lundi 27 avril 2020

Une visiteuse médicale de Mercx craque sur les vaccins

Une ancienne employée de Merck: “l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique” 15 septembre 2016/dans Les actualités /

Brandy Vaugham ancienne visiteuse médicale de MERCK : l’obligation vaccinale est pour le profit, pas pour la santé publique. (Ndlr, on s'en doutait qd m un peu !) Ex représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck elle explique en détails comment les fabricants se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins et a trouvé que, non seulement ils contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins que pour les médicaments. Ceci ajouté aux effets secondaires de la vaccination, Brandy prit la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe :  la vaccination obligatoire est juste un moyen pour les firmes de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. Ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire.
Mon premier engagement dans l’industrie pharmaceutique comme représentante pour Merck date de l’époque où le Vioxx était sur le marché. J’étais représentante pour le Vioxx de Merck. Quand il est apparu qu'ils avaient falsifié ses données de sécurité, et que le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui en prenaient, j’ai réalisé la corruption dans les coulisses : ce n’était pas parce qu’un médicament était sur le marché qu’il était sûr.

Choquée (ndlr, elle quitte le job). J’ai vécu à New-York 8 an et j’ai eu mon fils. A six mois, je l’ai ramené avec moi à San Francisco sans qu’il soit vacciné. Quand je me suis rendue à la visite médicale, ils ont essayé de nous fourguer les vaccins. A cette époque, j’en savais déjà assez pour ne pas faire aveuglément confiance aux médicaments. Au cours de la visite, j’ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin a éclaté en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance, est sortit en claquant la porte, puis une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j’avais déjà appris comme représentante, ce fut pour moi un fameux et énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données de sécurité et découvris que l’aluminium était leur principal adjuvant. J’avais déjà fait certaines recherches sur l’aluminium car ma grand-mère avait eu un cancer du sein et la biopsie avait montré des taux élevés d’aluminium dans ses tissus, le médecin nous avait expliqué qu'elle devait abandonner les déodorants traditionnels à cause de l’aluminium qui s’y trouvait, un produit cancérogène. Ce fut encore un fameux signal d’avertissement quand je réalisai que ces produits se trouvaient dans les vaccins pour les enfants. Je réalisai qu’aux Etats-Unis on administrait deux fois plus de vaccins que dans la plupart des autres pays développés, et que nos enfants étaient aussi plus malades que dans n’importe quel autre pays développé, bien que plus d’argent fût dépensé pour les soins de santé : nous avons les taux les plus élevés de mort subite du nourrisson, d’asthme, d’allergies alimentaires, de TDAH, de leucémie infantile, et du type 1 de diabète. Une véritable crise de santé.

Je réalisais que les vaccins ne concernaient pas la santé publique ms des PROFITS de l’industrie pharmaceutique. Ce qui est intéressant avec les vaccins, c’est qu'il n'y pas pohr eux les mêmes études de sécurité qui sont réalisées pour la plupart des médicaments tout simplement parce qu'ils sont considérés comme une mesure de santé publique, les études durent en général peu de temps, ne sont pas en double aveugle avec placebo comme c’est pourtant la norme d’or pour les médicaments. Il est aussi très facile de manipuler les données et de les présenter comme sans danger. Si on analyse les études en étant particulièrement attentifs à la toxicité des adjuvants et des additifs, on s’aperçoit qu'elles ne prouvent pas du tout la sécurité des vaccins. Au contraire, il existe pas mal d’études qui montrent que quantités d’additifs des vaccins sont très toxiques, tout spécialement pour les enfants dont le système immunitaire est immature. Plus j’approfondissais plus je me rendais compte à quel point elles étaient défectueuses. Mon fils a maintenant 4 ans ½, et n’est toujours pas vacciné. Je me suis sentie d’autant plus motivée dans cette lutte que j’ai appris que des projets de loi rendant les vaccinations obligatoires commençaient à émerger un peu partout, dans plus de 138 états. Il est clair qu’il s’agit d’une question de profit et non de santé publique car de nombreuses compagnies pharmaceutiques ont perdu leurs médicaments vedettes (leurs brevets) raison pour laquelle elles cherchent à se rétablir (augmenter leurs profits.)

Pour les vaccins il y a moins d’obstacles pour obtenir une AMS. En fait, les vaccins sont le seul produit aux Etats-Unis pour lequel vous ne pouvez engager de poursuites judiciaires normales s’il y a dommage ou décès. Si vous réunissez tous ces éléments vous avez alors un produit avec la marge bénéficiaire la PLUS ÉLEVÉE POSSIBLE. En rendant les vaccins obligatoires et en n’arrêtant pas d’élargir le calendrier vaccinal, ce sont nos enfants qui sont utilisés pour leurs profits. C’est ce qui se cache derrière les projets de loi visant à les rendre obligatoires.

Pourquoi n’en entend-on pas plus souvent parler? Parce qu'aux Etats-Unis les entreprises pharmaceutiques sont autorisées à faire DIRECTEMENT de la publicité aux consommateurs dans les médias. Cela permet aux compagnies de contrôler ce qui est présenté dans les médias. Si vous couvrez 30 à 40% de leur publicité, vous contrôlez pratiquement tout ce qu’ils vont écrire. D'où censure, ex du lanceur d’alertes qui en 20o4 a révélé que le CDC avait camouflé des données qui montraient que le vaccin ROR provoquait des dommages neurologiques (autisme). Récemment,  beaucoup d’histoires de différents pays qui poursuivent les fabricants de vaccins pour des dommages et des décès. Comme le Gardasil au Japon, le Prevenar en Chine, le Rotavirus en France plus ''conxeillés''. L’Espagne aurait fait un procès à Merck pour le Gardasil.

Au travers des médias traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 MILLIARDS de dollars en frais de marketing. Pour les médecins, elles dépensent six fois ces sommes en plans d’assurance santé, conférences éducatives, études publiées dans des revues médicales, etc., etc. Tout cela revient à dire que nous avons des vaccins exemptés de toute responsabilité pour le fabricant, très peu de données montrant qu'ils st sûrs et efficaces et d’ÉNORMES dépenses de marketing. Notre système vaccinal est délabré. Il n’est pas possible de rendre un produit obligatoire quand tant de questions restent sans réponse et quand tant de choses se passent dans les coulisses dont le public n’est pas conscient, comme par exemple leurs ingrédients. Rappelez-vous qu’un pédiatre A REFUSÉ de me montrer la notice du vaccin qu'il allait injecter ! ! Il y avait évidemment de bonnes raisons pour cela : la présence d’aluminium, de formaldéhyde, de cellules de FOETUS avortés, de cellules animales. Ces vaccins comprennent quantités d’autres éléments que d’autres pays refusent. Il y a aussi des éléments dont on ne connait pas les conséquences, et pour lesquels on ne possède pas suffisamment de données. N’est-ce pas jouer à la roulette russe avec la santé de nos enfants ?

Les compagnies pharmaceutiques disent que tout cela concerne l’aide apportée au public, concerne la sécurité publique. Pourquoi nous ne disposons pas de plus de données sur les effets que vont avoir tous ces éléments, pourquoi nous n’avons pas d’études long-terme, des études sur les effets qu’ont ces produits pour nos enfants. Aujourd’hui, nous avons les enfants les plus malades du monde. Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond. Il ne s’agit peut-être pas uniquement des vaccins. C’est aussi le cocktail de pesticides et de polluants dans l’eau, dans l’air. Mais les vaccins représentent souvent un DÉCLENCHEUR parce que génétiquement le corps a besoin d’un  déclencheur pour exprimer ce genre de maladies et de problèmes que nous connaissons aujourd’hui. Les vaccins sont souvent en cause parce que ces produits chimiques sont injectés dans le flux sanguin, de sorte qu’ils ne passent pas nécessairement par une grande partie des processus de détoxification. Il arrive que ces produits PÉNÈTRENT DIRECTEMENT DANS LE CERVEAU au travers de la barrière hémato-encéphalique. Ce sont ces questions difficiles qu’il nous faut poser. Avant cela, avant que nous ne disposions de plus d’information, il n’est absolument pas possible de rendre les vaccins obligatoires. Il doit y avoir le choix. Là où il y a risque le choix s’impose.

 En 1983, un jeune Américain recevait entre 0 et 18 ans 24 doses de vaccins en 7 injections. En 2016, un jeune Américain de 18 ans aura déjà reçu 70 doses de vaccins répartis en 50 injections… Est-ce tellement mieux en Europe?

 Source: Stopmandatoryvaccination

http://initiativecitoyenne.be/2015/08/une-ancienne-employee-de-merck-l-avoue-l-obligation-vaccinale-c-est-pour-le-profit-et-pas-pour-la-sante-publique.html

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 131

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