mardi 31 mars 2020

Résumé, la maffia des médicaments, on savait mais là on la voit à l'oeuvre dans tout son atroce cynisme : des morts pour du fric

D'après Edmond Grimberg
Je reviens il faut pas une minute cesser de tympaniser ceux qui nous gouvernent avec cette immense et terrible affaire qui leur vaudra un jour d'être traduits devant les tribunaux et condamnés.
1 : Jusqu'au 13 janvier, la chloroquine, préconisée comme traitement du COVID-19 par le Pr. Raoult ( la plus grande sommité mondiale en matière d'épidémiologie virale ), était en vente libre à un prix inférieur à 6 euros la plaquette.

2 : Le 13 janvier, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, (dont le mari est responsable -ou parmi les spécialistes de l'inserm-  de la création du labo d'où part l'épidemie du covi19) Buzyn donc qui savait ce qui allait advenir et venait, selon ses propres dires, de prévenir, le 11, le Premier Ministre, qu'il allait y avoir une épidémie ravageuse) place ce médicament dans la catégorie des substances vénéneuses (?c'est-à-dire accessibles seulement sur prescription médicale ).... prévoyant l'épidémie, et la ruée sur ce médicament. Donc déjà connu pour son efficacité!

3 : Le 27 mars, son successeur au ministère de la Santé, Olivier Véran, INTERDIT purement et simplement aux médecins de prescrire ce médicament, faisant fî de la liberté de prescrire, droit fondamental du médecin résultant du serment d'Hippocrate.
4 : On voit se déclencher, à l'encontre du Pr. Raoult et de ses équipes (au total plus de 800 personnes) une formidable campagne de décrédibilisation, avec menaces de mort ! comme si ces médecins qui soignent et guérissent, étaient des empoisonneurs publics qd c'est l'inverse.

5 : Le traitement préconisé par le Pr. Raoult (non pas chloroquine seule, mais chloroquine  ASSOCIÉE à l'azithromycine ) doit être administré, non pas en fin de parcours, quand l'état des poumons ravagés par le COVID-19 rend la mort inéluctable - c'est-à-dire trop tard, mais à des stades antérieurs de la maladie. Chloroquine + azithromycine, a un coût global de 13 euros. Son efficacité est actuellement prouvée

6 : Question : à qui, à quels intérêts, ce traitement très bon marché fait-il de l'ombre ? Quels grands groupes des industries pharmaceutiques se tiennent derrière M. Véran et lui intiment l'ordre de casser à tout prix un traitement dont le succès et le bas coût mettent en péril le pactole futur qu'ils escomptent toucher quand d'autres traitements ou un soi disant vaccin contre le COVID-19, dont leurs labos poursuivent la recherche, seront disponibles ?" Quitte à assassiner tous ceux qui actuellement meurent faute de soins? Volontairement,  pour le profit ?

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