Cela peut passer par plusieurs voies physiques logiques, mais le canevas est bien celui là.
Exemple, la disparition des animaux éboueurs qui de fait pollue les ripisylves de cadavres donc virus. Des conservateurs qui font que nous ne nous décomposons plus donc virus. Virus aussi le dégel du permafrost imprévu depuis 100000 ans qui va libérer, non, qui A DÉJÀ LIBÉRÉ des germes archaïques parfois ultra toxiques dont nous ignorons tout et vis à vis desquels nous n'avons pas de défenses, plus grave encore s'ils se combinent avec d'autres pour former des 'monstres'. On le sait, bcp de maladies ont totalement disparu sans qu'on ne sache pourquoi. Non ce n'est pas grâce aux vaccins. La plague par exemple qui a tué un tiers de populations dans certaines régions d'Angleterre au 16ième, (la suette), (qui ressemble un peu, quant aux symptômes, au covi19, dont Anne Boleyn a réchappé), la peste noire (qui elle n'a pas totalement disparu) et récemment la fameuse grippe dite espagnole après guerre (de 14) qui a tué PLUS que la guerre elle même. Reliée à des mouvements de populations de masse, à la sous alimentation, manque d'hygiène peut être et surtout aux vaccins en masse infligés aux soldats qui très mobiles allaient se battre, puis aux populations, jusqu'à 10 d'un coup... qui ont probablement formé un combiné viral. Oui, tous ces virus englacés parfois depuis des millénaires... De même la mer de glace qui fond et devient la merde glacée car les excréments congelés des connards qui se sont régalés d'escalader ahhhh le bon airrrr, ah le courage... premier de cordée bla bla pose culotte et hop.. Bref leur merde en masse dégelée d'un coup roule gaiement vers les chalets et pistes chic et choc. La nature oui reprends ses droits. Et c'est bien.
L'ennui est que pour quelques centaines d'assassins, ceux qui aprèsmoiledéluge, mon fric mon fric ! nous allons payer.
*L'homéostasie est la capacité d'un système à maintenir son équilibre intérieur, à se maintenir parmi les contraintes externes. Pour un organisme, c'est l'ensemble des paramètres devant rester constants ou s'adapter à des besoins spécifiques, température corporelle, glycémie, pression sanguine ou rythme cardiaque. Le concept aurait été évoqué en 1866 par Claude Bernard. Il s'est élargi à d'autres systèmes, y compris à un écosystème.
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