lundi 2 mars 2020

L'archétype d'une Violanskienne géniale ou les imbéciles sont des gens précieux

Réponse à une défenderesse Polanskienne géniale (redite les imbéciles sont des gens précieux)
Je cite : ''Quand les guépards s'en vont, les hyènes arrivent ..  pour le lynchage d'un seul homme déclaré coupable pour l'éternité.''
Mmmm ! Beau, non ? Ah ! Le mythe, une fois de plus de la noblesse, la force, la masculinité fauve et courageuse étant sous entendue par l'image du bel animal ...  (bon là, bel animal,  ça ne colle pas trop mais fotranposer) versus l'ignominie (l'inverse de noble est ignoble) sanguinaire sauvage des gueux... que dis je des gueux, des GUEUSES ! (c'est toujours pire au féminin ! cf Yaguello, ''les mots et les femmes'') ... re que dis-je, des gueuses, que nenni ! des HYÈNES ...
.. un animal pourtant utile, éboueur de déchets polluants qui génèrent de lourdes pathologies, des épidémies terribles, mais dont cette merveille de la nature dotée d'un estomac particulier qui peut synthétiser .. mais je m'égare on verra après la physiologie ..

... Reste que hyène me va au poil, Polanski étant alors le déchet polluant... Bon, reprenons, des gueuses donc âpres à la curé... pire, au lynchage, surgies le sang aux lèvres pour déchirer un homme SEUL....  pom pom pom pom ! envoyez les cuivres, le paradigme est là, virilité triomphante et brave (certes un peu brutale mais quoi, nobody is perfect, et puis on sait bien que les femmes aiment ça parfois, on dit ''viol'' mais cépaça.. ou excessif) versus lâcheté féminine, hyène est féminin, retorse, qui attaque dans le dos le bel animal qui s'en va...
Voilà voilà l'archétype. Beau comme l'antique, non ? Mais au fait de quoi kilsagit dans l'histoire ? Ben d'un gus adulte riche et célèbre (le guépard) quoique mal foutu, disons un curenid de guépard qui a sodomisé une petite fille (celle que défendent les HYÈNES) puis déguerpi ventre à terre pour échapper aux cognes qui le coursaient. Bien bien ... déçue je suis.

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