mercredi 6 mai 2020

Dépression, un mot sparadrap pour grand brûlés. Vente d'enfant


Dépression, un mot, un sparadrap pour grand brûlé
Sur le harcèlement. 
Réponse à Doudou. En fait c'est à la fois plus subtil et plus ballot : à ch fois (deux) que 'ça' m'est arrivé, si j'analyse, et maintenant je le peux, c'était juste parce que SOCIOLOGIQUEMENT je n'étais (par hasard) pas à ma place et que j'ai 'encaissé' pour d'autres. Mais je j'ignorais. Je pensais que ''ça'' venait de moi .
----- La première fois en 6ième, le racisme aidant (contre les ''rouges'' du midi sal'bêt'faitnéants voir article ''Besançon'') c'était en fait parce que mon père était journaliste à l'Est, engagé. Les salauds et les enfants aussi le sont font payer les faibles, et en plus j'étais la plus jeune.
------ La seconde, parce que j'avais ''pris la place'' d'une autre à l'école normale d'Aix qui parait-il le méritait mieux que moi (sa famille avait de gros pb financiers) car j'avais  malencontreusement réussi le concours de manière imprévue, sans préparation... j'étais la SEULE sur 72 qui était issue d'un lycée, toutes venant de collèges spéciaux : svt des filles pauvres dt les parents ne pouvaient ou ne voulaient assumer la scolarité après la 3ième. Sinon il leur fallait ''tracailler'' je laisse !  C'était en effet une sorte de ''travail'', rémunéré puisque nous étions nourries et logées et bénéficiions je crois d'une petite bourse. La sté impitoyable qui faisait et fait encore des enfants la PROPRIÉTÉ des parents m'interdisant de démissionner, ce qui eût arrangé tout le monde sauf eux, isolée et plus faibles, j'ai subi la meute. (Il y avait des confréries d'escatines disait on -issues du collège d'Escat- de martigales, plus sympa, d'arméniennes, des marseillaises dont certaines étaient redoutables,  issues de la pègre etc) .. Des filles ss dte désespérées qui se vengeaient sur la salope qui avait pris la place de leur copine peut être ensuite conduite à...  je ne sais, mais certaines étaient issues de milieux hard pas particulierement féministes ! Bref l'école servait de dépôt pour encombrantes méritantes bossant dur, dont on exigeait la soumission, et désireuses de sortir à tout prix de milieux parfois très délétères.  Seule sur 72 issue d'un lycée, je n'y avais pas ma place, ou plus exactement je l'avais mais même chez les pauvres il y a lutte pour un crouton et le mien m'etait haineusement disputé. Qd on voit parfois leur passé, pour certaines, on peut comprendre.

Après, le reste, l'appellation 'contrôlée', la ''dépression'' c'est le paquet de m. dans un sac de soie. La sté qui a brisé l'enfant par divers interposants préfère un mot simple pour éviter de se remettre en cause, on ne dit pas ''il ou elle a été contraint.e de présenter ce concours parce que ses parents économiquement [••••••••] et socialement [••••] et n'a pu démissionner parce que ses parents économiquement ou par convention pratique [•••••] (en gros, ils voulaient se débarrasser de lui) ... non, ça fait désordre ! mais ''elle a fait une dépression'', mot idéal qui :
1 dédouane TOUS les responsables depuis la directrice hautaine et odieuse qui feint de ne rien voir  jusqu'aux harceleuses voulant peut être venger leur malheureuse camarade recalée (contrainte de ? arrêter ses 'études' si on peut dire, par ma 'faute', faire le tapin que sais-je?) et stt :
2 : les parents, les adultes qui juste N'ONT pas compris ni mesuré le risque (pourtant annoncé x fois !) de suicide. La seule honnête ds l'histoire fut la ''surgé'' qui ne cessait de se culpabiliser OUVERTEMENT, L'EXCEPTION, une chic femme finalement. Sur ? 100 ?

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