mercredi 1 avril 2020

Parents enseignants parfois malgré eux, une insulte pour les profs, les parents et les élèves

Parents, enseignants malgré eux, une insulte pour les profs, les parents et les élèves !
Proposer à des lycéens voire collégiens comme UNE ÉVIDENCE que leurs parents leur enseignent, qd, d'évidence aussi ! ils ne le PEUVENT ce qui est le cas général est source de conflits ÉNORMES :
1 soit les enfants l'exigeront naturellement puisque c'est ainsi PRÉVU ! et, frustrés, mésestimeront leurs parents hors normalité. Surtout au cas où ils n'ont pas internet pour pallier.
2 soit, conscients de leur incapacité, ils ne le leur demanderont m pas  .. et les mésestimeront aussi, ou au minimum seront frustrés : conscients douloureusement d'à quel point ce système creuse les inégalités particulièrement abjectes lorsqu'elles concernent le domaine du savoir c'est à dire précisément la possible sortie de l'ignorance aliénante et mortifère, la leur ! ils seront révoltés à juste titre voire, au cas où ils n'auraient pas d'autres ressources, internet par ex, DÉSESPÉRÉS.
3 D'autre part cette 'proposition', absurde (suivre les enfants DANS TOUTES LES MATIÈRES EST DIFFICILE VOIRE IMPOSSIBLE, SURTOUT EN LYCÉE, ET MÊME APPRENDRE À LIRE À UN ENFANT EST TOUT UN ART, DIFFICILE, TRÈS) est surtout de facto INSULTANTE pour les enseignants qui ont APPRIS, PUIS 'appris' à apprendre, c'est le moins, durant des années parfois, et hard !
[Aïe les écoles NORMALES, enfin dites normales ! ces lieux où des enfants janissaires en principe pauvres étaient soigneusement choisis parmi les meilleurs, bosseurs, doués, pour être emprisonnés à vie, enfin 4 ans mais à 14 ans, c'est la vie, une brutale et définitive fin d'adolescence * emprisonnés certes gratos, nourris logés, avec même une petite bourse,  À CONDITION ENSUITE DE DEVENIR INSTIT et stop, m pas d'études.. (redite, ils avaient pourtant été sélectionnés parmi des 'bons'!) ou il fallait se 'racheter' ce qui évidemment etait impossible mmmm.. TOUSSA POUR MACRON NE COMPTE POUR RIEN !
* dès notre arrivée, Germaney, une prof de maths, saloperie entre toutes, nous avait durement reproché de n'être pas assez vêtues en ce mois de septembre venté et de surcroît assises sur une rembarde assez haute, en ces termes simples ''maintenant vous ne vous appartenez plus mais vous appartenez à l'école normale, vous n'avez pas le DROIT de tomber malades. Je me souviens m'être demandée si on pouvait se suicider. ]

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