LE VIOL À POINTS (pas comme un civet, mais comme les retraites ou le permis de conduire) : un concept ! que l'on voit surgir au terme d'un jaron ... pardon, d'un article, d'un connaisseur qui cite Pat Eumelin (je ne connais pas mais selon lui un Important) mode ''ah le bon temps, les chalets de Gstaad avec Polan où des filles de 14 ans nous couraient après* ! Quand je pense à ces pauvres caissières qui doivent faire des pipes non pas pour la couverture de Vogue, sous entendu là ça vaut le coup, mais pour un salaire de misère toute leur vie, cétafreux.'' Qui va les défendre ? Vous les avez vues sur les podiums, en conférence de presse ?
Le VIOL À POINTS est quasi humaniste on le voit ici : quand on peut, on fait. Et si ça coince (des fois on se laisse un peu aller, la passion) ... on raque. Au fond, elles en ont de la chance. [ Évidemment si on est dans la zone Bobigny-la Courneuve, non non ça n'a rien à voir avec Catherine, ne m'embrouillez pas, vers les 2000, la notion de viol vous frôle au cul car là en général, en cas de pépin, onpeparaquer. Mais c'est pas grave, dans cette savane, elles demandent moins, l'un dans l'autre on s'en sort. Épinards. Non, pinard re non, zut, peinards !
* Et d'ailleurs Polan se comportait en parfait gentleman précise l'aspirateur zut, l'admirateur de "'Pat'' qui semble-t-il y était comme lui convié... sauf qu'il oublie de dire que celui-ci, sous le coup de sa condamnation aux USA ET EN CAVALE, était l'objet d'une enquête dont il attendait le résultat, extradition et prison à vie ou refus et liberté à vie, comme quoi qd on veut on peut !
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