’en tirer le maximum de profits. Israël en fournit un exemple frappant. Netanyahu a de facto suspendu les droits civiques fondamentaux et fermé les tribunaux (se sauvant ainsi in extremis du procès qui l’attendait). Le 16 mars, au milieu de la nuit, le gouvernement israélien a approuvé le recours à des outils technologiques élaborés par les services secrets du Shin Bet pour traquer les terroristes, afin de localiser et identifier les mouvements des porteurs de virus (et de ceux qu’ils auraient pu contaminer). Il a contourné l’approbation de la Knesset, pourtant prévu par la procédure, et adopté des mesures qu’aucun pays n’avait encore prise – y compris les plus autoritaires.

Les citoyens israéliens ont l’habitude d’obéir rapidement et docilement aux ordres qu’ils reçoivent de l’Etat, en particulier lorsque leur sécurité et leur survie sont en jeu. Ils sont accoutumés à considérer la sécurité comme une raison valable d’enfreindre la loi et de porter atteinte à la démocratie. Mais Netanyahu et ses acolytes ne se sont pas arrêtés là : ils ont mis un coup d’arrêt à la formation de commissions parlementaires, menant de facto ce que certains commentateurs et citoyens ont appelé un « coup d’Etat » politique, privant ainsi le Parlement de sa fonction de contre-pouvoir face à l’exécutif, et refusant les résultats des élections, qui les mettaient en situation de minorité. Le 19 mars, une procession légale de voitures munies de drapeaux noirs pour protester contre la fermeture du Parlement a été stoppée de force par la police, pour la seule raison que celle-ci en avait reçu l’ordre.

Thucydide, l’historien grec du Ve siècle avant Jésus-Christ, écrivait ceci au sujet de la peste qui avait ravagé Athènes durant la deuxième année de la guerre du Péloponnèse : « Devant le déchaînement du mal, les hommes, ne sachant que devenir, cessèrent de respecter la loi divine ou humaine. » (1) Des crises de ce type peuvent générer du chaos et c’est dans ce genre de circonstances que, bien souvent, des tyrans font leur apparition. Les dictateurs prospèrent sur la peur et le chaos. En Israël, des commentateurs très respectés voient dans la gestion de la crise par Netanyahu un exemple d’une telle exploitation cynique du chaos et de la peur, dans le but de changer les résultats des élections et de se mettre hors de portée de la loi. Ainsi, Israël traverse une crise qui n’a pas d’équivalent ailleurs : sa crise est à la fois sanitaire, économique et politique. Dans des moments comme celui-ci, il est crucial d’avoir confiance dans les personnes occupant les charges publiques ; or, une partie significative de l’opinion publique israélienne est en train de perdre totalement confiance en ses représentants, du ministère de la Santé ou dans les autres branches de l’exécutif.

La bande-annonce de notre futur ?
Ce qui vient redoubler le sentiment de crise, c’est le fait que la pandémie requiert une nouvelle forme de solidarité à travers la distanciation sociale. C’est une solidarité entre les générations, entre les jeunes et les vieux, entre quelqu’un qui ne sait pas qu’il peut être malade et quelqu’un qui pourrait mourir de ce que le premier ne sait pas, une solidarité entre quelqu’un qui a peut-être perdu son travail et quelqu’un qui pourrait perdre la vie. (Oui ms ce n'est pas la 1ère fois cf les épidémies de variole au 17ième au cours desquelles des gens, les femmes surtout se sacrifiaient en s'enferment avec un malade pour le soigner.)

Je suis confinée depuis plusieurs semaines maintenant et l’amour dont mes enfants m’ont couverte a consisté à me laisser seule. (Idem, mais ambigu !) Cette solidarité exige l’isolement et fragmente le corps social en ses plus petites unités possible, ce qui complique nos organisations, nos rencontres, nos communications –  (pas forcément , la solitude est parfois aussi propice..)
Nous faisons aujourd’hui l’expérience d’une sociabilité de substitution : l’usage d’Internet a plus que doublé ; les réseaux sociaux sont devenus les nouveaux salons ; le nombre de blagues Corona circulant sur les réseaux sociaux à travers les continents est sans précédent ; la consommation de Netflix et de Prime Video a littéralement explosé ; les étudiants du monde entier suivent désormais des cours virtuels à travers « Zoom » – des salles de classe collaboratives. En résumé, cette maladie, qui nous oblige à revoir de fond en comble toutes les catégories connues de la sociabilité et du soin, est aussi la grande fête de la technologie virtuelle. Je suis persuadée que dans le monde post-Corona, la vie virtuelle longue distance aura conquis une nouvelle autonomie – maintenant que nous avons été contraints de découvrir son potentiel. (Ndlr il y a aussi une dépollution spectaculaire des lieux, ciel, eaux, terre ...)

Nous sortirons de cette crise, grâce au travail héroïque des médecins et des infirmières (infirmiers aussi) et à la résilience des citoyens. De nombreux pays en sortent déjà. Le défi consistera à gérer l’après- pandémie, en tirant les bonnes conclusions : l’Etat, encore une fois, s’est avéré la seule entité capable de faire face à des crises à si grande échelle. (Ndlr QUOIIIIII ? ai-je bien lu ? C'est évidemment l'inverse. Tout dépend ce qu'elle entend par état ms apparemment pas la m acception que moi !)
L’imposture du néolibéralisme est désormais exposée, et doit être dénoncée haut et fort. L’époque où tout acteur économique n’était là que pour "s’en mettre plein les poches" doit finir une bonne fois pour toutes. L’intérêt public doit redevenir la priorité des politiques publiques. Et les entreprises doivent contribuer à ce bien public, si elles veulent que le marché demeure un cadre possible pour les activités humaines. (Idem, utinam).

Laurent Jeanpierre : ''cette pandémie est la répétition générale de la catastrophe écologique''
Cette pandémie est comme une bande-annonce de cinéma qui nous donne un preview, un avant-goût de ce qui peut nous arriver si des virus bien plus dangereux font leur apparition et si le changement climatique rend le monde invivable. Dans des cas pareils, il n’y aura ni intérêt privé ni intérêt public à défendre. Contrairement à ceux qui prédisent une résurgence du nationalisme et un retour des frontières, je crois que seule une réponse internationale coordonnée peut aider à affronter ces risques et périls inédits. Le monde est irrévocablement interdépendant et seule une contribution de ce genre peut nous permettre de faire face à la prochaine crise. Nous aurons besoin d’une coordination et d’une coopération internationales d’un type nouveau, afin d’empêcher de futures retombées zoonotiques, pour étudier les maladies, pour innover dans les domaines de l’équipement médical et de la recherche, et plus que tout, il faudra réinvestir les richesses considérables amassées par les entités privées dans les biens communs. (?) Telle sera la condition pour avoir un monde.

(1) Thucydide, « La Guerre du Péloponnèse », chap. 2, 52.

Eva Illouz, bio express Sociologue franco-israélienne, considérée comme l’une des plus importantes figures de la pensée mondiale. Directrice d’études à l’EHESS (?) et professeur à l’Université hébraïque de Jérusalem, elle étudie le développement du capitalisme sous l’angle des subjectivités. Elle a récemment publié "Happycratie" (2018), ''les Marchandises émotionnelles'' (Premier Parallèle, 2019) et, le 6 février 2020, "la Fin de l’amour", aux éditions du Seuil.)

VOTE, DES CAS SUPPLEMENTAIRES D'INFECTÉS.


Je

Quid Helenae ? Les prouichissimes.



Parmi les malades, a-t-on regardé combien ont été gazés, au pro rata de la population non gazée ?


Les prouiches, en cette période de virus, se révèlent souvent prouichissitifs. Quid Helenae ?

Les loinches ou prouiches:  

Un CONCEPT nécessaire à créer. (Ambigène, zut, donc à améliorer.)
Désigne ceux qui nous sont 'oroches'*.. proches, ms qui sont loin, qu'on ne voit pas ni qui ne communiquent jamais même s'ils font semblant (ou pas) de s'intéresser à nous par personnes interposées, ''quam Helenae est ?'' étant parfois leur Delinda Carthago, (konseledise ils sont inquiets) ..
Le loinche ou prouiche ** variété qui réussit brillamment, (raison peut être selon eux de leur loinchitude ou prouichitude) est le prouichissi ou loinchissi, féminin prouchissive, loinchissive.
Lorsque cette loinchitude vis à vis d'un prouiche*** va jusqu'à la mort on a un prouichitif ou une prouichitive, ou un prouichissitif ou prouichissitive s'il s'agit d'un prouichissi (un prouiche qui réussit.)

Si on veut être plus précis quant au degré et aux concernés par la loinchitude d'un loinchissi ou d'une loinchissie voire d'un loinchissif ou d'une louichissife, on peut à la turque ajouter un infixe ou un suffixe (selon l'euphonie) formé de son objet (de la première syllabe de celui ci). Exemple : une pèr'prouichissife, ou mèr'prouichissive... ou hélas pèr'prouichissitive ou mèr'prouichissitive
(on a bien 'anticonstitutionnellement' après tout !).
Ouf ! La langue est si incomplète! On peut ainsi désigner des gens sans se compliquer la vie. Exemple : Léa est une mèr'prouichissitive. 18 lettres pour résumer 35 ans de souffrances incoercibles, c'est qd m vachement bien. J'ai mérité mon café. 
(Ce qu'a fait Mostafa Kemal en linguistique, je peux le faire.)

* Orche ou oroche n'est pas mal aussi ! On peut essayer.
** le mot est peu euphonique mais c'est bien ainsi.
*** très prouiche car il y a des objets : père, grand père, mère, mari, épouse, et des degrés, on peut indiquer 'sur prouiche' ou sous prouiche. Ainsi on dira ''Léa est  totalement mèr'prouichissitive mais moins pèr'prouichissitive.