mercredi 22 avril 2020

I'iatrogénie, 3ieme cause de mortalité aux EU

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/20/la-pandemie-du-coronavirus-une-operation-mondialiste-au-service-dobjectifs-macabres/?fbclid=IwAR1rt15xMECjFKceskCI7wG2Fx0sqXIa72_x_71wr60li6hfTJDIezuWpro

Une vidéo bouleversante à partager

Le Dr Marty, ''on n'en peut plus''. A bout de forces

https://twitter.com/i/status/1242190315827716098

Une phrase de Catherine Kousmine qui résume tout

La médecine officielle est sous la tutelle des grands laboratoires et des lobbies pharmaceutiques. On ne demande donc pas aux médecins de faire de la médecine mais de prescrire des médicaments, ce qui n’est pas la même chose.”- Dr. Catherine Kousmine

Synchronicité, 3 exemples

Le corps ''nous'' avertit, nous parle. (La nature aussi, et l'animal, n'en parlons pas !) Mais nous ne prenons pas le temps de l'écouter. L'avantage de ce confinement, pour moi en solitaire, est justement que je le prends ! C'est peut être aussi relié à la synchronicité ? Voir sur ma page ''L'homme super lumineux'' qui. malgré le titre accrocheur imposé par l'éditeur, un classique ! est un excellent bouquin de deux scientifiques de haut vol.
Vous est-il arrivé que la nature, ou un événement voire votre corps lui même semblent vous aider, répondre à une question, ou vous tirer d'un mauvais pas ?
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''CHARBONNIER'', le plus récent
Nous sommes en voiture avec un pote en Bourgogne, il fait nuit. On discute... je parle de ma famille paternelle et de certains de ses mystères, nombreux.. de cette grand mère notamment à laquelle toutes disent que je ressemble en rousse (elle était très brune) et petit format (elle faisait plus d'un m 75, moi, un m 60) une belle femme disait-on, débrouillarde et il le fallut car elle éleva seule et au mieux ses quatre derniers enfants après un divorce mouvementé et aucune aide du père, lycée prestigieux, cours de piano, de chant, que sais je ? Bcp d'entregent. Appréciée de tous. Comment ? Silence. Mon père n'en parlait jamais mais comme de toutes manières il ne me parlait jamais ... la seule fois où j'ai osé le questionner sur son âge lorsqu'il est né, lui, le dernier de la fratrie, j'ai cru qu'il allait me gifler. Je n'ai plus jamais recommencé. Verbatim de la discussion ds la voiture.

H ---- Une femme cultivée, tu sais, j'ai retrouvé des lettres d'elle, elle a un style, de l'humour, j'aimerais savoir d'où elle venait, elle s'est totalement fondue ds la famille Larrivé' comme si elle ne venait de nulle part. Orpheline ? Je ne crois pas, elle n'aurait pas eu, ni sa soeur ! une éducation si soignée, rare pour une femme.. 
P ---- Étonnant qd m que tu ne saches presque rien d'elle ...
---- Et stt que je ne l'ai jamais connue ! J'avais 5 ans qd elle est morte. Voyante connue, qd m, je l'ai su récemment deJacqueline, que j'ai fait parler.. une clientèle d'hommes politiques...
---- C'est d'autant plus étonnant ... pour des gens qui voyageaient facilement..
---- Remarque, elle avait 12 petits enfants...  je n'étais pas la plus importante. Figure-toi que je ne suis même plus sûre de son nom, c'est qd m inouï ! Claudia, oui, puisque c'est aussi le mien, mais ensuite ... si je prends le nom de scène de sa soeur, Line, (cantatrice), qu'elle a un peu modifié, ça doit tourner autour de Charney... Chardonet ? (et là, je ris car au même moment, je pense... et je DIS) ''note qu'elle était sans doute un peu snob, comme tous les Larrivé, même si elle n'en était pas vraiment une, et si ça se trouve son nom était ....''
... JE N'AI MÊME PAS LE TEMPS DE FINIR : SOUDAIN UN ÉNORME CAMION NOUS DOUBLE, ASSEZ RAPIDE : SUR SON FLAN, EN LETTRES ÉNORMES, EST ÉCRIT ''CHARBONNIER'', EXACTEMENT LE MOT QUE J'ALLAIS PRONONCER. C'était il y a qques mois. J'ai eu l'impression que Claudia me soufflait.
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2 JEAN LARRIVÉ
 Plus ancien, je suis à Anduze, il est tard, mais je voudrais bosser.. un pote (pas du tout connu) m'a passé un manus que j'ai promis de lire, et j'ai avec un autre ami, Michel, lui, connu, un projet de livre sur les coincidences surprenantes ... pour tout dire, les synchronicités. Il en a vécu plusieurs, moi aussi et m'a procuré ''Le matin des magiciens'' que je me propose de relire, mon exemplaire est à Paris. J'ai écrit sur une feuille ''coïncidences surprenantes, quelques exemples. Larrivé Jeury'' (après tout un livre commence toujours par un mot !)
Mon père (Jean Larrivé) vient de mourir qques jours avant, et j'ai sur moi le livret de condoléances auquel je dois répondre, cad relever les noms et adresses des gens qui ont signé. Pas le courage de le faire seule ds la galerie, je vais au petit troquet de la place dont je connais bien le jeune patron, devenu un ami. Il est 10 h du soir ou un peu plus. On est en Septembre. Je m'installe ds un coin et, toujours pour me donner du courage avant de colliger la liste des condoléants, j'attaque le manus de Gérard... ma fois excellent, je me régale.. Stef m'a servi un double café, tout va.
Et puis ! Meeerddddeeeeeee ! survient un gus que je connais un peu, un, disons fils à papa qui se veut écrivain ou artiste, ilsépazencor et me course parfois sans se gêner pour m'entretenir de projets qu'il ne réalise jamais. J'accepte parce que ça lui fait plaisir mais là niet ! Note, en plus, en démarrant ma tronçonneuse je me suis bousillé la clavicule, une vraie merde ... je lui fais un signe, gentil mais de me laisser bosser, il comprend et n'insiste pas. Il est à ? 5 m de moi, arrêté.
---- Je vois que vous bossez je ne vais pas te déranger rassure toi, je veux juste vous dire que j'ai fait la connaissance d'un auteur EXTRAORDINAIRE !  Gérard A... ''
Je dois faire une drôle de tête car il comprend immédiatement.
---- C'est ce que vous lisez ?
---- Oui.
Fin de l'acte. Je me dis juste que Gérard a un service de presse redoutable, ce qui est surprenant de sa part...
Deuxième. Mal à la clavicule, tant pis pour le livret de condoléances, je rentre. Il est minuit. Il bruine un peu. Ô stupeur, devant la galerie un petit attroupement de cyclistes. J'en reconnais un, il est venu l'après midi et on a un peu causé café-philo, un gars sympa, intéressant. Il me présente ses potes, un couple et sans doute sa propre copine. Ils me demande à entrer pour un ''café philo'' improvisé comme je lui ai dit qu'il m'arrivait de faire.
---- Désolée exceptionnellement je ne peux pas, je me suis esquintée la clavicule et je dois m'allonger.. ms demain, avec un grand plaisir..
---- Mais demain on ne sera plus là'' me dit l'une (deux d'entre eux sont instits.)
Qu'est ce qui me prend de lui demander :
---- Où ?
---- Nous, à Paris, enfin à Clamart plutôt...
---- Tiens tiens ! où dans Clamart ?
---- En face de la gare.. enfin c'est compliqué en fait c'est la pointe de Malakof mais ...
---- Si je comprends très bien. Quelle villa ? (on nomme 'villa' des impasses de plusieurs maisons, assez courts)
---- La villa Louise...
En gros elle habite en face de chez moi.
Acte trois
---- Ça alors. J'écris justement sur les coïncidences troublantes et là ... mais excusez moi, ma clavicule ... on reste en contact, c'est trop extraordinaire. Mon nom est Hélène Larrivé vous le retiendrez ou vous voulez une carte, je dois en avoir encore?
Et là, la jeune femme qui n'avait rien dit jusqu'à présent ni son compagnon éclatent de rire :
---- Là c'est sans problème, on habite la rue Jean Larrivé, à Lyon.''
C'est tout. Mais j'en ai encore la chair de poule. Il m'a semblé que mon père me disait quelque chose.
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3 HÉPATITE VIRALE D'ÉMOTION,  se faire ''de la bile''
Le dernier exemple (il y en a plein d'autres) est le plus .... merveilleux ou disons étrange. Sortez vos mouchoirs, c'est une période difficile de mon existence.
On est en 66. Je viens de passer le bac et l'école Normale d'Aix, qui décidément m'a ''externée'' (mes parents ont déménagé dans une autre académie) ne m'a pas oubliée... je dois donc ''faire'' mon année de stage dite 4ième année, au terme de laquelle je serai nommée quelque part pour 10 ans (à moins de rembourser je suppose. Comme nous avait dit Lallemand, notre salope de prof de maths ''vous ne vous appartenez plus à présent mais à l'éducation Nationale, vous n'avez pas le DROIT de tomber malades''). Je supplie mes parents ou plus exactement ma mère, mon père ce n'est m pas la peine, en vain. A présent, certes depuis peu, depuis 3 ans, mon père gagne du fric, son affaire tourne à bloc. Rien n'y fait, c'est ainsi, point. Pour la première fois, même Marguerite, (ma grand mère) ne me défend pas ; a-t-elle peur de se mettre mal avec sa fille, elle a 75 ans, et sa 'jeune' soeur, Josée qu'elle a en charge n'en a que 63 ; a-t-elle voulu en qque sorte négocier l'avenir de sa soeur après sa mort ? J'ai du mal avec ça. A-t-elle voulu s'assurer elle-même ? Non impossible. Du rest, par la suite, Lydie se chargera au mieux des deux vieilles dames sans barguinier et de Jo qd Marguerite ne fût plus là, et elle l'aurait sûrement fait même si elle m'avait défendue. Reste que tout de même, sans que je ne sache pourquoi, elle a joué la carte Lydie. Peut être ne se rendait-elle pas compte de l'enjeu pour moi ? J'ai vraiment du mal avec ça. ''Mais Françoise va en fac, elle''... ''oui mais c'est pas pareil, ce sont des gens qui ont de quoi''... Encore une question, ignorait-elle que l'affaire de mon père marchait à fond ? Qu'importe finalement.
Je suis donc désespérée mais je me suis quand même inscrite en fac en cachette car j'ai déjà mon permis et un aller retour n'est pas difficile. Septembre, je dois donc ''réintégrer'' l'EN de Nimes, plus moyen d'y échapper. On m'a loué un joli appart rue Roussy mais cela n'annule pas mon chagrin. Je n'arrête pas de pleurer. J'ai qd m de la chance, en fait, j'en aurai deux, la première, ma directrice de stage, que je suis censée aider et qui doit m'apprendre le job est une sainte, une femme extraordinaire dont le seul défaut est sa puissance de travail, je me demande quand elle dort. Elle me propose certes gentiment, d'être là ''oh pas trop tôt, je vois bien que vous êtes jeune, vers 7 h ça vous ira ? Moi je serai là avant mais bon'' ...  Elle a compris ma détresse et ne sait comment m'aider. Tous les jours en descendant la rue de Salinelles, je martèle chaque pas d'un ''je ne serai jamais institutrice'' ... ''je ne serai jamais institutrice'' ... ''je ne serai jamais institutrice ''...
---- Essayez de plaider votre cause au Rectorat '' m'avait-elle conseillé un jour que je n'avais pu me retenir d'éclater en sanglots après les cours. Ce fut en vain, une garce à la Kafka épluchant mon dossier, méprisante :
----- Vous venez d'Aix ?
----- Oui. Nous habitons Marseille..
----- Ah bon ! Et ... quoi ? (elle regarda de plus près sa feuille, scandalisée ) VOUS AVEZ TENTÉ DE VOUS SUICIDER ? Je vous ai posé une question !
----- Oui
----- Mais c'est pas bien, ça ! Il faudra que ça vous passe hein ... (elle regarda encore une autre feuille) vous avez été soignée par le Dr Delpierre ? 
----- Oui...
----- Tout ça à nos frais ... bon, mais de toutes façons, je ne peux en AUCUN CAS, vous m'entendez, en AUCUN CAS vous autoriser à démissionner, vous êtes mineure (la majorité était à 21 ans) ce sont vos parents seuls qui peuvent le demander... et puis svp, plus de pantalons, une tenue correcte prochaine fois. Hein ?
----- D'accord.
----- D'ACCORD ! je rêve ! Mais je ne suis pas votre copine vous l'aurez peut être remarqué non ? Alors ?
----- Oui ... Madame !
Bref, rien, juste le plaisir sadique d'une saloperie réjouie de tenir une gamine désespérée entre ses crocs. Mme Severat m'avait vue le lendemain, encore défaite. ''Allons on va à la salle de musique ''...
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Ne pleurez pas ! (Comme je le fais maintenant) car c'est là que mon corps a joué sa partie. Une partie dangereuse certes, ms qui finit bien. Quelques jours après, c'était chez mes parents, le dimanche, je me réveille, Lydie est devant moi. Etonnée, comme réprobatrice.
------ Qu'est ce qui t'arrive ?
------ mais ... rien ... je dormais...
------ Tu te sens bien ?
------ mais oui! Qu'y a-t-il ?
------ va te voir !
J'étais JAUNE COMME ... NON, PIRE QU'UN CITRON, ENTRE UN CITRON ET UNE MANDARINE, le blanc de mes yeux, sous mes ongles, ma langue, mes gencives, tout était orange, ahurissant ! Mais qu'est ce que j'ai ?
Une hépatite virale. Cela dura qques jours, aucune fatigue, juste cette fâcheuse couleur. Je retournai à Nîmes ; me voyant Mme Severat me demanda de rester chez moi :
------ Vous devez être fatiguée
------ Non, pas du tout
Elle sourit.
------ Alors à votre place je mettrais une jupe et j'irais de nouveau au Rectorat, vite, avant de retrouver votre couleur normale.
Ce que je fis. Et bien, mineure ou pas, ils acceptèrent ma démission le jour même (plus exactement crois-je, ils forcèrent mes parents à l'accepter.) C'est ainsi que j'entrai en fac quasiment en date. Mon foie ne m'a plus jamais emmerdée.
C'est ainsi aussi que .... ms c'est une autre histoire

Arrêter de fumer. La nicotine protégerait-elle du covid ? Clop et mode de vie, mode d'être

A ----- La nicotine protégerait-elle du covid ? Mais pourquoi j’ai arrêté de fumer ?
H ----- Ça dépend, à un certain stade, et on disait autrefois de la silicose (les mineurs, les prothésistes dentaires) car tapissant les poumons, le goudron, toxique certes pouvait aussi être aussi protecteur de la terrible silice qui ne parvenait pas à s'y fixer, la silice qui fait éclater les lyzozymes (inéluctablement le poison se répand alors  partout, réaction en chaîne). Ça se tient.
H ----- Bien sûr je ne justifie pas le tabac ! Ms il reste que cette idée était parfois, souvent même, celle des pirement exposés à la lyse pulmonaire depuis des générations, les mineurs de fond.
P ----- (Lien avec les méfaits du tabac)
A ----- c’est pour ça (entre autre) que j’ai arrêté mais en période de confinement  c’est de nouveau difficile, arret le 1 er Novembre
P ----- Je comprends, même si je n'ai jamais été un vrai fumeur...
H ----- Je le fus, 1 paquet/jour,  genre à aller la nuit vers 3 h par temps de pluie avec une voiture très moyenne à Nîmes (60 km) à la station. J'ai arrêté toute seule ss pb ms avec entre autres du plantain, j'en avais un acol (champs) entier ms j'ignorai à cette époque que c'était considéré, juste j'avais très envie d'en manger. Je n'ai pas pris 1 gramme. Il faut dire qu'à l'époque je vivais ss eau ni électricité, est-ce que ça a joué ? Car on est tt le temps occupé, puiser, couper le bois, le chercher à la rivière, c'est agréable! les animaux, cuisiner etc ... alors que sur son canapé... le pb est je crois de notre relative ''oisiveté'' surtout citadine à l'heure où les machines font tout à notre place et finissent par changer notre mode de vie, par NOUS MODIFIER en fonction de celles-ci, dialectique du maître et de l'esclave, nous en devenons accro. Par exemple autrefois on lavait à La main, fastidieux quoique les lavoirs rendaient cette tâche quasi réjouissante, mais on l'avait peu. Moins propre ? On nous l'a inculqué, à tort. Qui a dit qu'il fallait changer de chemise tous jours ?  Du coup on a accumulé des vêtements, du linge, et ensuite on est coincés,  une panne de machine, une fuite qui oblige à couper l'eau, un virus qui décourage de voir débouler des gus qui ne prennent aucune précaution (ici du moins) et c'est le drame. Le golem. Tout se passe comme si l'idéal de la été contemporaine occidentale était DE NE VOIR PERSONNE OU LE MOINS DE GENS POSSIBLE. Une machine à laver, un vide ordure, une voiture, le traiteur livreur, les achats par internet, des 'drive' y compris pour le cinéma aux USA, un camping le plus isolé possible pour les vacances ms là, au moins ds la nature, l'idéal est la solitude, même la prostitution peut se lire de cette manière : votre femme vous emmerde à être tout le temps ''là'', à vous demander de faire la vaisselle ou pire ? Mais au lit... bon, elle est là et ... passons... Ne vous embêtez pas, achetez en un juste pour l'affaire, d'ailleurs, elle saura mieux c'est son job, et 'out' après, vous pouvez vous en passer, même d'enfants d'ailleurs, achetez en ou mieux, trouvez une porte greffe et ensuite,  pour le premier cas surtout, si jamais ça se passe mal, échangez les... c'est dans ce cadre, vous avez remarqué ?que s'inscrit la clop. Bourge chic linge lave vaisselle faite vitres briquées champ et verres rutilants ! C'est pourquoi arrêter de fumer SANS CHANGER DE MODE DE VIE est ss dte plus difficile, c'est pourquoi aussi ai-je arrêté ss efforts ou presque, ce qu'on dit impossible. 

Les relations toxiques, l'odorat et l'appétence sexuelle

Réponse à une internaute, SE LE DIRE ET RÉPÉTER TOUS LES JOURS.
----- J’ai l’impression que c’est moi qui ai un pb car toutes mes relations étaient toxiques, à un moment on se dit ça, je suis perdue ... ou bien je les attire.
----- Non, tu es juste formatée pour, car les victimes, sache le, sont tjrs de MULTI VICTIMES, tt se passe comme les victimeurs ''flairaient'' le potentiel d'une quidame et s'engouffraient. Flairer ? C'est ss dte sûrement ça (voir études sur l'odorat et l'attirance sexuelle*). C'est fréquent, c'est mon cas, si bien que maintenant, qd qq'un (qui que ce soit) me demande qqe chose, je me pose la question : ''À l'inverse, le lui demanderais je, moi ?'' Si la réponse est non, en ppe, sauf pour des enfants, je refuse. Une discipline à tenir.

* On a fait sentir à des jeunes gens des T shirt ayant été portés non stop plusieurs jours par des jeunes filles et on leur demande QUELLE ODEUR est la plus agréable, désagréable, bref de les classer. On constate qu'ils optent systématiquement pour la meilleure reproductrice en fonction de leurs génomes respectifs. Question: cela expliquerait-il la relativement peu intéressante ''production'' des mariages arrangés ? Indépendamment de la consanguinité ? 


Cévennes, erreurs médicales en séries, pour vivre vieux, évitez les médecins

Écouter notre corps, et notre raison (suite).. ou pourquoi je ne consulte presque jamais, réponse à Blandine.
NOUS SOMMES DANS LES CÉVENNES, LES INDIENS DE BILL GATE ET DE BIGPHARMA

B ----- Le corps nous donne des indications, oui mais il faut garder un juste milieu, ce n'est pas vrai pour tout.
H ----- Oui, je sais bien, ms ds l'ensemble, si je fais le rapport bénéfice /risques entre ma théorie disons UMWELISTE et la médecine, il est nettement favorable à la première ! Il semble que les médecins ont tenté, svt auprès de gens un peu courts ou désinformés, analphabètes ou juste culturellement hors circuit de 'notre' culture (Bill Gates en Inde par ex) de faire passer leur savoir ou pseudo-savoir pour PANACÉE ABSOLUE ET IRRÉFRAGABLE contre les savoirs anciens ridiculisés par des termes-barrières comme sorcellerie, superstition, sottise de femmes, (remèdes de bonne FAME devenus de bonne FEMMES ) voire la coercition pure, tout ça par lucre, profit, désir de pouvoir, car le pouvoir sur le corps est l'essentiel. Or ce pouvoir que nous avons tous d'instinct je le maintiens, il fallait nous le faire perdre, pour ça nous terroriser, et on était cuits. Je me demande à présent, c'est la première fois que ça me vient à l'esprit ! (en pensant à Marguerite, ma gd mère, qui miraculeusement a survécu à 2 erreurs médicales (ou plus exactement manques de soins).. et à ma mère qui, elle, n'a pas survécu à la première car elle au moins avait la sagesse de ne jamais consulter, sauf qu' après sa fracture, hospitalisée, on lui a fait prendre un médoc extrêmement dangereux je l'ai su après, peut être même a-t-elle fait l'objet d'un essai avant l'AMS, ici c'est fréquent, on est les indiens de la France et hop infarctus, le médecin cardio n'a pas daigné venir malgré mes appels suppliants, 'NON CE N'EST PAS UN INFARCTUS' ! C'était le 8 août un dimanche après midi, tous à la plage, elle a tenu 7 heures)
... je me demande si je n'ai pas été si branchée bio, +++, presqu'autant... non, plus ! que par la philo juste pour 'vérifier' (!) cad pour éviter des cata, au moins autour de moi (ce que je n'ai bien sûr pas réussi car parfois certains semblent hypnotisés comme par des gourous*.) Après avoir tant vu ici tant d'erreurs gravissimes et de morts... Un des pb pour lequel il vaut mieux pour ceux qui le peuvent rester à Paris malgré tout est la déshérence extrême ici de la médecine et de l'hôpital .. surtout si on est un fervent con sulteur, quoique ...  il a fallu les bêta bloquants ordonnés très hard par un cardiologue à un pote (et tous les ennuis qui vont avec, qu'il ne pouvait nier) pour le convaincre de devenir vegé et de lâcher les médocs (le toubib lui avait dit de ne surtout pas arrêter, pardi, ms avec la bouffe vegé et les orties, ça risquait de lui donner des chutes de tension). Le problème, ou l'intérêt tout dépend d'où on se place ! de ces médocs est qu'ils fonctionnent comme une drogue, VOUS NE POUVEZ PLUS ARRÊTER SINON VOUS AUREZ DE GRAVES ENNUIS (VRAI OU FAUX) vous dit-on, ferrés à vie, par la peur, ou le risque réel d'où la difficulté à se faire entendre contre, épuisant. Mais gagné : plus de tension, très ample, coeur impec, excellente forme psychique, et le croiriez vous ? reins idem, imprévu, prétendu impossible, ss dte grâce aux GRAINES d'orties, alors que le salaud de spécialiste (auquel le premier l'avait envoyé car ils se renvoient l'ascenseur je veux dire les vieux à riche mutuelle soucieux d'eux mêmes, une manne), lui avait dit que c'était inéluctable, ça allait forcément s'aggraver (sauf médocs ?) et tôt ou tard il devrait être dialysé, d'ailleurs il avait un centre.

* C'est terrible à dire voire à PENSER, ms Lydie, (ma mère) ne m'avait pas défendue, bien au contraire, lorsque je l'avais suppliée de sortir Marguerite, (sa mère) d'un hôpital dangereux où on ne la soignait pas et où aucune précaution n'était prise, même ensuite lorsque, pratiquement guérie, elle est tombée du lit, une infirmière ayant oublié de remettre les barres, et s'était cassée l'autre col du fémur ! elle a soudé aussi ! mais la trop longue immobilisation a fatigué son coeur de 84 ans et elle est morte peu après. Même alors donc, Lydie ne me soutint pas. Elle aimait sa mère pourtant. Mon père, mécontent que je m'en prenne aux médecins, car in fine c'étaient eux les responsables, alla jusqu'à me rembarrer violemment, à sa manière méprisante qu'il affectionnait avec moi  ''tu n'avais qu'à faire médecine puisque tu es si forte, toi'' (de la part de qui s'était opposé à ce que je fasse quelque études que ce soit, il fallait oser) et surtout, pour deviner qu'oublier les barres de protection d'un lit c'était susciter un accident presqu'à coup sûr, était-il nécessaire d' 'être un cador ? Par la suite, cela ne s'arrêta pas là, ainsi ma nièce fût-elle sans doute une des dernières à avoir été exposée in utero au terrible dilbestrol, j'en avais averti sa mère, car à l'époque on SAVAIT, qui m'avait rétorqué que le médecin lui avait certifié que ''ça ne risquait rien et qu'ainsi elle aurait un beau bébé comme il les aimait, uniquement'' (!) ''Ça rassure non? Moi j'ai confiance en la médecine'''' (Dire qu'elle se disait surdouée en maths). Ils avaient sans doute des stocks à liquider in extremis, hop, ici, les gens sont crédules et en ppe peu instruits. Exact. Elle aussi a failli mourir de plusieurs erreurs médicales et finalement a dû être amputée. Cette fois elle a compris. Trop tard.

Éviter les médecins

CE QUE LE CORPS NOUS DIT, ÉCOUTONS LE AVANT DE CON SULTER
Pourquoi j'évite au maximum* les médecins ? Cela semble un principe... et en un sens c'en est un. C'est parce que si j'examine ma déjà longue vie, 72 ans, je constate que si je les avais ''écoutés'', je serais probablement morte plusieurs fois, ou définitivement bousillée, (comme mon père le fût) par des médicaments, notamment des antidépresseurs ms pas que. Des erreurs de diagnostic presque à CHAQUE fois, ad pejorem le plus svt, y compris pour ma fille bébé, rectifiées par la raison, le doute ... et surtout la consultation d'un autre plus pointu** car il y a des exceptions. Un livre à écrire ms si long que j'ai la flemme ! Ou alors (ds les cas graves) il faudrait en voir plusieurs, 3 ou 4 et se faire une idée en comparant. Des spécialistes s'il faut. Sans compter les ''investigations'' supposées obligées et dramatiquement intrusives que j'ai refusés et qui, renseignements pris, auraient risqué d'aggraver et/ou ÉTAIENT TOUT À FAIT INUTILES. Je préfère autant que faire se peut ''écouter"' mon corps et garder confiance en lui, (ça vaut pour moi ms peut être pas pour tous) : ce matin j'ai enfin compris ce qu'il me disait : il me donnait juste un avertissement : "cesse de me pousser au bout de mes capacités et de mes forces, repose toi et dis merde à R''. Je suis donc obligée de peu bouger (car je bouge qd m, je le dois pour me nourrir, moi et Olaf, quitte à mettre 10 mn à atteindre la cuisine !) et ''il'' a raison, ce n'est que comme ça que je pouvais m'y résoudre.  juste un truc au pied, c'est significatif.  Et puis et surtout, à la fac de médecine (tronc commun avec PCB) après les avoir vus et entendus, j'en ai tiré l'enseignement suivant, à savoir que définitivement (ou quasi) sont à bannir ces fils de bourges aux dents longues qui aux pauses, ds les cafet etc.. ne parlaient pour la plupart (il y a qd m des exceptions, svt il faut le reconnaître au plus haut niveau) QUE carrière, fric, rentabilité (de telle spécialité par rapport à une autre) etc... ça ne se voyait pas ailleurs, ds d'autres facs.
[Même observation chez les ''BTS'' podo orthèses de d'Alembert, tous issus de la fac de médecine après avoir raté PCEM, ( auxquels j'ai dû enseigner très brièvement ce qu'on appelle abusivement la philo ensuite.) Peut-être en pire ! ]

* au maximum ne veut pas dire tout le temps.
** cad souvent simplement d'un membre de ma famille, Claude, Jocelyne que je remercie ici car, paradoxe, elle en comprend un nombre anormalement important (ms c'est une autre histoire).