mercredi 22 avril 2020

Cévennes, erreurs médicales en séries, pour vivre vieux, évitez les médecins

Écouter notre corps, et notre raison (suite).. ou pourquoi je ne consulte presque jamais, réponse à Blandine.
NOUS SOMMES DANS LES CÉVENNES, LES INDIENS DE BILL GATE ET DE BIGPHARMA

B ----- Le corps nous donne des indications, oui mais il faut garder un juste milieu, ce n'est pas vrai pour tout.
H ----- Oui, je sais bien, ms ds l'ensemble, si je fais le rapport bénéfice /risques entre ma théorie disons UMWELISTE et la médecine, il est nettement favorable à la première ! Il semble que les médecins ont tenté, svt auprès de gens un peu courts ou désinformés, analphabètes ou juste culturellement hors circuit de 'notre' culture (Bill Gates en Inde par ex) de faire passer leur savoir ou pseudo-savoir pour PANACÉE ABSOLUE ET IRRÉFRAGABLE contre les savoirs anciens ridiculisés par des termes-barrières comme sorcellerie, superstition, sottise de femmes, (remèdes de bonne FAME devenus de bonne FEMMES ) voire la coercition pure, tout ça par lucre, profit, désir de pouvoir, car le pouvoir sur le corps est l'essentiel. Or ce pouvoir que nous avons tous d'instinct je le maintiens, il fallait nous le faire perdre, pour ça nous terroriser, et on était cuits. Je me demande à présent, c'est la première fois que ça me vient à l'esprit ! (en pensant à Marguerite, ma gd mère, qui miraculeusement a survécu à 2 erreurs médicales (ou plus exactement manques de soins).. et à ma mère qui, elle, n'a pas survécu à la première car elle au moins avait la sagesse de ne jamais consulter, sauf qu' après sa fracture, hospitalisée, on lui a fait prendre un médoc extrêmement dangereux je l'ai su après, peut être même a-t-elle fait l'objet d'un essai avant l'AMS, ici c'est fréquent, on est les indiens de la France et hop infarctus, le médecin cardio n'a pas daigné venir malgré mes appels suppliants, 'NON CE N'EST PAS UN INFARCTUS' ! C'était le 8 août un dimanche après midi, tous à la plage, elle a tenu 7 heures)
... je me demande si je n'ai pas été si branchée bio, +++, presqu'autant... non, plus ! que par la philo juste pour 'vérifier' (!) cad pour éviter des cata, au moins autour de moi (ce que je n'ai bien sûr pas réussi car parfois certains semblent hypnotisés comme par des gourous*.) Après avoir tant vu ici tant d'erreurs gravissimes et de morts... Un des pb pour lequel il vaut mieux pour ceux qui le peuvent rester à Paris malgré tout est la déshérence extrême ici de la médecine et de l'hôpital .. surtout si on est un fervent con sulteur, quoique ...  il a fallu les bêta bloquants ordonnés très hard par un cardiologue à un pote (et tous les ennuis qui vont avec, qu'il ne pouvait nier) pour le convaincre de devenir vegé et de lâcher les médocs (le toubib lui avait dit de ne surtout pas arrêter, pardi, ms avec la bouffe vegé et les orties, ça risquait de lui donner des chutes de tension). Le problème, ou l'intérêt tout dépend d'où on se place ! de ces médocs est qu'ils fonctionnent comme une drogue, VOUS NE POUVEZ PLUS ARRÊTER SINON VOUS AUREZ DE GRAVES ENNUIS (VRAI OU FAUX) vous dit-on, ferrés à vie, par la peur, ou le risque réel d'où la difficulté à se faire entendre contre, épuisant. Mais gagné : plus de tension, très ample, coeur impec, excellente forme psychique, et le croiriez vous ? reins idem, imprévu, prétendu impossible, ss dte grâce aux GRAINES d'orties, alors que le salaud de spécialiste (auquel le premier l'avait envoyé car ils se renvoient l'ascenseur je veux dire les vieux à riche mutuelle soucieux d'eux mêmes, une manne), lui avait dit que c'était inéluctable, ça allait forcément s'aggraver (sauf médocs ?) et tôt ou tard il devrait être dialysé, d'ailleurs il avait un centre.

* C'est terrible à dire voire à PENSER, ms Lydie, (ma mère) ne m'avait pas défendue, bien au contraire, lorsque je l'avais suppliée de sortir Marguerite, (sa mère) d'un hôpital dangereux où on ne la soignait pas et où aucune précaution n'était prise, même ensuite lorsque, pratiquement guérie, elle est tombée du lit, une infirmière ayant oublié de remettre les barres, et s'était cassée l'autre col du fémur ! elle a soudé aussi ! mais la trop longue immobilisation a fatigué son coeur de 84 ans et elle est morte peu après. Même alors donc, Lydie ne me soutint pas. Elle aimait sa mère pourtant. Mon père, mécontent que je m'en prenne aux médecins, car in fine c'étaient eux les responsables, alla jusqu'à me rembarrer violemment, à sa manière méprisante qu'il affectionnait avec moi  ''tu n'avais qu'à faire médecine puisque tu es si forte, toi'' (de la part de qui s'était opposé à ce que je fasse quelque études que ce soit, il fallait oser) et surtout, pour deviner qu'oublier les barres de protection d'un lit c'était susciter un accident presqu'à coup sûr, était-il nécessaire d' 'être un cador ? Par la suite, cela ne s'arrêta pas là, ainsi ma nièce fût-elle sans doute une des dernières à avoir été exposée in utero au terrible dilbestrol, j'en avais averti sa mère, car à l'époque on SAVAIT, qui m'avait rétorqué que le médecin lui avait certifié que ''ça ne risquait rien et qu'ainsi elle aurait un beau bébé comme il les aimait, uniquement'' (!) ''Ça rassure non? Moi j'ai confiance en la médecine'''' (Dire qu'elle se disait surdouée en maths). Ils avaient sans doute des stocks à liquider in extremis, hop, ici, les gens sont crédules et en ppe peu instruits. Exact. Elle aussi a failli mourir de plusieurs erreurs médicales et finalement a dû être amputée. Cette fois elle a compris. Trop tard.

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