lundi 25 mai 2020

Agression, et re ...

Juste trois mots, enfin ...
1 je vais ss dte migrer sur mediapart du moins en partie. Fb ne me semble pas fiable. Bloquant des écrits, en suscitant d'autres de barons etc ... une machine à faire l l'oignon. Je laisse. L'opinion.
2 Une autre agression hier, légère, je laisse. En train de chercher l'annua comme d'hab. Un groupe très loin. Cinq. La nana me hurle dessus. Je m'approche, c'est celle du marché aux puces, ? voir ma page. Il y a 4 mois. Une 'butch''. Je m'approche. Elle m'intrigue. Note, je suis de super belle humeur, 'mes' armoises poussent bien chez moi... et j'ai découvert des mouvements de shiatsu qui m'ont libérée d'une aérophagie que j'ignorais ms me gênait. Je respire mieux. C'est formidable. Bcp plus cool que d'hab.
---- Mais enfin qui êtes vous ?
---- je suis d'Anduze, mais ya que des cons je m'en vais ... n'avance pas N'AVANCE PAS OU je te ''... elle se baisse pour ramasser quelque chose
---- Ms qu'avez-vous donc contre moi ?
C'est là que je la reconnais ou crois la reconnaître. Stupéfaite, je m'en retourne alors avec un geste vague. C'est la dingue du marché aux puces.* Ils st 4 ? Un gus, lui, maigre, patibulaire, me crie ''dégage à ton VÉHICULE sinon'' .. (Le terme est étrange, c'est celui des flics). Geste. (Menace ? Je vois mal, et il a pris soin de cacher son visage). Il y a aussi une frêle blondinette qui ne dit rien et un type, lui, à l'air normal. 20 à 40 ans.
Je m'en vais. Des dingues. Drogués ? Pas la butch, très grosse, les drogués le sont rarement.   J'attendrai et je retournerai après (car un pied d'annua me semble abimé et il faut le sauver). Je me retourne qd m .... et je reçois un projectile. Non. Même pas. Quelque chose. L'émotion est telle que je ne suis m pas sûre et stt je ne RESSENS RIEN. ABSOLUMENT RIEN. (Note on le dit des soldats en état de transe , lors d'attaques). Ms je n'en suis qd m pas là !  Hé bien si. Presque.
Je pars. Arrivée chez moi, j'appelle les flics.
---- (je m'identifie) ... pourriez vous me dire où est la gendarmerie d'A ? (Sans m'en rendre compte, je suis vraiment sonnée ... (je passe devant très svt!)
---- Ms elle est fermée. Il est 8 h
---- j'ai été agressée (je raconte a minima ss m'en rendre compte)
---- Rentrez chez vous et fermez bien la porte. (!) Sic !
---- Mais voyons, j'y suis chez moi !
---- Fermez bien tout.
---- Mais bien sûr je l'ai fait.
---- Alors ça va
---- Non ça ne va pas du tout parce que ...
---- Vous irez déposer plainte demain. Si ça ne va pas, rappelez. Fermez bien tout.
---- Cessez de me parler comme si j'étais idiote !  Evidemment j'ai tout fermé ... Ms ils ont pu me suivre ..
---- Alors la conversation est close.
Clic.
Note cette conversation a été enregistrée et j'aimerais bien l'avoir.

Voilà ! Réflexion faite, ce matin, non je n'irai pas porter plainte. Autrefois, il y a des lustres, c'était dangereux, des flics étant de mèche avec de petits truands qu'ils faisaient parler, transformés ainsi en indics (qui leur livraient du reste svt un concurrent pas forcément coupable ! et vice versa!) .. ms en leur fournissant en échange quelque biscuit bien sûr, SUR NOTRE DOS.. "S'ils nous donnent, il faut aussi donner'' m'avait dit benoîtement un gendarme qd je lui avais reproché d'avoir averti un petit truand de [•••]. Peut être cela a-t-il changé ? Le résultat de mon appel est qd m révélateur qu'au minimum ils s'en foutent et ne cherchent m pas à la cacher.**
Ce matin, je saigne du nez, un peu déformé ô stupeur, ! en fait c'est là que j'ai été touchée. Je ne lnai m pas senti. Rien de grave. Je retourne armoiser. En espérant qu'ils n'ont pas saccagé. Peur ? Non. J'ai déjà une balle ds le bras. Petite.

Triste. Un peu. Pas trop. Mon mari à Paris m'a aussi dit ''de bien fermer surtout''. Une voix blanche, atone, celle du gus dérangé avec sa copine. Qui contraste avec sa voix 'seul'. Je n'ai pas insisté. Je me voulais seule, je le suis de quoi me plaindre ? En un sens, le savoir, le VOIR clairement me renforce, me donne de la force. Pas de couillonades, de faux semblant américains de jetèmetuélafemedemavie. Juste ça. Je cours aux armoises.
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* À l'époque je m'étais mise (très très petitement, disons plutôt indignée) d'un trafic immonde et très juteux ici de mères célibataires ou de jeunes femmes juste enceintes ds la misère qui consentaient à des mariages blancs ou gris avec adoption du bébé par le 'père' qui ainsi obtenait la nationalite française assez vite. Un vrai marché dont on disait qu'il était tenu par des butch dangereuses. Tout le monde le savait... Je n'ai jamais rencontré ces cadores, ms par contre, écrivain, je devais déranger, et un soir avais été menacée curieusement ds la galerie par un type étrange, crade, drogué ou alcoolo, venu gentiment m'avertir que je risquais gros, que des gens ne m'appréciaient pas trop et que des vidéos de moi pouvaient être envoyées à [•••••]  où je bossais, (une fac) etc ... entre l'onction et le sbire stipendié, je l'avais viré en rigolant. Pas peur. Ambiance.
A cette époque une femme retraitée qui avait l'habitude  de venir se ressourcer ds une maison isolée ds la garigue nimoise, seule, anait été brulée vive par des jeunes qui avaient pris l'habitude de ce lieu et qu'elle dérangeait. Elle avait porté plainte x fois, ss aucun résultat.

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